Sur l’ensemble des études, quels sont les résultats et les notions qui, selon vous, peuvent être sources d’opinions divergentes entre les populations, l’association locale, les élus, et les agences d’expertise ?
Les études
Incertitudes scientifiques, notamment sur les CEM (début sur les seuils réglementaire)
Notion de gêne, très relative (100% des Champlanais exposés au dessus de 55DBa mais aucun ne s’en sent gêné)
Notion de satisfaction résidentielle, dépendant de facteurs très individuels
La perception des Champlanais sur ce programme
Sur l’ensemble des études, quels sont les résultats et les notions qui, selon vous, peuvent être sources d’opinions divergentes entre les populations, l’association locale, les élus, et les agences d’expertise ?
Comme source d’opinions divergentes, on peut citer les résultats sur les valeurs d’exposition individuelle des champs magnétiques des THT, la pollution atmosphérique et l’effet cocktails
les normes et seuils admis pour les diverses concentration des substances dans l’air, les seuils
pour les bruits et les radiations ;
la courte durée de l’étude ;
la répartition en classes par l’étude sociale ;
la perception des populations locales réparties en classes ;
la fiabilité quant à la représentativité de l’échantillon ;
Les concernés ont été informés des résultats régulièrement, donc il n’y a pas d’effet surprise néanmoins certaines divergences peuvent exister :
-Les résultats sur la pollution atmosphérique (peu fiable).
-Absence de résultats sur la multi exposition « effet cocktail » qui est la demande principale des Champlanais et son lien avec la santé publique.
-L’action et les mesures à prendre par les pouvoirs publiques pour atténuer ces nuisances.
Sources de bruit
Variations sur la qualité de l’air
Je pense essentiellement que les cabinets d’études ont rendu leur mesures et leurs conclusions sur des bases scientifiques et objectives mais qu’ensuite les effets sur la santé sont peu abordés, encore moins l’éventuel effet cocktail donc chacun peut exprimer des réactions différentes face à cela : être rassuré, plus inquiet, demander la prolongation des études etc....prendre ou non des mesures (élus) pour atténuer les nuisances. De plus le contexte est compliqué avec notamment une grande variabilité individuelle quant à l’exposition mais aussi quant à la perception des nuisances.
Par exemple la pollution atmosphérique est relativement, en moyenne un peu supérieure à ce qu’on pourrait attendre dans cette zone considérant la distance à Paris mais localement elle peut être très élevée pour les habitants qui résident près des autoroutes. Donc la perception des résultats pourra varier ainsi que des mesures à prendre s’il en existe.
Idem pour la pollution électromagnétique ou le bruit
le résultats des investigations ne montre pas des effets inquiètants des ces nuisances sur la santé. la mesure de l’ effet coktail n’ a été faite. les Champlanais sont en attentent d’action concréte et radicale suite à ses résultats ce qui risque de n’ etre pas le cas..
On devine un point d’achoppement sérieux entre autorités et responsables des études qualifiant les résultats de "globalement désangoissants" et la population locale à qui on n’a pas répondu à la principale interrogation (quid des retombées sanitaires et de l’effet cocktail), alors que pour plusieurs points ses craintes ont été plutôt confortées (niveau de certains polluants et du bruit au delà des normes) et qui attend des retombées concrètes en terme de nouveaux moyens de protection (enterrement des lignes à haute tension, murs anti-bruits, déviation du trafic ont été réclamés sans être réellement envisagés par les décideurs). Le soin porté à la communication, en amont en en aval de l’étude, en particulier les objectifs et limites clairement définis au départ, ont sans doute permis d’atténuer ces difficultés (on en a le contre exemple à St-Cyr-l’école).
les niveaux de pollution, la représentativité, la taille et la composition des échantillons, les méthodes de mesure qui diffèrent d’une partie prenante à l’autre, la période d’étude, la prise en compte d’autres sources de nuisances dans la problématique
La divergence d’opinion se base surtout sur le manque de détails dans les études :
il est vrai que la nuisance à 55Db affecte la population mais à quel niveau ? pour quelle tranche d’âge ? et pour quelle souche sociale ?
la pollution athmosphérique "excessive" sur le long des axes routiers ne causerait-elle pas de pathologies respiratoires avec le temps ?
la question des champs magnétique a été considérer mais à très court terme
les pathologies à long terme causer par les nuisances, la pollution athmosphérique et les champs magnétiques n’ont pas été considéré à long terme.
la pollution que subit les champlanais due aux émissions routières est la même que dans d autres régions, de même que pour NO2 benzène et le formaldéhyde ; les plus forte doses de champ magnetique st générés par de appareil électroménagers ... et non par la THT les pathologie déclarés ne sont plus fréquentes d un groupe comparativement aux autres.
1- La notion effet "cocktail" qui n’a pas été testé et qui peut rester inconnu du fait de la non existence de réel protocole pour mettre en oeuvre une étude en ce sens.
2- La notion impact sanitaire : l’impact sanitaire n’a pas été étudié dans le cadre de ces études et la population reste encore en attente d’une suite à donner à cette étude.
