Pourquoi agréger des coûts externes (selon les sources de pollution) pour obtenir un coût externe global d’un combustible introduit-il un biais dans le résultat ?
cf. pp. 348-349 : « Une centrale électrique d’une technologie donnée occasionne plusieurs nuisances (...). Est-il possible d’additionner chacun de ces coûts pour avoir le coût global ? (...) cette question (...) suppose en tout état de cause que les composantes du coût soient des variables indépendantes. (...) on peut considérer par exemple que la sensibilité au NOx et donc le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soient pas indépendants de la présence d’un autre polluant comme les SOx. En tout état de cause, les études croisées sur les interactions des polluantes sont rares et semblent constituer une limite aux connaissances épidémiologiques actuelles. L’étude ExternE ne peut que refléter cette indépendance supposée des effets des polluants ».
Pourquoi agréger des coûts externes (selon les sources de pollution) pour obtenir un coût externe global d’un combustible introduit-il un biais dans le résultat ?
Le modèle théorique consistant à agréger les coûts externes de chaque source prise séparément risque de conduire à prendre en compte plusieurs fois une même pollution.
L’agrégation des coûts externes des différentes sources de pollution d’un même combustible provoque un biais liés à l’étiologie des différents polluants.
Effectivement une source de polluants atmosphériques pourra produire différents polluants qui auront des effets sur la santé en se combinant par exemple, ou en étant des facteurs amplificateurs des effets les uns par rapport aux autres... on sait par exemple que les effets des oxydes d’azotes et des oxydes de souffre, souvent produits simultanément par les combustions d’énergie fossiles, vont avoir des effets relativement similaires. Ces effets ne vont certainement pas se cumuler aussi "simplement" que l’on pourra cumuler leurs coûts externes.
Il introduit le biais d’inclusion car il existerait de synergies entre les différentes formes de pollution.
Cette agrégation pourrait donner lieu à des pertes d’information. La contribution de chaque source a une certaine ampleur qui n’est pas la même pour les autres sources. Du coup, la base d’agrégation des coûts est forcément axée sur brin de subjectivité.
Théoriquement, agreger les coûts externes supposent que les composantes des coûts soient des variables indépendantes.Ceci fournira l’évaluation et la valeur economique globale permettant la prise de décision sur l’utilisation d’un combustible dans un projet.
Cependant, cette méthode porte aussi à considérer que la sensibilité à un polluant et le dommage qu’il occasionne ne sont pas indépendant de la présence d’un autre polluant.
Car les différents polluants peuvent avoir un impact simultanément et avoir un effet synergique.
on agrège des couts externes selon les sources de production de pollutions pour obtenir un cout externe global d’un combustible pour obtenir un taux d’actualisation,Non on introduit pas un biais dans le résultat.
Il introduit un biais car les composantes du cout ne sont pas independantes.
Les études croisées sur les interactions des polluantes sont rares et semblent constituer une limite aux connaissances épidémiologiques actuelles. L’étude ExternE ne peut que refléter cette indépendance supposée des effets des polluants.
Agréger les couts externes selon les sources de pollution pour obtenir un cout externe globale d’un combustible introduit un biais car le traitement des rejets est beaucoup plus efficace sur un plan technique pour des sites centralisés de production d’électricité que pour des sites décentralisés. Ceci pourrait ainsi fausser l’évaluation des impacts des politiques
de réduction des émissions polluantes.
Agréger les coûts externes pour obtenir un coût global introduit un biais dans les résultats si les variables ne sont pas indépendantes. En effet, la sensibilité à un polluant et donc le dommage causé par ce polluant à l’organisme peuvent être exacerbés par la présence d’un autre polluant. Ceci implique des interactions entre les polluants et des calculs croisés pour obtenir le coût global
L’agrégation introduit un biais dans le résultat du fait de l’impossibilité de considérer de façon isolée que le coût est la résultante de variables indépendantes et aussi parce qu’il est impossible d’avoir une mesure parfaite des couts internes et externes du fait des imperfections du marché des prix mais aussi des marges d’erreurs qui y sont liées.
Peut être parce que tous les coûts ne sont pas pris en compte (externalités positives difficiles à évaluer).
