pourquoi les auteurs préfèrent-ils évoquer un « consentement à payer médian », plutôt qu’un « consentement à payer moyen », comme cela est en général le cas dans la majorité des études ?
car le « consentement à payer médian » celui-ci est moins sujet aux valeurs extrêmes qu’un « consentement à payer moyen » (c’est une des caractéristique de la médiane par rapport aux moyennes, en statistique descriptive).
Ici, un « consentement à payer médian pour éviter un épisode de maladie d’une durée moyenne de 5,3 jours et de 2,2 symptômes [est] de 35,10 Euros » signifie que la moitié des personnes interrogées sont prêtes à payer cette somme, alors que l’autre moitié est prête à payer plus.
Le « consentement à payer moyen » prend en compte les valeurs extrême trouvées, sachant que dans une évaluation contingente, on trouve des CAP nuls (la personne ne veut rien payer, elle estime qu’elle doit être dédommagée de l’existence d’un risque pour santé », cf. réponse à la question 4 ci-dessus) ou des CAP infinis, ou la personne interrogée est prête à donner un maximum (qu’elle ne possède pas, et ne possèdera peut-être jamais) pour qu’on prenne des mesures visant à éviter l’occurrence du risque en question). Quand les valeurs extrêmes sont également partagées de chaque côté de la distribution, celle-ci est symétrique, la médiane est égale à la moyenne (propriété de statistique descriptive). Sinon, il y aura un étalement respectivement, selon les deux cas extrêmes précédemment envisagés, soit plus à droite (vers l’infini), soit plus à gauche (vers 0), ce qui fait que la moyenne n’est pas forcément très représentative de la distribution. Dans ce cas, il vaut mieux calculer la médiane, qui partage la population en deux parts égales, et évite ainsi de prendre en compte des réponses extrêmes.
pourquoi les auteurs préfèrent-ils évoquer un « consentement à payer médian », plutôt qu’un « consentement à payer moyen », comme cela est en général le cas dans la majorité des études ?
Les auteurs préfèrent le consentement a payer médian car moins sujet aux valeurs extrêmes. de plus il calcule selon le type de maladie et la durée de l’épisode.
Cela évite de donner un poids trop important aux valeurs extrêmes, ce qui est le cas dans le calcul du CAP moyen.
Les auteurs utilisent un CAP médian plutôt que moyen pour s’affranchir de l’influence de valeurs extrèmes, étant précisé que les valeurs pouvaient aller de 0 à l’infini (p13).
Le « consentement à payer médian » est plus précis que le « consentement à payer moyen ». Ce dernier introduit des biais qui tendent à surestimer les résultats.
Contrairement à la moyenne arithmétique, la valeur médiane permet d’atténuer l’influence perturbatrice des valeurs extrêmes enregistrées lors des circonstances exceptionnelles.
Car le consentement à payer médian va moins varier avec les valeurs extrêmes que le CAP moyen
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian car celui-ci étant moins sujet aux valeurs extrêmes
La distribution extrêmement biaisée du fait de l’écart important entre CAP moyen et CAP médian fait que les auteurs préfèrent le CAP médian. En effet, ce dernier est moins sujet aux valeurs extrêmes car les individus ont tendance à surestimer leur CAP et il est calculé à partir d’un modèle explicatif du CAP.
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian car il est moins sujet aux valeurs extrêmes.
La préférence des auteurs pour un consentement à payer médian se justifie par le fait qu’il est moins sujet aux valeurs extrêmes qu’un consentement à payer moyen. La médiane n’est pas influencer par les valeurs extrêmes comme l’est la moyenne. Le consentement à payer médian est donc plus valide.
Parce que la moyenne dépend beaucoup des valeurs extrêmes, alors que la médiane partage un échantillon en 2 et donc se rapproche plus de ce que la majorité des personnes est disposée à payer.
Le CAP médian prend en compte la façon avec laquelle les valeurs sont disposées autour de la moyenne alors que le CAP moyen tient en compte toutes les valeurs des plus petites au plus grandes, cette dernière forme peut laisser des biais dans les résultats si les valeurs ne sont pas uniformément réparties. Aussi, la moyenne ne donne pas une idée claire de la distribution des données.
