La toxicologie participe à la caractérisation du danger. Pour l’évaluation du risque il faut aussi déterminer le niveau d’exposition de la population concernée.
La toxicologie participe à la caractérisation du danger. Pour l’évaluation du risque il faut aussi déterminer le niveau d’exposition de la population concernée.
Ils permettent d’évaluer UN risque et dans un contexte défini c’est-à-dire avec un effet critique et une dose critique déterminés, un contexte d’exposition lui aussi précisé : durée, voie...
Ils faudra aussi garder à l’esprit qu’ils sont déterminés avec des incertitudes liées à un certain nombre de paramètres, incertitudes qu’il faudra prendre en considération lors de l’analyse des résultats et donc lors de l’établissement de valeurs de références liées à ce risque.
L’évaluation du risque implique l’identification du danger et sa caractérisation, l’évaluation de l’exposition et la caractérisation du risque. Sur cette base, la DL50 et la VTR ne peuvent contribuer à l’évaluation du risque dans des cas appropriés. La DL50 est applicable dans le cas de toxicité aigue pour une administration orale et pour une dose unique. Elle ne pourrait par conséquent pas être considéré pour risques d’effets toxiques dans le cadre de toxicité chronique et dûs à l’absorption de faible quantité et des effets cancérigènes.
La VTR : Comme le nom l’indique, c’est la valeur toxicologique de référence. De ce fait, elle doit être considérée dans des contextes bien précis. Toute transposition pour la sécurité sanitaire d’un public cible doit tenir compte de plusieurs paramètres ayant servi à la fixation de cette VTR, en l’occurence, la spécifité d’espèce, la voie et la durée d’exposition. Des facteurs correctifs peuvent aussi être appliqués.
Cependant, le risque étant la probabilité de survenue d’un danger associé à l’importance des conséquences du danger, la DL 50 et la VTR peuvent être considérés dans des contextes appropriés, à l’évaluation du risque.
VTR= Valeurs toxicologiques de référence est une valeur permettant d’établir une relatio quantitative et qualitative entre une exposition à une substance chimique et un effet sanitaire.
DL50= Dose létale50 est la dose administrée en une fois qui provoque la mort de 50% des animaux .
Partant donc de ces définitions, nous pouvons affirmer que ces deux notions ayant des valeurs réglémentaires permettent d’évaluer le risque.
Ces valeurs sont issues des expériences réalisées afin d’étudier l’exposition de l’homme à une substance donnée. elles quantifient le dommage et aident à établir des normes d’expositions.
Ils donnent une information indispensable sur le xénobiotique mais ensuite il faut pouvoir évaluer le risque par le niveau d’exposition à la substance dangereuse (dose absorbée, voie d’exposition , susceptibilité individuelle, ....le risque dépend aussi des paramètres toxicocinétiques de la substance qui vont déterminer son absorption, sa diffusion, sa biotransformation et son élimination ..et donc aussi les dommages causés au corps à ces différentes étapes)
La mesure du risque se définit par la probabilité de survenue de manifestations pathologiques.
Ils donnent une information indispensable sur la dangerosité de la substance et la dose dangereuse mais ensuite il faut pour évaluer le risque connaître le niveau d’exposition au xénobiotique : dose absorbée, voie d’exposition, susceptibilité individuelle...les paramètres toxico-cinétiques de la substance vont aussi déterminer son mode d’action dans le corps , avec des dommages qui peuvent être causés à plusieurs étapes (absorption, diffusion, biotransformation, élimination) .
La mesure du risque se définit ainsi par la probabilité de survenue de manifestations pathologiques.
Un certain nombre de facteurs d’incertitudes sont encore à prendre en compte dans le calcul du risque.
Ils donnent une information indispensable sur la substance dangereuse et la dose dangereuse mais pour évaluer le risque il faut connaître le niveau d’exposition au xénobiotique : dose absorbée, voie d’exposition, susceptibilité individuelle, ... les paramètres toxicocinétiques de la substance vont aussi déterminer son mode d’action dans le corps , avec des dommages qui peuvent être causés à plusieurs étapes (absorption, diffusion, biotransformation, élimination).
La mesure du risque est ainsi la probabilité de survenue de manifestations pathologiques.
Il faudra encore considérer des facteurs d’incertitude dans le calcul du risque.
Ils donnent une information indispensable sur la substance dangereuse et la dose dangereuse mais pour évaluer le risque il faut connaître le niveau d’exposition au xénobiotique : dose absorbée, voie d’exposition, susceptibilité individuelle, ... les paramètres toxicocinétiques de la substance vont aussi déterminer son mode d’action dans le corps , avec des dommages qui peuvent être causés à plusieurs étapes (absorption, diffusion, biotransformation, élimination).