Cela indroduit un biais parce que ce cout externe global peut être different du cout externe reel due aux interactions entre les polluants qui participent à l’évaluation du cout.
L’agrégation des coûts externes selon les sources de pollution est utilisée pour estimer le coût externe global de chaque filière.
Néanmoins, cette approche est fondée sur l’hypothèse selon laquelle les différentes composantes du coût global sont indépendantes entre elles.
L’analyse serait meilleure si l’on avait les moyens de prendre en compte par exemple les interactions des polluants entre eux (exemple : les dommages dûs au SO2 augmentent ils lorsqu’on a simultanément une forte exposition au NO2 ?) . Mais peu d’études épidémiologiques ont été menées en ce sens.
Agreger les coûts externes selon les sources de pollution pour obtenir un coût externe global introduit un biais dans le résultat car un même dommage sanitaire ou environnementale peut être causé par plusieurs sources de pollution.
parce-que ça masque la valeur ou l’impact réel d’un combustible sur les autres.
Afin de calculer avec une plus grande précision le coût de l’ensemble des nuisances à partir de l’addition de chacun des coûts
cela introduit un biais parce que le raisonnement est fait tout comme si les sources de pollution agissaient de façon individuel. Hors en pratique on assiste à des réactions intégrées, qui induisent soit des effets potentialisant, synergique, additifs ou antagoniste.
oui, comme mentionné, lorsqu’on considère la sensibilité au NOx, et le dommage occasionné par ce polluant à l’organisme ne soit pas indépendant de la présence d’un autre polluant comme les SOx, les études croisées sur les interactions polluantes sont rares et semblent constituer une limite aux connaissances épidémiologiques actuelles ; ce qui est alors un biais. Si les variables étaient indépendantes les unes des autres, c’est à dire que la présence d’un polluant n’était pas forcément liée à celle de l’autre, ceci réduirait voire enlèverait les sources du biais.
Une centrale électrique d’une technologie donnée occasionne plusieurs nuisances. Supposons que l’ on sache mesurer avec une précision raisonnable le coût de chacune de ces nuisances. Est-il possible d’ additionner chacun de ces coûts pour avoir le coût global ?
Il existe une solution théorique à cette question. Mais elle difficile à mettre en œuvre. Elle suppose en tout état de cause que les composantes du coût soient des variables indépendantes. Il s’agit d’une hypothèse forte. En effet on peut considérer par exemple que la
sensibilité au NOx et donc le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soient pas indépendants de la présence d’un autre polluant comme les SOx.
En tout état de cause, les études croisées sur les interactions des polluantes sont rares et semblent constituer une limite aux connaissances épidémiologiques actuelles. L’ étude ExternE ne peut que refléter cette indépendance supposée des effets des polluants.
car compte tenu des incertitudes sur les émissions, sur la dispersion et sur les effets sanitaires, le mieux est de définir un intervalle de confiance assortis de probabilités, oui il introduit un biais dans le résultat à travers cet intervalle
Agréger les couts externes pour obtenir le cout global d’un combustible ne tiendrait pas compte des externalités positives, telles que les économies d’énergie (dans l’habitat ou les transports par exemple)
— > l’évaluation du cout global serait donc biaisé
les composantes du coût externe global doivent être des variables indépendantes. L’étude des coûts externes ne peuvent que refléter cette indépendance supposée des effets des polluants.
Le traitement des rejets est plus efficace sur un plan technique pour des sites centralisés de production d’électricité que pour des sites décentralisés. L’agrégation des coûts externes augmente l’estimation des effets.
le biais provient du fait que les coûts sont additionnés pour faire un coût externe global alors que les composantes du coût devraient être considérées comme des variables indépendantes.
Selon la source de pollution, les effets sur la sante et l’environnement diffèrent. Ces differences sont dues à des biais liés à chaque cas qui meritent d’etre pris en compte singulièrement avant un calcul total.
pas absolument
C’est pour avoir une plus grande précision dans le calcul du coût de l’ensemble des nuisances à partir de l’addition de chacun des coûts
Parce qu’il est difficile de découper les processus physiopathologiques mis en jeu par un organisme exposé à plusieurs polluants puis de déterminer exactement les impacts de chaque polluant. Des interactions existent et peuvent modifier l’ensemble des impacts. L’agrégation des coûts externes de chaque polluant pour obtenir un coût externe global introduirait un biais dans le résultat car les études croisées sur les interactions sont rares et ces interactions ne sont pas connues dans ce cas.