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian, celui-ci étant moins sujet aux valeurs
extrêmes. Ce consentement à payer médian est calculé à partir d’un modèle explicatif du consentement
à payer. Ils emploient la formule suivante exp (xβ ) où x est le vecteur des moyennes des variables
explicatives et βˆ le vecteur des paramètres estimés.
Le consentement à payer médian pour éviter un épisode de maladie d’une durée moyenne de 5,3 jours
et de 2,2 symptômes est de 35,10 Euros*.
Les auteurs calculent de plus le consentement à payer médian selon le type de maladie (rhume ou
autre) et la durée de l’épisode (1 jour ou 5 jours). Les résultats montrent que le consentement à payer
est beaucoup plus élevé pour un épisode d’un jour que pour chaque jour d’un épisode de 5 jours. De
plus, le consentement à payer est plus élevé quand la maladie n’est pas un rhume.
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian, car celui-ci est moins sujet aux valeurs extrêmes.
La valeur médiane qui est celle qui se rapporte au plus grand nombre de réponse est plus proche de la vérité qu’une valeur moyenne qui pourrait avoir été influencée par une seule réponse exagérée
ici le consentement à payer médian est utilisé dans le but de plus se rapprocher de la réalité : pendant que le consentement à payer moyen tiendra compte des grandes et des petites valeurs, ( somme de toutes les valeurs divisé par nombre de valeurs),et dans ce cas une seule très forte valeur peut influencer le résultat, la consentement à payer médian s’intéressera plus à la valeur la plus récurrente lors de l’enquête. ainsi les résultats seront plus plausibles.
Les auteurs préfèrent évoquer un « consentement à payer médian », plutôt qu’un « consentement à payer moyen », comme cela est en général le cas dans la majorité des études dans le but de connaître les pérides de survenue des maladies. Cela détermine sur les perturbations des activités et facteurs influençant les consentements à payer.
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian, celui-ci étant moins sujet aux valeurs extrêmes.
parce que le consentement à payer médian est moins sujet aux valeurs extrêmes et il est calculer à partir d’un modèle explicatif de consentement à payer
le consentement a payer médian est moins sujet aux valeurs extrêmes.
le CAP médian est moins sujet aux valeurs extrêmes (en particulier les CAP nuls)
Le CAP médian est généralement retenu dans les études car celui-ci est moins sensible aux valeurs extrêmes (que le CAP moyen).
Ainsi le nombre de jours médians de durée d’une maladie est de 4 jours lorsque la moyenne est de 6,8 jours dans cette étude.
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian parce que celui-ci est moins sujet aux valeurs extrêmes que le consentement à payer moyen
Le consentement à payer median (CAPMe) permet de scinder l’echantillon en deux groupes identiques (nombre ) separés par une valeur mediane designée par le CAPMe ; alors que le consentement à payer moyen evalue la somme moyenne à payer si les individus pouvaient être entierement caracterisés par les mêmes paramètres. Ce qui est très difficile dans l’evaluation des cas de soufrance ( notion psychologique lié à la maladie, la douleur...) et les susceptibilités individuelles face à une maladie. Le CAPMe sied mieux avec ces types d’evaluation car permettant de reduire au maximum les biais d’echantillonnage et autres facteurs de confusion.
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian car il est moins sujet aux valeurs extrêmes pouvant négliger les valeurs intermédiaires.
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian, celui-ci étant moins sujet aux valeurs extrêmes.
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian, celui-ci étant moins sujet aux valeurs extrêmes.
Les auteurs préfèrent évoquer le consentement à payer médian, parce que celui-ci étant moins sujet aux valeurs extrêmes.
Contrairement à la moyenne arithmétique, la valeur médiane permet d’atténuer l’influence perturbatrice des valeurs extrêmes enregistrées lors des circonstances exceptionnelles.
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian, celui-ci étant moins sujet aux valeurs extrêmes. Ce consentement à payer médian est calculé à partir d’un modèle explicatif du consentement à payer.
Les auteurs preferent un consentement a payer mediane car il est moins sujet aux valeurs extremes.