La mesure du risque est ainsi la probabilité de survenue de manifestations pathologiques.
Il faudra encore considérer des facteurs d’incertitude dans le calcul du risque.
Ils donnent une information indispensable sur la substance dangereuse et la dose dangereuse mais pour évaluer le risque il faut connaître le niveau d’exposition au xénobiotique : dose absorbée, voie d’exposition, susceptibilité individuelle, ... les paramètres toxicocinétiques de la substance vont aussi déterminer son mode d’action dans le corps , avec des dommages qui peuvent être causés à plusieurs étapes (absorption, diffusion, biotransformation, élimination).
La mesure du risque est ainsi la probabilité de survenue de manifestations pathologiques.
Il faudra encore considérer des facteurs d’incertitude dans le calcul du risque.
Ils donnent une information indispensable sur la substance dangereuse et la dose dangereuse mais pour évaluer le risque il faut connaître le niveau d’exposition au xénobiotique : dose absorbée, voie d’exposition, susceptibilité individuelle, ... les paramètres toxicocinétiques de la substance vont aussi déterminer son mode d’action dans le corps , avec des dommages qui peuvent être causés à plusieurs étapes (absorption, diffusion, biotransformation, élimination).
La mesure du risque est ainsi la probabilité de survenue de manifestations pathologiques.
Il faudra encore considérer des facteurs d’incertitude dans le calcul du risque.
1/ oui les DL50 et VTR sont des paramètres toxicologiques qui permettent d’évaluer le risque.
Ces valeurs de références sont issues des expériences réalisées afin d’étudier l’exposition humaine à une substance donnée. Elles quantifient le dommage, et donne des limites d’exposition acceptable.
Ils donnent une information indispensable sur la substance dangereuse et la dose dangereuse mais pour évaluer le risque il faut connaître le niveau d’exposition au xénobiotique : dose absorbée, voie d’exposition, susceptibilité individuelle, ... les paramètres toxicocinétiques de la substance vont aussi déterminer son mode d’action dans le corps , avec des dommages qui peuvent être causés à plusieurs étapes (absorption, diffusion, biotransformation, élimination).
La mesure du risque est ainsi la probabilité de survenue de manifestations pathologiques.
Il faudra encore considérer des facteurs d’incertitude dans le calcul du risque.
En partie,en donnant des informations capitales sur la toxicité et dangerosité de la dose dangereuse d’une substance.Mais d’autres paramètres interviennent pour l’évaluation du risque:la durée del’exposition...
Ils donnent une information indispensable sur la substance dangereuse et la dose dangereuse mais pour évaluer le risque il faut connaître le niveau d’exposition au xénobiotique : dose absorbée, voie d’exposition, susceptibilité individuelle, ... les paramètres toxicocinétiques de la substance vont aussi déterminer son mode d’action dans le corps , avec des dommages qui peuvent être causés à plusieurs étapes (absorption, diffusion, biotransformation, élimination).
La mesure du risque est ainsi la probabilité de survenue de manifestations pathologiques.
Il faudra encore considérer des facteurs d’incertitude dans le calcul du risque.
bonjour.
oui.
pour DL50 il nous donne une dose qui tue, pour l homme on peut pas appliquer ce parametre on peut faire une extrapolation qui , je crois, sera pas facile. par contre la VTR nous donne la valeur qu on peut appliquer a l homme .
bonjour.
oui.
pour la DL50 elle nous donne une valeur qui tue , pour l appliquer chez l homme il nous faut extrapoler se parametre avec des corrections et des ajustements. par contre la VTR va servir pour evluer directement le risque chez l homme
Les expériences en toxicologie se font sur des animaux non ?
car le niveau de risque minimal ne peut être appliquer aux substances cancérigènes.
Cr le niveau de risque minimal ne peut être appliquer aux substances cancérigènes.
non , elle ne s ’ applique pas à toute les substance
non car le niveau de risque minimal ne peut être appliqué aux substances cancérigène.
Bien que le DL50 ait été abandonné au profit de la méthode des 3R, il permettait d’évaluer la dose létale d’une substance sur 50% d’animaux. Cette méthode devait décimer de grands nombre d’animaux.