En effet le traitement des rejets est beaucoup plus efficace sur un plan technique pour des sites centralisés de production d’électricité que pour des sites décentralisés. Ceci pourrait ainsi fausser l’évaluation des impacts des politiques de réduction des émissions polluantes. Aussi ce n’est que par raccroc que l’étude a porté sur l’utilisation de l’énergie dans l’habitat, au travers des économies d’énergie.
Parce que les composantes du coût externes ne sont pas des
variables indépendantes. Il existe des interactions entre eux, ces interactions peuvent avoir des effets positifs ou negatifs, ce qui change la somme globale (plus ou moins).
Il introduit le biais d’inclusion car il existerait de synergies entre les différentes formes de pollution
Le calcul qui intègre les couts externe selon les sources de pollutions peut conduire a une conclusion qu’une énergie est propres à lors les valeurs de référence pour l’évaluation à sous estimé sa pollutions.
Souvent les matières premières des produits sont dans d’autres pays et le calcul des couts externes doit tenir compte des réalités de chaque pays.
En conclusion, la prise en compte des couts des pollutions divers externes pour une énergie cause un problème d’évaluation objective des couts et une difficulté comparaisons des énergies
Pour pouvoir additionner les coûts externes des différentes sources de pollution, il faudrait que ces différentes sources soient indépendantes entre elles, ce qui n’est pas le cas dans la pratique.
En agrégeant des coûts externes, on ne tient pas compte des effets possibles des multi-expositions à différents polluants. Ceux-ci provoquent certainement des dommages supérieurs à la simple addition des dommages respectifs. Mais pour l’étude, ces effets sont considérés indépendamment.
Oui,il existe un biais parce qu’ il est difficile à mettre en œuvre et les composantes du coût doivent être des variables indépendantes.
Agréger les coûts externes pour obtenir un coût externe global d’un combustible consiste à introduire un biais dans le résultat car les externalités positives ou économies externes ne sont pas prises en compte expressément par l’étude. De plus, le traitement des rejets est beaucoup plus efficace sur un plan technique pour des sites centralisés de production d’électricité que pour des sites décentralisés. Ceci pourrait ainsi fausser l’évaluation des impacts des politiques de réduction des émissions polluantes.
oui si les variables qui composent le coût ne sont pas indépendantes(précations à prendre)
Le fait d’agréger des coûts externes pour obtenir un coût externe global d’un combustible introduis un biais dans les résultats car il peux exister des liens d’interdépendance entre les différents polluants du combustible. en plus, les études croisées sur les interactions des polluants sont rares et semblent constituer une limite aux connaissances épidémiologiques actuelles.
un biais dans les résultats est introduit pour obtenir un coût externe global d’un combustible. en effet, dans ces calculs, des ajustements doivent avoir lieu, justement pour réduire les biais
A cause d’une inexistance formelle de fixation des couts, concernant aussi bien les couts privés que externes.
Agréger des coûts externes selon les sources de pollution pour obtenir un coût externe global d’un combustible pourrait introduire un biais dans le résultat car les connaissances actuelles des études croisées sur les interactions de polluants sont rares.
Il faudrait donc savoir si les effets de chaque polluant pris en compte pour le calcul sont indépendants de la présence des autres polluants ce qui constitue une limite du fait de faibles connaissances actuelles en la matière.
En agrégeant des coûts externes pour obtenir un coût externe global d’un combustible, on fonctionne comme si les composantes du coût (et donc du dommage) étaient indépendantes les unes des autres : on néglige donc les interactions des différents polluants et le coût externe qui en résulte dans la réalité.
l’agrégation des coûts externes selon les sources de pollution pour obtenir un coût global peut introduire un biais .