Car le CAP médian est moins sujet aux valeurs extremes
Le consentement à payer médian permet d’écarter les réponses trop extrêmes. Or, dans le calcul d’un CAP pour une maladie plus qu’ailleurs, on estime que certaines réponses sont "déraisonnables" (très forte aversion au risque de maladie par exemple) et peuvent fausser les résultats.
Les auteurs préfèrent calculer le CAP médian car celui-ci étant moins sujet aux valeurs extrêmes.
Les auteurs préfèrent évoquer le consentement à payer médian, parce qu’il est moins sujet aux valeurs extrêmes.
Les auteurs calculent de plus le consentement à payer médian selon le type de maladie et la durée de l’épisode.
Les variables qui influencent positivement le montant du consentement à payer sont le revenu,la présence d’un véhicule à deux roues dans le foyer,le nombre de personnes au foyer,la taille de l’agglomération. Les variables qui influencent négativement le montant du consentement à payer sont l’age,si la personne interrogée n’est pas le chef de famille.
Par ce que le consentement à payer médian est moins sujet aux valeurs extrêmes
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian, celui-ci étant moins sujet aux valeurs extrêmes.
Les auteurs préfèrent évoquer un « consentement à payer médian » plutôt qu’un « consentement à payer moyen » car le « consentement à payer médian » est moins sujet aux valeurs extrêmes.
Les auteurs préfèrent calculer le CAP médian car il est moins sujet aux valeurs extrêmes que le CAP moyen (notamment, le CAP est beaucoup plus élevé pour un épisode d’un jour que pour chaque jour d’un épisode de 5 jours)
Ils préférent calculer le consentement à payer médian car il est moins sujet aux valeurs extrémes
Ils preferent le "consentement à payer médian" car celui-ci est moins sujet aux valeurs extremes.
Le CAP moyen est certe l’instrument de mesure qu’il convient en théorie d’utiliser , mais dans certains cas, il arrive que le CAP médian puisse mieux prédire la somme que le plus grand nombre accepterait de payer.
Dans ce cas ci, les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian, celui-ci étant moins sujet aux valeurs extrêmes. Ce consentement à payer médian est calculé à partir d’un modèle explicatif du consentement à payer.
Le consentement à payer médian est privilegié par ce qu’il intègre le maximum du coût que l’individu supporte certaines dépenses de soins médicaux ou une contrepartie des pertes de productivité que de privilegier la moyenne.
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian, celui ci étant moins sujet aux valeurs extrêmes.
car le « consentement à payer médian » celui-ci est moins sujet aux valeurs extrêmes qu’un « consentement à payer moyen » (c’est une des caractéristique de la médiane par rapport aux moyennes, en statistique descriptive
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian, celui-ci étant moins sujet aux valeurs
extrêmes. Ce consentement à payer médian est calculé à partir d’un modèle explicatif du consentement
à payer. Ils emploient la formule suivante exp (xβ ) où x est le vecteur des moyennes des variables
explicatives et βˆ le vecteur des paramètres estimés.
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian, celui-ci étant moins sujet aux valeurs extrêmes. Ce consentement à payer médian est calculé à partir d’un modèle explicatif du consentement
à payer.
Les auteurs préfèrent évoquer un « consentement à payer médian », plutôt qu’un « consentement à payer moyen », comme cela est en général le cas dans la majorité des études à cause des écarts trop importants entre les différents valeurs. Ainsi, dans un graphique, on va constater une dispersion très importante des valeurs. Dans ces conditions les moyennes ne sont plus significatives.Ll faut alors chercher le CAP médian.
Les auteurs préférent prendre en compte le CAP médian car il est moins sujet aux valeurs extrêmes, contrairement au CAP moyen. En effet il vaut mieux calculer la médiane (c’est à dire le CAP médian), qui partage la population en deux parts égales, et qui évite ainsi de prendre en compte des réponses extrêmes.
parce qu’il est moins sujet aux valeurs extrêmes
les auteurs utilisent le cap median plutot que le cap moyen car ils veulent éviter l’impact des valeurs extrémes qui biaiseraient les résultats.