Ceci peut être une source d’opinion divergente entre une population en attente et les experts, instance de décision qui peuvent considérer avoir répondu à leur appel.
3- La notion de nuisance sanitaire : elle n’est pas perçue de la même façon par tous les Champlanais. L’étude sociologique a bien révélé que la gêne est perçue différemment suivant le projet de vie de la population. Plus de la moitié des familles faisant partie del’échantillon l’équilibre entre le bénéfice à vivre à Champlan et les efforts pour lutter contre la gêne reste positif.
Cette notion peut être source d’opinion divergente entre les populations.
4- Comme a révélé l’étude épidémiologique, les Champlanais ont des réserves sur les protocoles d’étude et les résultats. Ils questionnent la representativité des échantillons, la durée des études, la période choisie pour la conduite de certaines études comme celle concernant le bruit, la pollution autour des axes routiers. Ces réserves s’étendent logiquement sur les résultats.
Les résultats obtenus pour la qualité de l’air, les champs magnétiques, le bruit autour des axes routiers pourraient en ce sens fait l’objet d’opinion divergente entre les couches de la population de Champlan d’une part (dépendant de leur projet de vie) et entre la polutation et les instances de décision et les experts qui auront tendance à défendre leur protocole.
L’absence de résultats sur l’effet cocktail pourrait être aussi une source d’opinion divergente entre la population et les instances de décision et les experts. C’est d’autant plus important que les informations sur les impacts de la station d’épuration qui était l’un des éléments déclencheurs de la mobilisation n’ont pas été fournies de manière spécifique.
Le fait qu’il n’y ai pas d’étude sur l’impact sur la santé et pas de conclusions sur le risque des multi expositions entraînant des déceptions sur les résultats des études.
les résultats et les notions qui peuvent être source d’opinions divergente entre les populations,les élus... la qualifiction du village champlan de plus pollué et plus loin de paris
Voir question ci-dessus, j’avais compris que la question 1 concernait toutes les études et pas uniquement celles de champlan...
En ce qui concerne cette question, je pense que les points litigieux concernent surtout l’inadéquation entre les réponses données à la fin des études et celles attendues par les personnes concernées.
Les résultats s’appuient toujours sur des relation dose-effets déjà connues, ce qui laissent toujours un doutes sur des effets possibles encore insuffisament étudiés pour être pris en compte.
Les associations et les usagers sont souvent déjà pré-convaincues des problèmes, et elles attendent généralement des solutions, alors qu’on leur présente parfois une conclusions de "problèmes mineurs", ou seulement "éventuel et à étudier...".
Je considère 3 opinions divergentes principales :
les résultats des mesures de la pollution atmosphérique : des moyennes sont présentées à la population par les experts, alors que les champlanais sont plus inquiets des pics de pollution ponctuels.
le bruit de l’aéroport : il est bien perçu par les populations alors que selon les experts il dépasse largement les normes.
les interprétation des mesures des champs electromagnétiques : les experts concluent qu’on est très en deçà des normes alors que les associations dénoncent des risques émergents non pris en compte.
déjà les résultats publiés ont suscité la frustration de la part des investigateurs car malgré la réussite en terme relationnel entre acteurs, ils n’ont pas répondu à la question que se posaient les riverains. Donc ces résultats relativisent le danger or qui en long terme peut engendrer d’énormes nuisances
Sur l’ensemble des études, les résultats et les notions qui peuvent être sources d’opinions divergentes entre les populations, l’association locale, les élus, et les agences d’expertise sont les suivants :
(i) La contribution des avions à la pollution de l’air est très faible, malgré des émissions relativement importantes à la verticale de la commune,
(ii) L’impact de l’incinérateur sur la pollution de l’air apparaît faible et n’a pu être identifié par les mesures,
(iii) Les niveaux les plus forts d’exposition aux champs magnétiques proviennent d’appareils électrodomestiques ou de portiques de détection anti-vol et sont enregistrés sur de courtes durées,
(iv) L’exposition moyenne aux champs magnétique, des personnes habitant au voisinage des lignes THT reste à des niveaux faibles compris entre 0,06 et 2 μT.
termes désangoissants, niveau de pollution comparable à celui de Paris, pas d’effets cocktails apparents
Les résultats et notions pouvant être sources d’opinions divergentes entre les populations, l’association locale, les élus, et les agences d’expertise sont relative :
L’insuffisance de preuves de risques élevés pour certaines sources de nuisances et le souhait de certains d’investiguer les effets à long terme étude épidémiologique l’inutilité de la démarche pour les uns (agences d’expertise par exemple) peut en effet contraster avec les besoins des autres (population par exemple)
La preuves que l’ensemble des champlanais subissent des niveaux élevés de bruits des avions par exemple (100% subissent des bruits supérieurs à la norme de 55dB) et les attentes d’instruction d’isolation des habitats pouvant générer divergences de point vue.