Oui cela entrainerait un biais
Une centrale électrique d’une technologie donnée occasionne plusieurs nuisances .supposons que l’on sache mesurer avec une precision raisonnable le cout de chacune de ces nuissances . on peut considérer par exemple que la sensibilité au NOx et donc le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soient pas indépendants de la présence d’un autre polluant comme les SOx. En tout état de cause, les études croisées sur les interactions des polluantes sont rares et semblent constituer une limite aux connaissances épidémiologiques actuelles. L’étude ExternE ne peut que refléter cette indépendance supposée des effets des polluants ».
oui.ça diminue la fiabilité des résultats.
Agréger des coûts externes (selon les sources de pollution) pour obtenir un coût externe global d’un combustible introduit un biais dans le résultat à cause des incertitudes (marge d’erreur sensiblement élevée) liées à l’estimation des coûts externes.
Parce que les pollutions des les composants calcules ne sont pas independantes
Le fait de les agréger est une limite car cela revient à dire que les différents risques liés à un polluant sont complétement indépendants les uns des autres.
Il n’y aurait donc aucune intéraction entre les composants à risque.
Car elle ne prend pas en compte les interactions avec d’autres polluants présents dans le même espace et au même moment de l’exposition.
Ceci conduit à un biais car les coûts ne sont pas indépendants les uns des autres.
Parce que les pollutions sont considérées comme indépendantes alors que peut-être (voir probablement dans certains cas) des effets combinés se produisent. Selon les phénomènes physiques les coûts externes pourraient être supérieurs.
agréger les couts externes pour obtenir un cout externe global va introduire un biais parce que ce mode de calcul va supposer que les composants du cout sont des variables indépendantes ce qui n’est pas toujours le cas
le résultat ayant un biais due a l’agrégation des coûts externes (selon les sources de pollution) pour obtenir un coût externe global d’un combustible c’est le biais de confusion car certains source de pollution c’est pas lies a un combustible
Parce que le calcul des coûts externes doit se faire à partir de système de prix, qui n’existant pas fréquemment, laissent la place à un système de substitution (évaluation contingente) qui fait recours de sondages, votes ou marchés fictifs pour conduire les consommateurs à révéler leurs préférences. Les biais étant inhérents à cette méthode sont donc introduits.
Le biais dans l’agrégation des couts extenes des différentes sources de pollution est du à la considération que les composantes du coût sont des variables indépendantes et donc que les effets des polluants sont indépendants les uns des autres.
l’agregation des coûts externes supposent que les composantes des coûts soient des variables indépendantes.Ce qui permet d’évaluer et de déterminer la valeur économique globale permettant la prise de décision sur l’utilisation d’un combustible dans un projet. Cependant, cette méthode porte aussi à considérer que la sensibilité à un polluant et le dommage qu’il occasionne ne sont pas indépendant de la présence d’autres polluants.
car lis n’ont pas pris en compte les interactions entre les combustibles pour obtenir le cout externe global
Parceque finalement plusieurs sources d’énergies peuvent entrainer un meme type d’externalité. faire une agrégation à ce moment pourrait entrainer une extrapolation avec confusion en matière de connaissance de la source d’un élément. Ce qui constitue effectivement un biais dans l’étude.
J’arrive pas à comprendre bien le sens agréger des coûts externes :
Accorder à un seul groupe (ou compagnie) le droit de polluer par la production d’un combustible entraîne des erreurs dans les résultats d’évaluation des coûts externes de ce combustible.
Il y’a dissimilation de certaines données, la délocalisation des entreprises pour pouvoir émettre beaucoup plus dans d’autres régions moins contraignantes.
Car on ne peut pas considérer que les composantes du coût soient des variables indépendantes. Elles sont liées entre elles. L’étude ExternE reflète cette indépendance supposée des effets des polluants.
Agréger des coûts externes pour obtenir un coût externe global introduit un biais dans le résultat car il y a une possibilité d’interdépendance entre les effets et donc les coûts.
Additionner des coûts externes d’une source de pollution est un exercice compliqué. En effet, cela sous entend que chaque coût soit independant les uns des autres. Or differents agent polluant peuvent avoir les même conséquences sanitaire.