Les auteurs préfèrent le CAP médian car il est moins sujet aux valeurs extrêmes que le CAP moyen.
Car le CAP médium est moins sujet aux valeurs extrêmes.
parce que le CAP médian étant moins sujet aux valeurs extrêmes
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian, celui-ci étant moins sujet aux valeurs extrêmes.
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian car celui-ci est moins sujet aux valeurs extrêmes. Fait possible lorsque les répondants indiquent plutôt un intervalle qu’une valeur, entre lesquelles son consentement à payer se trouve, pouvant aller de nulles ou infinies.
car le « consentement à payer médian » est moins sujet aux valeurs extrêmes qu’un « consentement à payer moyen »
Ils préférent le cconsentement à payer médian car celui ci étant moin sujets aux valeurs extrêmes.
La médiane exprime la valeur à laquelle 50% de l’échantillon est incluse. Cela represente la casse dans laquelle se retrouve la moitié de la population étudiée.
La moyenne quand à elle ne represente que le cout moyen du prix cosenti, ce qui peut inclure moins de la moitié de la population et constituer un problème d’interpretation.
La médiane est donc plus representative de la population au sens du consentement étudié.
Les auteurs préfèrent calculer le Consentement A Payer médian car celui-ci est moins sujet aux valeurs extrêmes. Ce CAP médian est calculé à partir d’un modèle explicatif du CAP.
Les auteurs évoquent le "consentement à payer médian" plutôt qu’un "consentement à payer moyen" car le "CAP médian" est moins sujet aux valeurs extrêmes.
Les auteurs preferent evoquer un consentement à payer median qu’un consentement à payer moyen car il s’agit du milieu de l’ensemble.En effet,il s’agit du milieu de la distribution pour nous montrer le CAP exact entre autant d’individus qui peuvent le payer et ceux dans l’incapacité d’approuver ce CAP.
Contrairement au consentement à payer moyen dont la valeur est influencée par les valeurs extrêmes, le consentement à payer médian n’est nullement affecté par ces valeurs extrêmes.
Le consentement à payer moyen prend en compte les extrèmes. Or dans ce genre d’études les extrèmes peuvent être très fort : entre ceux qui répondent "0" et ceux qui donne une valeur largement exagéré. C’est un des biais des études contingentes qui laisse beaucoup de liberté aux interrogés, parfois un peu irresonable.
Les auteurs préfèrent évoquer un consentement à payer médian qu’un consentement à payer moyen car moins sujette aux variations extrêmes
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian car celui-ci est moins sujet aux valeurs extrêmes.
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian car celui-ci étant moins sujet aux valeurs extrêmes. Ce consentement à payer médian est calculé à partir d’un modèle explicatif du consentement
à payer.
Le consentement à payer médian est moins sujet aux valeurs extrêmes qu’un consentement à payer moyen.
Le consentement à payer médian est choisi par l’auteur plutôt que le consentement à payer moyen qui est assujettit aux valeurs extrêmes.
C’est parce que « le consentement à payer médian » est moins sujet aux valeurs extrêmes que « le consentement à payer moyen » qui prend en compte les valeurs extrêmes trouvées, sachant que dans une évaluation contingente on trouve des CAP nuls.
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian, celui-ci étant moins sujet aux valeurs extrêmes.
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian », plutôt qu’un « consentement à payer moyen », car celui-ci étant moins sujet aux valeurs extrêmes. Le calculer de la médiane permet de partager la population en deux parts égales, et éviter de ce faite de prendre en compte les réponses extrêmes.
Les auteurs préfèrent évoquer le consentement à payer médian, parce que ce dernier est moins sujet aux valeurs extrêmes comme c’est le cas du consetement à payer moyen.
Le consentement à payer médian c’est la valeur centrale CAP qui divise la distribution ou l’échantillon en deux parties égales.la valeur médiane tient compte des étendues minimales et maximales.
Le consetement à payer moyen détermine la tendacnce centrale d’une série des données.Donc la somme des données divisées par l’effectif de l’échantillon.