Bien que la méthode de DL50 aient été abandonnée au profit de la méthode des 3R, elle permettait d’évaluer la dose létale d’une substance sur 50% d’animaux. Cette méthode a due être très gênante pour les protecteur de la faune.
la DL50 et la VTR permettent d’évaluer le risque dans la mesure où ces paramètres permettent de déterminer la dose estimée dangereuse d’un toxique pour l’homme
cces deux paramètre ne permettent pas ’évaluer le risque car le risque est une probabiité de survenue d’un domage. il met également en jeus des paramettre d’exposition et de temps d’exposition
ilil faudrait également considéré l’exposition et le temps d’exposition ainsi que les budgets espace temps des personnes
Ils permettent d’évaluer la dangerosité, il faut qu’il y ait exposition pour qu’il y ait risque
DL50 est abondonne pour l’evaluation de risque depuis l’application de la regle 3R
DL50 est abondonnee pour l’evaluation de risque depuis l’application de la regle 3R
les parametres toxicologiques( DL50, VTR) ;
La DL50 selon laquelle on observe une manifestation toxique chez 50% des exposés et la VTR (valeur toxicologique de reference) est la valeur predictive d’un effet ou de l’absence d’effet. il existe des VTR avec seuil et des VTR pour des substances non cancerigenes et des VTR pour des substances cancerigenes.
Dans ce cas on peut affirmer que ces paramètres permettent d’evaluer le risque.
Les études toxicologiques ont pour but d’apprécier la dangerosité d’un produit grâce à ses caractéristiques. On distingue pour cela diverses types d’études toxicologiques telles que :
La toxicologie générale
La toxicodynamique
La toxicicinétique
La toxicologie réglementaire.
Pour évaluer donc un risque, les paramètres toxicologiques doivent prendre en considération le niveau d’exposition, la durée de l’exposition et l’élément capable de causer une atteinte à l’organisme.
Les études toxicologiques ont pour principales but d’étudier la dangerosité des produits sur l’organisme humain. Dans ce cas, l’évaluation des risques doivent aussi prendre en compte tant le niveau d’exposition que celui de la nature des produits susceptibles de porter atteinte à la santé d’une population.
La VTR est le paramètre de base de la toxicologie et elle est surtout liée à la détermination de la relation de la dose-effet.
La VTR est un paramètre en toxicologie et elle est utilisée dans la détermination de la relation dose-effet.
les paramétres toxicologiques (DL50, VTR) ne permettent pas d’évaluer le risque mais permettent plutôt d’evaluer le danger.
Le risque biologique est le rapport de la probabilité d’occurrence d’un événement par l’unité de dose reçue. La DL50 et la VTR sont des mesures permettant d’évaluer le risque. Cependant les substances sans seuil necessitent autre VTR nommée ERU .
Le risque biologique est le rapport de la probabilité d’occurrence d’un événement par l’unité de dose reçue. La DL50 et la VTR sont des mesures permettant d’évaluer le risque. Cependant les substances sans seuil necessitent autre VTR nommée ERU .
Le risque biologique est le rapport de la probabilité d’occurrence d’un événement par l’unité de dose reçue. La DL50 et la VTR sont des mesures permettant d’évaluer le risque. Cependant les substances sans seuil necessitent autre VTR nommée ERU .
Le risque biologique est le rapport de la probabilité d’occurrence d’un événement par l’unité de dose reçue. La DL50 et la VTR sont des mesures permettant d’évaluer le risque. Cependant les substances sans seuil necessitent autre VTR nommée ERU .
Le risque biologique est le rapport de la probabilité d’occurrence d’un événement par l’unité de dose reçue. La DL50 et la VTR sont des mesures permettant d’évaluer le risque. Cependant les substances sans seuil necessitent autre VTR nommée ERU .
Le risque biologique est le rapport de la probabilité d’occurrence d’un événement par l’unité de dose reçue. La DL50 et la VTR sont des mesures permettant d’évaluer le risque. Cependant les substances sans seuil necessitent autre VTR nommée ERU .
Le risque biologique est le rapport de la probabilité d’occurrence d’un événement par l’unité de dose reçue. La DL50 et la VTR sont des mesures permettant d’évaluer le risque. Cependant les substances sans seuil necessitent autre VTR nommée ERU .
Le risque biologique est le rapport de la probabilité d’occurrence d’un événement par l’unité de dose reçue. La DL50 et la VTR sont des mesures permettant d’évaluer le risque. Cependant les substances sans seuil necessitent autre VTR nommée ERU .
Une valeur toxicologique de référence, ou VTR, est un indice toxicologique qui permet de qualifier ou de quantifier un risque pour la santé humaine tandisque La dose létale 50 (DL50) représente la dose de toxique conduisant à la mort de 50% permet de évaluer les risques.