La valeur est globale dans le sens où les différents impacts se trouvent agrégées dans un résultat unique sans qu’il soit possible de retrouver le poids de chaque effet ni de savoir si d’autres nuisances ne se trouvent pas incluent dans cette valeur finale : la valeur sera donc incomplète.
Dans le cas de la pollution atmosphérique, les impacts sont beaucoup plus diversifiés et diffus, sa perception est moins évidente et les indicateurs de mesures plus discutables : les couts établies sur un marché connexe apparaissent plus difficiles à relier sans équivoque à cette nuisance
: car s’il a compte le nuisance independente comme le NOX ce n’est pas le meme effet avec le SOX on peut considérer par exemple que la sensibilité au NOx et donc le dommage occasionné à l’organisme par ce pollutant ne soient pas indépendants de la présence d’un autre polluant comme les Sox . c’est pour ca les études croisées sur les interactions des polluantes sont
rares et semblent constituer une limite aux connaissances épidémiologiques
actuelles. L’étude ExternE ne peut que refléter cette indépendance supposée des
effets des polluants.
Cela introduit un biais dans le résultat à cause des interactions possibles qui existent des polluants.
Un combustible peut occasionner différents polluants. Ces derniers peuvent avoir des effets interdépendants l’un vis à vis de l’autre. Les dommages causés à l’organisme peuvent être liés à une combinaison des effets des polluants ou à l’augmentation de l’un par rapport aux autres . Ainsi, l’agrégation des coûts externes des sources de pollution pour obtenir le coût global d’un combustible peut être entachée d’un biais de résultat.
Il est préférable de dissocier les coûts externes suivant les sources de pollution pour ne pas biaiser les résultats.
Agréger des coûts externes (selon les sources de pollution) pour obtenir un coût externe global introduit un biais dans le résultat parce que une centrale électrique d’une technologie donnée occasionne plusieurs nuisances et il ne suffit pas d’additionner chacun de ces coûts pour avoir le coût global. Aussi les études croisées sur les interactions des polluantes sont rares, constituant un facteur limitant.
Les combustibles génèrent de nombreux polluants qui peuvent interagir entre eux. En effet, les dommages subis par l’organisme, peuvent dépendre de l’association de plusieurs polluants. De plus, il existe très peu d’études croisées portant sur les interactions des polluants. Cela témoigne de lacunes épidémiologiques dans ce domaine.
Donc je pense que cela introduirait un biais de mesure.
On trouve la réponse dans la partie L’addition des coûts externes entre eux (p 348-349)
La question est la suivante. Une centrale électrique d’une technologie donnée occasionne plusieurs nuisances. Supposons que l’on sache mesurer avec une précision raisonnable le coût de chacune de ces nuisances. Est-il possible d’additionner chacun de ces coûts pour avoir le coût global ?
Il existe une solution théorique à cette question. Mais elle difficile à mettre en œ uvre. Elle suppose en tout état de cause que les composantes du coût soient des variables indépendantes.
Il s’agit d’une hypothèse forte. En effet on peut considérer par exemple que la sensibilité au NOx et donc le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soient pas indépendants de la présence d’un autre polluant comme les SOx. En tout état de cause, les études croisées sur les interactions des polluantes sont rares et semblent constituer une limite aux connaissances épidémiologiques actuelles. L’étude ExternE ne peut que refléter cette indépendance supposée des effets des polluants.
Oui car comme nous l’avons dit précédement, ces couts externes sont partie intégrante du cycle de vie du produit.
Les études épidémiologique et sanitaire trouve des difficultés à prendre en charge touts les effets nocifs des déférentes substances engendré par un accédant par exemple industrielle, à cause des limites scientifique et méthodologique. Alors,
Cela devient un biais (ex : biais d’inclusion) d’étude qui a son émergence fortuit sur l’évaluation exacte des couts globaux d’un produit en question d’étude comme notre cas là les produits énergétiques.
Le fait d’agréger les coûts externes pour obtenir un coût externe global d’un combustible introduit un biais dans le résultat, car c’est comme si on considérer que les coûts externes générés par chaque source de pollution sont indépendant. Or il n’est pas possible d’affirmer que cette hypothèse soit vraie.