La valeur médiane permet d’atténuer l’influence perturbatrice des valeurs extrêmes enregistrées lors des circonstances exceptionnelles. Les auteurs préfèrent le CAP médian car est moins porté aux valeurs exagère calculé par methode de CAP moyen de fait que les individus ont tendance à surestimer leur CAP.
on calcule un consentement a payer median pour faire une estimation des couts payer pour eviter les risques dans une duree moyenne pour faire estimation approximative qui permet de donnee un idée generale de niveau de consentement a payer
Les auteurs préférent calculer le consentement à payer médian car c’est moins sujet aux valeurs extrêmes.
Les auteurs préfèrent- évoquer un « consentement à payer médian », plutôt qu’un « consentement à payer moyen », car cela permet d’éviter l’obtention de résultats extrêmes. En effet, le calcul de la médiane est couramment effectué pour représenter différentes distributions et elle est facile à comprendre, tout comme à calculer. Elle est aussi plus robuste que la moyenne en présence de valeurs extrêmes..
c’est parce que le consentement à payer médian est moins sujet aux valeurs extrêmes et est calculé à partir d’un modèle explicatif du consentement à payer dont la formule de calcul est (xβ) où x est le vecteur des moyennes des variables explicatives et β le vecteur des paramètres estimés.
En d’autres termes, les auteurs veulent tenir compte des valeurs qui s’écartent trop de la moyenne. La formule s’intègre dans la forme fonctionnelle semi -logarithmique retenue lors de l’analyse économétrique.
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian, celui-ci étant moins sujet aux valeurs extrêmes. Ce consentement à payer médian est calculé à partir d’un modèle explicatif du consentement à payer.
Les chercheurs preferent le CAP Median que le Moyen a cause du fait que, le CAP Median est moins sujet aux valeurs extremes que le \cap \Moyen qui lui, tient compte des grandes et petites valeurs (extremes).
La Median n’est pas influencee par les valeurs extremes a l’oppose de la moyenne. Il a tendance a etre plus proche de la realite, d’ou sa preferance pour les chercheurs par raapport a la moyenne.
Parce que le CAP médian est moins sujet aux valeurs extrêmes que le CAP moyen.
5- Pourquoi les auteurs évoquent souvent le consentement à payer médian que le consentement à payer moyen ?
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian, car celui-ci étant moins sujet aux valeurs
Extrêmes par rapport au consentement à payer moyen. Ce consentement à payer médian est calculé à partir d’un modèle explicatif du consentement à payer. Ils emploient la formule suivante exp (x) où x est le vecteur des moyennes des variables explicatives et ˆ le vecteur des paramètres estimés.
Le consentement à payer médian pour éviter un épisode de maladie d’une durée moyenne de 5,3 jours
et de 2,2 symptômes est de 35,10 Euros*.
Les auteurs calculent de plus le consentement à payer médian selon le type de maladie (rhume ou
autre) et la durée de l’épisode (1 jour ou 5 jours).
Les résultats montrent que le consentement à payer
est beaucoup plus élevé pour un épisode d’un jour que pour chaque jour d’un épisode de 5 jours. De
plus, le consentement à payer est plus élevé quand la maladie n’est pas un rhume.
Les auteurs préférent évoquer un "consentement à payer médian" car ce CAP est moins sujet à des valeurs extrêmes que tel que l’est le "consentement à payer moyen".
l’écart entre les valeurs proposées est très important par conséquent une valeur moyenne serait aussi très élevé, donc une valeur médiane estimée serait plus appropriée.
Le CAP médian est moins sujet aux valeurs extrêmes que le CAP moyen
En statistique descriptive, la médiane est souvent préférée à la moyenne car étant moins sujette à l’influence des valeurs extrêmes qui tendent à biaiser les résultats. Cela est valable dans le calcul des CAP où l’on trouve parfois des CAP nuls ou extrêmement élevés qui peuvent être appelés des CAP de protestation qui pèseraient anormalement sur le CAP si on prenait la moyenne
Le CAP médian est utilisé parce que l’échantillon d’étude est constitué de population si disparates en matière de capacité à payer.
Le CAP médian est moins sujet aux valeurs extrêmes que le CAP moyen.