Elles établissent un lien entre une exposition à une substance toxique et l’occurrence d’un effet sanitaire indésirable.
La dose létale 50 (DL50) représente la dose de toxique conduisant à la mort de 50% et permet d’évaluer les risques, tandis que la VTR permet de qualifier et de quantifier
La VTR permet de qualifier ou de quantifier un risque
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La dose létale 50 (DL50) représente la dose de toxique conduisant à la mort de 50% et permet d’évaluer les risques, tandis que la VTR permet de qualifier et de quantifier un risque
La dose létale 50 (DL50) représente la dose de toxique conduisant à la mort de 50% et permet d’évaluer les risques, tandis que la VTR permet de qualifier et de quantifier un risque
j’ai des problemes aves mes commentaires qui ne sont pas prises en compte apres que je tente de les afficher sur le site
oui car permet de voir l’importance de la relation dose effet
les paramettre DL50 et VTR permettre de mesurer le danger. La VTR permet de quantifier et de qualifier le risque.
Je pense que le temps d’exposition et la voie de pénétration sont indispensable pour évaluer le risque
La DL50 et la VTR permettent d’evaluer le danger. La VTR permet d’apprecier quantitativement et qualitativement le risque
mais il y a également d’autres volets qui intervienne :
recherche exhaustive des données scientifiques dans la littérature internationale ;
Analyse de la pertinence des différentes études (par exemple la généralisation de résultats obtenus en milieu professionnel ou encore la transposition de l’animal à l’homme) ;
Plausibilité des relations de causalité ;
Connaissance des mécanismes d’action ;
Estimation des niveaux d’exposition de la population ;
Ces paramètres permettent d’évaluer un risque qu’une personne peut développer un effet néfaste pour l’organisme (toxicité). En effet, le DL 50 montre une dose par laquelle une fois ingérée provoque un effet néfaste de toxicité chez l’homme ou de létalité (mortalité chez l’animal) chez 50% des individus. Il est de même pour le VTR qui un indice montrant le lien (dont le degré de la sévérité) entre l’exposition de l’homme à une substance toxique. Une probabilité de survenue de manifestations pathologiques, leur étendue, leur gravité, en fonction du niveau d’exposition qui a été déterminé. C’est cette probabilité, qui correspond à l’exposition réelle, qui constitue la mesure du risque.
Oui, ces paramètres permettent d’évaluer un risque qu’une personne peut développer un effet néfaste pour l’organisme (toxicité). En effet, le DL 50 montre une dose par laquelle une fois ingérée provoque un effet néfaste de toxicité chez l’homme ou de létalité (mortalité chez l’animal) chez 50% des individus. Il est de même pour le VTR qui un indice montrant le lien (dont le degré de la sévérité) entre l’exposition de l’homme à une substance toxique. Une probabilité de survenue de manifestations pathologiques, leur étendue, leur gravité, en fonction du niveau d’exposition qui a été déterminé. C’est cette probabilité, qui correspond à l’exposition réelle, qui constitue la mesure du risque.
Oui, ces paramètres permettent d’évaluer un risque qu’une personne peut développer un effet néfaste pour l’organisme (toxicité). En effet, le DL 50 montre une dose par laquelle une fois ingérée provoque un effet néfaste de toxicité chez l’homme ou de létalité (mortalité chez l’animal) chez 50% des individus. Il est de même pour le VTR qui un indice montrant le lien (dont le degré de la sévérité) entre l’exposition de l’homme à une substance toxique. Une probabilité de survenue de manifestations pathologiques, leur étendue, leur gravité, en fonction du niveau d’exposition qui a été déterminé. C’est cette probabilité, qui correspond à l’exposition réelle, qui constitue la mesure du risque.
Oui, ces paramètres permettent d’évaluer un risque qu’une personne peut développer un effet néfaste pour l’organisme (toxicité). En effet, le DL 50 montre une dose par laquelle une fois ingérée provoque un effet néfaste de toxicité chez l’homme ou de létalité (mortalité chez l’animal) chez 50% des individus. Il est de même pour le VTR qui un indice montrant le lien (dont le degré de la sévérité) entre l’exposition de l’homme à une substance toxique. Une probabilité de survenue de manifestations pathologiques, leur étendue, leur gravité, en fonction du niveau d’exposition qui a été déterminé. C’est cette probabilité, qui correspond à l’exposition réelle, qui constitue la mesure du risque.