On a agrégé les coûts externes pour obtenir le coût externe global d’un combustible car l’étude vise la comparaison d’externalité de chaque combustible.Mais ceci introduit un biais car une valeur d’externalité basse n’implique pas l’absence de nocivité.C’est le cas de la biomasse avec un coût externe de 3,6 inférieur à celui de gaz qui est de 10,9 présente un coût plus élevé de santé publique 3,10 plus élevé que le coût externe de la santé pour le gaz.
Agréger des coûts externes pour obtenir un coût globale introduit un biais dans le résultat dans la mesure où l’on considère que le coût de chaque composante d’un combustible est indépendant .
Agréger les coûts externes (selon les sources de pollution) pour obtenir un coût externe global d’un combustible introduit un biais parce que les dommages occasionnés à l’organisme par un polluant ne sont pas absolument indépendants de la présence d’un autre polluant. Par ailleurs les coûts externes sont soit dérivés de systèmes de prix soit forgés à partir de méthodes de substitution. Il y a des incertitudes entachant les évaluations respectives des coûts privés et celles des coûts externes et la question des marges d’erreur sur les coûts externes demeure importante.
dans la mesure ou il est difficile d’additionner les coûts pour avoir le coût global .
prenant en exemple que la sensibilité au NOx et donc le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soient pas indépendants de la présence d’un autre polluant comme les SOx.
les études croisées sur les interactions des polluantes sont rares et semblent constituer une limite aux connaissances épidémiologiques actuelles. L’étude ExternE ne peut que refléter cette indépendance supposée des effets des polluants.
Le fait d’agréger des coûts externes pour obtenir un coût externe global d’un combustible introduit un biais dans les résultats car il peux exister des liens d’interdépendance entre les différents polluants du combustible. en plus, les études croisées sur les interactions des polluants sont rares et semblent constituer une limite aux connaissances épidémiologiques actuelles.
L’étude ExternE a bien souligné l’indépendance de chaque polluant par rapport au dommage qu’il peut causer pour l’organisme.
Parce que les polluants peuvent exercer des interactions, entraînant une interdépendance, d’où une corrélation dans les dommages consécutifs à ces expositions.
Pour l’agrégation des couts externes , on suppose prendre en compte les effets d’une même pollution (via les phénomènes de pollution diffuse) : dans le calcul du coût externe d’un combustible dû à cette émission de polluant proprement dite, et dans le calcul du coût externe d’un même combustible, dû cette fois à une pollution qu’on attribue exclusivement à un autre polluant alors que « le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soit pas indépendant de la présence d’un autre polluant ». On risque donc, dans ce cas de surestimer le coût externe global d’un combustible. Donc à travers ce schéma on montre qu’on peut surestimer le cout externe global rien qu’en prenant en compte les effets d’une même pollution.
Agréger des coûts externes de différentes sources conduirait à une addition des surestimations effectué au niveau des différentes évaluations.
Si on fait l’hypothèse que les composantes de coûts sont des variables indépendantes, on occulte complètement la possibilité qu’il existe entre les polluants des effets potentialisant. Une simple addition des coûts n’est donc peut être pas le reflet des coûts réels induits par l’exposition à des polluants multiples. Les connaissances épidémiologiques dans le domaine des interactions entre polluants sont encore lacunaires. Faire cette hypothèse introduit donc un biais dans les résultats que le gestionnaire du risque devra prendre en compte dans ses choix.
L’agrégation des coûts externes selon les sources de pollution pour obtenir un coût externe global d’un combustible introduit un biais car le rejet des polluants est difficile à mesurer dans le cadre de sites décentralisés.
L’additivité des coûts externes repose sur l’hypothèse forte que les composantes du coût soient des variables indépendantes. Or les connaissances épidémiologiques sur les interactions entre polluants sont limitees, ce qui entraine un biais.
Parce que les effets des différents polluants peuvent être modifiés par potentialisation, synergie ou antagonisme avec les autres polluants en présence.
parce que généralement (même s’il n’existe pas encore beaucoup d’études croisées) il est difficile de nier l’implication d’un polluant dans l’amplification de l’effet d’un autre polluant. Il y aurait donc là un biais d’estimation, car alors, on aurait peut-être minimisé le coût de l’éxternalité dans ce sens .