Les auteurs préfèrent évoquer le CAP médian car là, ils tiennent compte de ceux qui s’engagent à payer ; la médiane n’est pas trop sujette aux valeurs extrêmes ce qui permet de mieux se rapprocher de la réalité. Par contre le CAP moyen tient compte de tout le monde, ceux qui sont prêts à payer très cher et ceux qui ne veulent pas payer du tout donc des valeurs extrêmes.
Les auteurs préfèrent évoquer un « consentement à payer médian », plutôt qu’un « consentement à payer moyen », parce que CAP médian est plus précis que le CAP moyen. En effet le CAP médian prend en compte la façon avec laquelle les valeurs sont disposées autour de la moyenne alors que le CAP moyen tient en compte toutes les valeurs des plus petites au plus grandes, cette dernière forme peut laisser des biais dans les résultats si les valeurs ne sont pas uniformément réparties.
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian car celui-ci étant moins sujet aux valeurs extrêmes
Il s’agit de réponses à donner au sein d’intervalles, moins sujettes à des variations extrêmes en comparaison de la valeur moyenne.
Les auteurs préfèrent un consentement à payer médian parce que ce dernier est moins sujet aux valeurs extrêmes qui peuvent biaiser les résultats
La préférence des auteurs pour un consentement à payer médian se justifie par le fait que le "CAP médian" est moins sujet aux valeurs extrêmes qu’un consentement à payer moyen. La médiane n’est pas influencée par les valeurs extrêmes comme c’est le cas chez la moyenne.
les auteurs préfèrent évoquer un « consentement à payer médian », plutôt qu’un « consentement à payer moyen », comme cela est en général le cas dans la majorité des études car le CAP médian est moins sujet aux valeurs extrêmes.
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian, puisque celui-ci est moins sujet aux valeurs extrêmes.
" le consentement à payer moyen" prend en compte les valeurs extrêmes trouvées alors que "le consentement à payer médian" a moins d’affinité avec ses valeurs.
La prise en compte du consentement à payer médian vise dans un panel de population représentatif de plusieurs niveaux socio-économiques (formation, lieu de vie protégé vs exposé, revenus) à équilibrer les valeurs proposées en limitant les variations de valeurs extrêmes, supposément les risques de surestimations de CAP élevés influencerait les valeurs moyennes du CAP en fonction des revenus par exemple.
En statistique la valeur médiane est beaucoup moins sujette aux valeurs extrêmes. Ici le CAP médian est de la même façon que dans les statistiques standards nettement oins sensible aux valeurs extrêmes, qu’un consentement a payer moyen. Tout cela en sachant que le montant du CAP va de 0 a l’infini.
Dans le texte on peut voir que les personnes sont prêtes a payer un CAP de 35,10€. Comme cette somme est la valeur médiane elle représente la somme que 50% des personnes seraient prêtes a payer, ce qui veut dire que les 50% restant sont prêtes à payer plus pour un épisode de maladie d’une durée de 5,3 jours et de 2,2 symptômes.
Les auteurs préfèrent calculer un consentement à payer médian plutôt que moyen car il n’est pas influencé par les valeurs extrêmes comme dans le cas du moyen.
Il est calculé à partir du type de maladie (rhume ou autre) et de la durée de l’épisode.
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian », plutôt qu’un « consentement à payer moyen », car celui-ci étant moins sujet aux valeurs extrêmes. Le calcul de la médiane permet de partager la population en deux parts égales et évite ainsi de prendre en compte les réponses extrêmes.
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian parce que celui-ci est moins sujet aux valeurs extrêmes. Il est calculé à partir d’un modèle explicatif du consentement à payer.
il y a cette préférence juste pour éviter des durées moyennes de 3 à 5 jours.
Le consentement a payer médian est moins sujet aux valeurs extrêmes.
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian car celui-ci est moins sujet aux valeurs extrèmes. En effet, en statistiques, le calcul de la médiane est couramment effectué pour représenter différentes distributions et elle est facile à comprendre, tout comme à calculer. Elle est aussi plus robuste que la moyenne en présence de valeurs extrêmes.