N’importe quoi !
parce qu’il ya d’autres paramètres qui interviennent dans l’évaluation du risque
Ces paramètres permettent d’évaluer un risque qu’une personne peut développer un effet néfaste pour l’organisme (toxicité). En effet, le DL 50 montre une dose par laquelle une fois ingérée provoque un effet néfaste de toxicité chez l’homme ou de létalité (mortalité chez l’animal) chez 50% des individus. Il est de même pour le VTR qui un indice montrant le lien (dont le degré de la sévérité) entre l’exposition de l’homme à une substance toxique. Une probabilité de survenue de manifestations pathologiques, leur étendue, leur gravité, en fonction du niveau d’exposition qui a été déterminé. C’est cette probabilité, qui correspond à l’exposition réelle, qui constitue la mesure du risque.
Oui, ces paramètres permettent d’évaluer un risque qu’une personne peut développer un effet néfaste pour l’organisme (toxicité). En effet, le DL 50 montre une dose par laquelle une fois ingérée provoque un effet néfaste de toxicité chez l’homme ou de létalité (mortalité chez l’animal) chez 50% des individus. Il est de même pour le VTR qui un indice montrant le lien (dont le degré de la sévérité) entre l’exposition de l’homme à une substance toxique. Une probabilité de survenue de manifestations pathologiques, leur étendue, leur gravité, en fonction du niveau d’exposition qui a été déterminé. C’est cette probabilité, qui correspond à l’exposition réelle, qui constitue la mesure du risque.
Oui, ces paramètres permettent d’évaluer un risque qu’une personne peut développer un effet néfaste pour l’organisme (toxicité). En effet, le DL 50 montre une dose par laquelle une fois ingérée provoque un effet néfaste de toxicité chez l’homme ou de létalité (mortalité chez l’animal) chez 50% des individus. Il est de même pour le VTR qui un indice montrant le lien (dont le degré de la sévérité) entre l’exposition de l’homme à une substance toxique. Une probabilité de survenue de manifestations pathologiques, leur étendue, leur gravité, en fonction du niveau d’exposition qui a été déterminé. C’est cette probabilité, qui correspond à l’exposition réelle, qui constitue la mesure du risque.
dsssddddddddddddddddddddd
Mais elles ne sont pas suffisantes, il y a d’autres paramétres, les études épidémiologiques etc qui y contribuent
Mais elles ne sont pas suffisantes, il y a d’autres paramétres, les études épidémiologiques etc qui y contribeunt
il y a d`autres parametres qui interviennent
oui ,en partie mais il existes d’autres paramètres pour évaluer lerisque.
Ces paramètres permettent de caractériser le danger d’un xénobiotique ; puis compte tenu du niveau et des voies d’exposition, de la population concernée… il sera possible d’évaluer le risque.
En effet, ces valeurs de DL50 et VTR renseignent respectivement de la dose létale pour 50% des individus expérimentaux et de la valeur toxicologique de référence qui est la valeur prédictive d’une survenue d’effet sanitaire chez l’homme.
En effet, ces valeurs de DL50 et VTR renseignent respectivement de la dose létale pour 50% des individus expérimentaux et de la valeur toxicologique de référence qui est la valeur prédictive d’une survenue d’effet sanitaire chez l’homme.
Oui en effet, ces valeurs de DL50 et VTR renseignent respectivement de la dose létale pour 50% des individus expérimentaux et de la valeur toxicologique de référence qui est la valeur prédictive d’une survenue d’effet sanitaire chez l’homme.
En effet, ces valeurs de DL50 et VTR renseignent respectivement de la dose létale pour 50% des individus expérimentaux et de la valeur toxicologique de référence qui est la valeur prédictive d’une survenue d’effet sanitaire chez l’homme.
Les VTR (avec ou sans seuil) sont des mesures qui permettent d’évaluer les relations "dose/effets", et donc de caracteriser le danger d’une substance et d’evaluer les quantités théroriques du risque.
“OUI,la DL50 étant une dose administrée en une fois qui provoque des manifestatons toxiques et La VTR qui expriment le lien entre l’exposition de l’homme à une substance toxique et la sévérité des effets observés.
€ Oui,la DL 50 étant une dose administrée en une fois qui provoque des manifestations toxiques (létalité de 50% de la population testée)et lES VTR étant des indices qui expriment le lien entre l’exposition de l’homme à une substance toxique et la sévérité d’un effet nocif observé
La dose létale 50 ou DL50 (LD50 en anglais pour Lethal Dose 50) ou CL50 (concentration létale 50) est un indicateur quantitatif de la toxicité d’une substance. Cette notion s’applique également aux irradiations.
Une Valeur Toxicologique de Référence (ou VTR) est un indice de référence utilisé en toxicologie.