Agréger les coûts externes pour obtenir un coût externe global d’un combustible introduit un biais dans le résultat car la sensibilité à un polluant et les dommages causés par ce polluant à l’organisme peuvent être aggravés par la présence d’un autre polluant. Ce qui implique des interactions entre les polluants et des calculs croisés pour obtenir le coût global.
Cela indroduit un biais parce que ce cout externe global peut être different du cout externe reel due aux interactions entre les polluants qui participent à l’évaluation du cout.
les effets de croisement de polluants sont rarement pris en compte dans cet agrégat.
L’agrégation des coûts externes pour obtenir un coût externe global d’un combustible introduit un biais dans le résultat à cause de la dépendance pour la plupart des différents variables. En effet, deux polluants (NOx et SO2 par exemple) issus de la combustion d’un même combustible peuvent avoir des impacts similaires sur la santé et l’environnement. Dans cette condition, il serait difficile de déterminer avec exactitude la part de chaque polluant.
Le fait d’agréger des coûts externes selon les sources de pollution en vu d’obtenir un coût externe global d’un combustible pourrait introduire un biais dans le résultat puisque les connaissances actuelles des études croisées sur les interactions de polluants sont rares. Comment apprécier l’indépendance d’effets de chaque polluant pris en compte pour le calcul de la présence des autres polluants, élément qui constitue une limite du fait de faibles connaissances actuelles en la matière.
pour obtenir un coût externe global d’un combustible cela introduit un biais dans le résultat.
Pour agréger des coûts externes (selon les sources de pollution) pour obtenir un coût externe global d’un combustible n’introduit- pas de biais dans le résultat du fait qu’on pourra additionner les résultats.
Si on a une centrale de production de l’énergie qui est à l’origine de plusieurs sources de pollution. La question est de savoir s’il s’agit d’additionner le coût de chaque source de pollution pour obtenir le coût global. pour que cela soit possible, il faudrait que les impacts des polluants sur la santé soient indépendant les uns des autres. ce qui n’est pas toujours vrai. d’où le biais dans le résultat.
Sans pouvoir en limiter la possibilité in fine, additionner les coûts pourrait probablement introduire un biais –hypothétique ?- ; en effet si la somme des effets / coûts associés à l’impact sur l’environnement et la santé tend à maintenir une tendance de coût total très élevé, il n’y encore pas d’évidence / preuve que les coûts additionnés reflètent un coût global identique. De plus l’association redondante d’agents (même agent identifié avec un effet / coût spécifique dans chaque filière serait re-calculé pour un même effet accumulé global à valeur d’impact important) pourrait fausser un calcul / impact réel global de manière probablement surestimée… ? C’est à cet effet que l’étude revendique une prise en compte d’une « indépendance supposée des effets polluants ».
Pour additionner les coûts externes des différentes sources de pollution, il faut que les sources de pollution soient indépendantes les unes des autres. Il nous faut isoler les polluants ce qui en pratique n’est absolument pas le cas !!
Dans le texte page 349, on peut lire « l’étude externe ne peut que refléter cette indépendance supposées des effets des polluants ».
Car, si l’on considère que chaque polluant donne des effets sur la santé et l’environnement de façon indépendante, on risque de perdre des renseignements relatifs à sa vraie nature et aux actions qu’il exerce.
Les études croisées sur les interactions des polluants sont rares et semblent constituer une limite aux connaissances épidémiologiques actuelles.
L’étude ExternE reflet cette indépendance.
L’agrégation des coûts externes pour obtenir un coût externe global d’un combustible introduit un biais dans le résultat parce qu’elle suppose en tout état de cause que les composantes du coût soient des variables indépendantes.
Agréger les coûts externes pour obtenir un coût externe global d’un combustible consiste à introduire un biais dans le résultat car les externalités positives ne sont pas prises en compte par l’étude. De plus, les composantes du coût externes ne sont pas des variables indépendantes. Il existe des interactions entre eux, ces interactions peuvent avoir des effets positifs ou négatifs, ce qui change forcément la somme globale.
les agregats de couts sont toujours sujets à confusion car pris de façon globale il y a de fortes que des confusions puissent s’opérer
Les composantes du coût sont des variables indépendantes. De même, le coût de dommages est différent pour chaque polluant, en effet il est particulièrement élevé pour le charbon par rapport au gaz naturel dont le coût des dommages est environ un tiers celui du charbon.