Le CAP médian est moins sujet aux valeurs extrêmes ; ce qui n’est pas le cas du CAP moyen.
La préférence des auteurs pour un consentement à payer médian se justifie par le fait que le moyen dépend beaucoup des valeurs extrêmes, alors que le médian divise un groupe en 2 et donc se rapproche plus de ce que la majorité des personnes est disposée à payer.
En statistiques, la médiane fait partie des calculs et de la présentation des caractéristiques de tendance centrale en fonction du type de caractère étudié. Elle est la valeur de la variable du milieu d’un ensemble de données ordonnées dans une observation. En d’autres termes, il s’agit de la valeur correspondant à 50% des observations. Elle est utile lorsqu’une distribution est déséquilibrée, parce que cette mesure n’est pas du tout influencée par les valeurs aberrantes.
Quant à la moyenne, elle indique la valeur moyenne résultant de l’addition de l’ensemble des données d’une observation. Elle est généralement différente de la médiane lorsque les valeurs de l’observation comportent des écarts importants.
Dans le cas de ce TD, si les auteurs préfèrent évoquer un « Consentement à payer médian », plutôt qu’un « Consentement à payer moyen », la raison pourrait se justifier par le fait qu’ils utilisent la fonction de log-vraisemblance en tenant compte du fait que la valeur médiane donne une valeur plus exacte et réaliste des prix auxquels la plupart des personnes interrogées sont prêtes à payer. En effet, trois montants initiaux étaient proposés et le répondant avait donc trois choix successifs à faire. Il en résulte que beaucoup de prix à payer étaient modérés et tandis que d’autres étaient élevés. Dans cette hypothèse, le prix moyen serait par exemple élevé et risque ne pas refléter la réalité des prix. D’où le recours au prix médian qui semble plus réaliste et plus proche de la réalité.
A titre d’exemple, on note dans le texte donné que le nombre médian de jours de la durée d’une maladie est de 4 jours, et la durée moyenne de 6,8 jours ; que le nombre médian de symptômes est de 1 et la moyenne de 2,2.
En ce qui concerne le prix à payer, lors du référendum le répondant ne donne pas directement son consentement à payer, mais indique entre à quelles valeurs il se situe ; ces valeurs pouvant être nulles ou infinies suivant la séquence des trois montants récoltés.
Les auteurs préfèrent évoquer un « consentement à payer médian » plutôt qu’un « consentement à payer moyen ». Car le CAP médian étant moins sujets aux valeurs extrêmes.Ce qui vent dire la valeur médiane en statistique est moins sujette aux valeurs extrêmes.Donc la médiane partage la population en 2 parts égales.Le paragraphe du texte dit que « le consentement à payer médian pour éviter une épisode de maladie d’une durée moyenne de 5,3 jours et 2,2 symptômes est de 35,10 Euros » signifie que 50% de personnes seraient prêts à payer cette somme et que l’autre 50% sera prête à payer plus.
Le consentement à payer médian est moins sujet aux valeurs extrêmes.
Les auteurs préfèrent calculer le consentement à payer médian parce que celui-ci est moins sujet aux valeurs extrêmes. Dans cette étude, le consentement à payer médian pour éviter un épisode de maladie d’une durée moyenne de 5,3 jours et 2,2sympthomes est de 35,10 €.
les auteurs préfèrent évoquer un « consentement à payer médian » car celui-ci est réel alors que le « CAP moyen » provient des calculs.
Le consentement à payer médian est souvent préféré par les auteurs car il se caractérisé par le fait qu’il est moins sujet aux valeurs extrêmes qu’un consentement à payer moyen. La médiane n’est pas influencer par les valeurs extrêmes comme l’est la moyenne.
Les auteurs préfèrent un CAP median à un CAP moyen car il est moins sujet aux valeurs extrêmes.
Les auteurs préfèrent évoquer un consentement à payer médian qu’un consentement payer moyen par ce que celui-ci est moins sujet aux valeurs extrêmes.
Les auteurs préfèrent évoquer un « consentement à payer médian », plutôt qu’un « consentement à payer moyen » parce que le consentement à payer médian est moins sujet aux valeurs extrêmes par rapport au consentement à payer moyen .