Il est établi à partir de la relation entre une dose externe d’exposition à une substance dangereuse et la survenue d’un effet néfaste.
l’utilisation de ces paramètres ne permet pas d’évaluer le risque, il faut d’autre considération comme l’exposition
Les paramètres DL50, VTR ou autres sont nécessaires dans l’évaluation du risque mais il importe également de connaître la nature et la durée de l’exposition.
Les paramètres DL50 , VTR, sont nécessaires dans l’évaluation du risque mais il importe également de connaître la nature et la durée de l’exposition
Non, car le risque est la probabilité de développer une pathologie, ou que le danger se réalise .
Oui, ces parametres peuvent aider dans l’evaluation de risque des nouveaux substances chimiques car selon le valeur de reference , on peut determiner la severite d’exposition a cette matiere chimique
Oui les paramètres toxicologiques permettent d’évaluer les risques, car pour une substance à effet dose seuil la NOAEL permet d’évaluer le risque de même pour la DL 50 la dose qui entraine 50% de mortalité des personnes exposées.La connaissance de ces paramètres toxicologiques permettent d’utiliser la molécule en évitant le risque malgré la dangerosité ou d’interdire son usage si on ne dispose pas de moyen pour éviter le risque.
ces mésures (DL50, VTR) permettent la caractérisation du danger
un produits pour lequel il n’a pas été étudié sa dangérosité ( dont on ne connait pas le VTR ou DL50) doit avoir, dans ses structures un produit analogue (de même famille ) qui est au moins connu
DL 50, VTR désignent des valeurs de référence dans la caractérisation de la toxicité d’une substance. Pour évaluer le risque, il faut connaître la dose de toxique reçue ainsi que l’étendue ou la durée de l’exposition de la population au toxique considéré.
DL 50 , VTR désignent des valeurs de référence permettant de caractériser la toxicité d’une substance. Pour évaluer le risque, il faut connaître la dose de toxique reçue ainsi que l’étendue ou la durée de l’exposition de la population au toxique considéré.
Les paramètres toxicologiques (DL 50 et VTR ) permettent d’évaluer le danger et et non le rique
en effet, ils nous aident d’abord à connaitre le danger et finalement le risque à courir si on soit exposé à ces substances dangereuses.
Je réponds par non
L’évaluation du risque nécessite la détermination du niveau d’exposition de la population étudiée.
l’évaluation du risque nécessite la détermination du niveau d’exposition de la population.
La toxicologie s’interresse à la première phase de l’évaluation des risques à savoir la caractérisation du danger et la recherche de la relation dose effet.
les paramètres toxicologiques que sont
les VTR quantifient les relations entre l’exposition à une substance chimique toxique et l’effet sanitaire.Elles sont donc déterminante pour les résultats des calculs des évaluations des risques sanitaires.
la DL50 permet la recherche de la relation dose effet
Ces paramètres sont donc déterminants dans l’évaluation du risque
DL 50 : Une dose administrée en une fois et qui provoque la mort de 50% des animaux
VTR : sont des valeurs seuilles au délà desquelles les êtres humains ne devraient pas être exposés sans courir le danger de toxicité
Au dessus de ces paramètres, les risque est très élevé
ils caracterisent le danger, pas le risque de developpement de la maladie. (prababilité d’exposition)
A partir de la DL50 et de la VTR, on peut fixer des seuils d’exposition pour l’homme.
A partir de ces paramètres toxicologiques, il peut être fixer des seuils d’exposition pour l’homme. Cela permet donc d’évaluer le risque par relation dose-effet.
Une nouvelle molécule, pour laquelle il n’existe aucune donnée toxicologique, possède des analogies de structure et d’activité biologique par rapport à une autre dont la toxicité a été évaluée et vérifiée.
Non car DL50 et VTR permettent d’établir des normes pour un risque mais il faut ensuite déterminer le mode d’exposition ainsi que la durée de cette exposition
il faut tenir compte de l’exposition et de la fréquence d’exposition
il faut prendre compte de l’exposition et de la fréquence
La toxicologie cherche à identifier le danger lié à une substance. Pour évaluer un risque il faut également connaître le risque d’exposition à la substance considérée.
La toxicologie cherche à établir le niveau de dangerosité lié à une substance. Pour évaluer le risque il faut également connaître le niveau d’exposition à cette substance
oui il faut associer à cela une étude épidémiologique
les valeurs toxicologiues deréférences permettent d’évaluer le risque car,elles caractérisent l’exposition de l’homme à une substance toxique
La DL50 c’est la dose (létale) qui provoque la mort de 50% des individus testés (en occurrence les animaux), on parle de CL50 (concentration létale) s’il s’agit d’une exposition à une substance par inhalation. Elle est la dose ou la concentration d’une substance provoquant la mort des 50% des individus exposés.