L’addition de chacun des coûts externes pour obtenir un coût global introduit un biais dans les résultats. Cette solution suppose en tout état de cause que les composantes du coût soient des variables indépendantes. Il s’agit d’une hypothèse forte. En effet on peut considérer par exemple que la sensibilité au NOx et donc le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soient pas indépendants de la présence d’un autre polluant comme les SOx. En tout état de cause, les études croisées sur les interactions des polluantes sont rares et semblent constituer une limite aux connaissances épidémiologiques actuelles. L’étude ExternE ne peut que refléter cette indépendance supposée des effets des polluants.
« Une centrale électrique d’une technologie donnée occasionne plusieurs nuisances (...). Est-il possible d’additionner chacun de ces coûts pour avoir le coût global ? (...) cette question (...) suppose en tout état de cause que les composantes du coût soient des variables indépendantes. (...) on peut considérer par exemple que la sensibilité au NOx et donc le dommage occasionné à l’organisme par ce polluant ne soient pas indépendants de la présence d’un autre polluant comme les SOx. En tout état de cause, les études croisées sur les interactions des polluantes sont rares et semblent constituer une limite aux connaissances épidémiologiques actuelles. L’étude ExternE ne peut que refléter cette indépendance supposée des effets des polluants ».----------> il y a bien un biais.
Agréger des coûts externes (selon les sources de pollution) pour obtenir un coût externe global d’un combustible peut effectement introduire un biais dans le résultat car on ne tient pas compte des effets possibles des multi-expositions à différents polluants. En effet, les études croisées sur les interactions des polluants sont rares et constituent une limite aux connaissances épidémiologiques actuelles.
Dans la page 348-349 :"(........)....Une centrale électrique d’une technologie donnée occasionne plusieurs nuisances.Supposons que l’on sache mesurer avec une précision raisonnable le coût de chacune de cas de nuisances.Est-il possible d’additionner chacun de coûts pour avoir le coût global ?(........). Elle suppose en tout état de cause que les composants du coût soient des variables indépendants."
Pour qu’il y aura addition il faudrait que les sources des impacts des polluants soient indépendant des autres polluants.Or ceux-ci sont rares voire ne sont pas pratique.D’où l’addition peut biaiser le résultat.
Les coûts externes diffèrent selon la source de pollution et aussi selon le combustible considéré. L’agrégation est donc un moyen d’harmoniser les dispersions dans l’optique d’obtenir un résultat d’aide à décision. En effet, on associe les coûts pour éviter la dispersion des valeurs et des résultats attendus.
A cet effet, le fait d’additionner chacun des coûts (privés et externes) pour avoir le coût externe global d’un combustible introduit un biais parce que les couts externes de départs sont déjà différents selon la source de pollution et ne sont pas toujours représentatifs des différents coûts externes pris individuellement.
L’addition des coûts externes entre eux supposent que les composantes du coût soient des variables indépendantes.
agréger les coûts externes pour obtenir un coût externe global entraine un biais dans les résultats car un effet peut être influencer par plusieurs polluants.
L’étude ExternE ne peut que refléter cette indépendance supposée des effets des polluants
Et par conséquence, le fait d’agréger les coûts externes selon les sources de pollution pour obtenir un coût externe global d’un combustible introduit un biais car le traitement des rejets est beaucoup plus efficace sur un plan technique pour des sites de production à titre d’exemple production d’d’électricité.
les sources de polluants sont diverses et peuvent avoir des effets interactifs ou de synergie entre elles.or les études ont des limites a préciser les effets d’un cocktail de polluants.Agreger leurs couts peut alors biaiser les resultats.
Agréger les couts externes pour obtenir un cout global d’un combustible introduit un biais car chaque source de pollution génère des couts qui lui sont propre. Par conséquent agréger les couts induit une erreur.
l’agrégation des différents coûts entraînerait un biais dans la mesure ou différents polluants peuvent induire des effets additifs sur la santé