Les Valeurs Toxicologiques de Référence (VTR) sont des indices généralement élaborés par des instances nationales ou internationales et sont spécifiques d’un effet, d’une voie, et d’une durée d’exposition. Pour définir les VTR, il s’agit de déterminer la dose sans effet nocif (NOAEL) ou la dose pour laquelle on observe la manifestation toxique la plus faible (LOAEL) auxquelles on applique les différents facteurs de correction.
La DL50 c’est la dose (létale) qui provoque la mort de 50% des individus testés (en occurrence les animaux), on parle de CL50 (concentration létale) s’il s’agit d’une exposition à une substance par inhalation. Elle est la dose ou la concentration d’une substance provoquant la mort des 50% des individus exposés.
Les Valeurs Toxicologiques de Référence (VTR) sont des indices généralement élaborés par des instances nationales ou internationales et sont spécifiques d’un effet, d’une voie, et d’une durée d’exposition. Pour définir les VTR, il s’agit de déterminer la dose sans effet nocif (NOAEL) ou la dose pour laquelle on observe la manifestation toxique la plus faible (LOAEL) auxquelles on applique les différents facteurs de correction.
La DL50 c’est la dose (létale) qui provoque la mort de 50% des individus testés (en occurrence les animaux), on parle de CL50 (concentration létale) s’il s’agit d’une exposition à une substance par inhalation. Elle est la dose ou la concentration d’une substance provoquant la mort des 50% des individus exposés.
Les Valeurs Toxicologiques de Référence (VTR) sont des indices généralement élaborés par des instances nationales ou internationales et sont spécifiques d’un effet, d’une voie, et d’une durée d’exposition. Pour définir les VTR, il s’agit de déterminer la dose sans effet nocif (NOAEL) ou la dose pour laquelle on observe la manifestation toxique la plus faible (LOAEL) auxquelles on applique les différents facteurs de correction.
La DL50 c’est la dose (létale) qui provoque la mort de 50% des individus testés (en occurrence les animaux), on parle de CL50 (concentration létale) s’il s’agit d’une exposition à une substance par inhalation. Elle est la dose ou la concentration d’une substance provoquant la mort des 50% des individus exposés.
Les Valeurs Toxicologiques de Référence (VTR) sont des indices généralement élaborés par des instances nationales ou internationales et sont spécifiques d’un effet, d’une voie, et d’une durée d’exposition. Pour définir les VTR, il s’agit de déterminer la dose sans effet nocif (NOAEL) ou la dose pour laquelle on observe la manifestation toxique la plus faible (LOAEL) auxquelles on applique les différents facteurs de correction.
Les paramètres toxicologiques (DL50, VTR )se réfèrent plutôt à la dangerosité d’une substance qui certes indispensable à l’évaluation du risque mais pas suffisant.
DL50 et VTR permettent l’évaluation du risque mais pas suffisant.
Ces deux paramètres participent à l’évaluation du danger. Rappelons la relation grossière : Risque = DangerX Exposition
Ces deux paramètres participent à l’évaluation du danger. Rappelons la relation grossière : Risque = DangerX Exposition
Ces deux paramètres participent à l’évaluation du danger. Rappelons la relation grossière : Risque = DangerX Exposition
Ces deux paramètres participent à l’évaluation du danger. Rappelons la relation grossière : Risque = DangerX Exposition
Ces deux paramètres participent à l’évaluation du danger. Rappelons la relation grossière : Risque = DangerX Exposition
Ces deux paramètres participent à l’évaluation du danger. Rappelons la relation grossière : Risque = DangerX Exposition.
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A eux seuls, les paramètres toxicologiques ne permettent pas d’évaluer le risque. Ils doivent être nécessairement combinés avec les paramètres d’exposition pour évaluer le risque en tant que probabilité de survenue d’un effet.
ces parametres servent à caracteriser le danger en faisant une correlation entre effets sanitaires observés et expositions
DL50 et VTR sont utilisés pour la caractérisation du danger de l’exposition d’une population à un produit chimique donné
Les paramètres toxicologiques DL50 et VTR permettent d’évaluer le risque dans la mesure où ces paramètres permettent de déterminer la dose estimée dangereuse d’un toxique pour l’homme.
DL50 et VRT peuvent nous fournir des informations importantes concernant un xénobiotique, mais, pour évaluer le risque, il est impérativement nécessaire de connaître le temps et le niveau d’exposition d’une population cible.
Il est fondamental distinguer le risque du danger : ce dernier est une propriété intrinsèque du produit ; il représente l’origine du dommage. Le risque est le produit de la fréquence ou de la probabilité d’apparition du dommage et sa sévérité sur une population à un certain niveau d’exposition. La toxicologie participe à l’identification du danger et à l’analyse du risque des expositions des organismes vivants aux xénobiotiques.
En outre, il faut considérer que la DL50, un paramètre qui fait partie d’une approche toxicologique qui a été abandonné par des raisons d’ordre éthique et de bien-être animale, peut être utilisé seulement en cas de toxicité aiguë, donc pas applicable à des études des toxicité concernant une échelle temporelle plus longue, associés à des effets chroniques.
Même dans le cas d’application des VRT, on mettrait en évidence plutôt le danger, et pas le risque, pour lequel il faudrait aussi tenir compte du produit des facteurs correctifs, afin de minimiser la probabilité d’exclure une exposition entraînant un risque inacceptable. Les facteurs d’incertitudes sont utilisés pour effectuer la transposition d’une étude expérimentale à une population.
Oui, le VTR et la DL50 sont des indices toxicologiques qui permettent de quantifier ou de qualifier un risque pour la santé. En effet, la VTR établit le lien entre une exposition à une substance toxique et l’occurrence d’un effet sanitaire indésirable, qui rappelons-le est une indicative de la causalité. Et la DL50, est une dose administrée à un animal pour une fréquence donnée permettant d’évaluer le taux de mortalité des animaux ayant reçu la dose en question
Les paramètres DL50 et VTR permettent plutôt de quantifier et de qualifier le danger, donc ils ne permettent pas d’évaluer le risque à mois de pouvoir évaluer en même temps l’exposition de population au composant concerné.
La DL50 est la dose à laquelle l’exposition d’une population entrainerait la mort de 50% des sujets exposés et la VTR détermine la valeur toxicologique de référence c’est à dire le seuil(de concentration ou la dose) qui provoque un effet sur la santé humaine.
A partir de là, la mesure des doses absorbées ou la concentration de substances toxiques auxquelles se trouve exposée une population, comparée aux valeurs de ces paramètres (DL50, VTR) permettront d’établir si oui ou non il y a risque et donc de l’évaluer.
La toxicologie permet de caractéricer le danger mais ne permet pas, à elle seule, d’évaluer le risque. Pour ce faire, il faudrait en plus évaluer les expositions et estimer la dose-effet.
Non, car les paramètres toxicologiques ne permettent pas à eux seuls d’évaluer le risque. La toxicologie s’intéresse à la caractérisation du danger. Le risque est la probabilité de survenue d’un danger.
Pour évaluer un risque, il faut donc :
identifier la dangerosité,
estimer la relation dose-effets,
évaluer l’exposition.
La Valeur Toxique de Référence indique la valeur minimum d’exposition (dose) / jour, pour laquelle la personne ne court aucun risque. La dose létale 50 indique la dose fatidique à laquelle 50% des sujets décèdent. Ainsi, si une personne est exposée à une dose comprise entre la VTR et la DL50, elle a entre 0 et 50% de risque de décéder. En fonction d’une exposition X, on peut obtenir une DLx. En revanche, la DL ne renseigne pas sur les différents effets pathologiques.
pour evaluer le risque il faut un facteur detreminant qui est l’exposition ! seuls ces parametres toxicologies ne apportent des renseigne sur l’exposition mais plutôt sur la qualité du danger
Valeurs toxicologiques de référence est une valeur permettant d’établir une relatio quantitative et qualitative entre une exposition à une substance chimique et un effet sanitaire.
Parce que dans l’évaluation de risque ils sont les paramètres de base sur les essais toxicologiques
Puisque des produits chimiques différents causent des effets toxiques différents, il est difficile de comparer la toxicité d’un produit avec celle d’un autre. Nous pourrions mesurer la quantité d’un produit chimique qui cause des lésions rénales, par exemple, mais tous les produits chimiques ne causent pas des lésions rénales. Nous pourrions dire qu’on observe des lésions nerveuses après l’administration de dix grammes d’un produit chimique A, et des lésions rénales après l’administration de dix grammes d’un produit chimique B. Toutefois, cette information ne nous apprend pas si A ou B est plus toxique parce que nous ne savons pas quelles lésions sont les plus graves ou plus nuisibles.
Oui, les paramètres toxicologiques permettent de connaitre l’intensité et la virilité de la substance concernée.