L’enterrement des lignes (4 fils) ou encore la réalisation de déviations routières
L’absence de mesure de l’effet cocktail du fait que la question n’a pas été résolue au motif d’absence de signal sanitaire fort à même de poser une telle étude comme une nécessité pour les agences d’expertises.
Les résultats des études sont considérés en gros par la population comme incomplets divergeant l’opinion de la population sur l’avenir de leur localité ainsi que la vie future. L’approche épidémiologique fait partie des études créant la polémique au sein de la population.
La mise en place de mesure d’accompagnement en rapport avec le projet est un autre sujet de conflit pour l’opinion des acteurs concernés.
Les résultats et les notions qui, peuvent être sources d’opinions divergentes entre les populations, l’association locale, les élus, et les agences d’expertise sont les suivantes :
« La situation est bonne que celle qu’on pourrait attendre d’une zone semi-rurale comme Champlan, mais meilleure que celle de paris, où vivent plus de deux millions de personnes ».
« Les scientifiques reconnaissent eux même mal connaître l’effet des champs mégnétiques sur la santé »
« Du point de vue de la qualité de l’air, mieux vaut vivre là qu’a Paris, au vu des résultats, la situation n’est pas dramatique », confirme Hubert Isnard
« On ne peut pas exclure que des pathologies apparaissent dans quelques décénnies ou même quelques années dans la zone soumise aux multiples expositions. Mais pour l’heure, aucun indice d’un éventuel « effet coctail » n’a été ramarqué. Nous n’avons pas trouvé de signal snitaires fort ».
« Ce sont des questions sur lesquelles dans le monde entier, mais aussi en France, les scientifiques commancent tout juste à s’y pencher ».
Sur l’ensemble des études, les résultats et les notions qui peuvent être sources d’opinions divergentes entre les populations, l’association locale, les élus, et les agences d’expertise sont :
• La gestion des risques
• Les actions concrètes à mettre en place
• Les impacts sanitaires
Les Notions ou résultats sources d’opinions divergentes :
• Pas d’explication claire entre le niveau de pollution eléve et son impact sur la santé de la population .
• Mesures d’accompagnement non clairement definies.
• Pourquoi pas une étude épidémiologique pour lever les doutes.
le niveau des inquiétudes est fortement lié au projet de vie et à la satisfaction résidentielle à Champlan ! Par exemple, Ceux qui y sont pour des raisons professionnelles font l’effort de supporter et ne souhaitent pas perdre leur emploi.
On a aussi des personnes qui n’ont plus de projet de vie dans le village, mais y restent pour des motifs soit familiaux , soit professionnels .
On a encore de l’autre côté des de familles ayant connu des ruptures importantes familiale (séparation…), sanitaire (maladie…), économique (licenciement). Leur projet de vie à Champlan n’a plus de sens. Ce sont principalement des personnes qui ont peu de marges de manoeuvre pour quitter le village, malgré le mal-être qu’elles y subissent.
Ce sont les facteurs sus-cités qui font en sorte que les réponses varient en fonction du passé de tout un chacun et des motivations présentes ou futures.
Les résultats et les notions qui peuvent être source d’opinion divergente sont les protocoles d’études (représentativité des échantillons, durée des études, intégration des mesures), les résultats des études.
sur l’ensemble des études le design, l’implication de la population exposée ,la mesure,méthode et la durée d’exposition,l’information les actions concrètes a mener peuvent entrainer des divergences entre les différentes parties prenantes
les etudes sur le NO2 dont il n’y a très peu de différences entre les niveaux d’expositions individuelles et les niveaux ambiants extérieurs.
Les résultats soulignent une très grande variabilité de l’exposition des Champlanais aux champs magnétiques. L’exposition moyenne des personnes habitant au voisinage des lignes THT est supérieure à celle des autres habitants .Appel à volontaires et sélection de 17 Champlanais présentant des profils d’exposition à priori contrastés. Pour le formaldéhyde, les sources sont principalement intérieures . En plus des mesures individuelles faites .Tous ces points cités ci-dessus sont des sources d’opinions divergentes entre les populations
Les resultats qui pourront être sources de divergences peuvent être :
l’existence ou pas d’effets sanitaires liées à l’effet cocktail ou à certaines sources specifiques de pollution comme la ligne haute tension,
le resultat selon lequel le niveau d’exposition individuel à Champlan n’est pas extraordinaire
les methodes et la durée des études,
Les decisions à prendre et les roles dans la gestion de la crise pourront aussi être sources de divergence.
Les notions qui peuvent être sources d’opinions divergentes entre les populations, l’association locale, les élus, et les agences d’expertise sont :
- La contribution des avions est très faible, malgré des émissions relativement importantes à la verticale de la commune
L’impact de l’incinérateur apparaît faible et n’a pu être identifié par les mesures.
Dans toutes les situations urbaines, la contribution majeure de pollution atmosphérique est le trafic routier.
.
attente de la population diverge de la conclusion surtout concernant l’impact sonore et les reponses sociales
les sources de divergences peuvent provenir de :
la hierarchisation des impacts sanitaire des differentes sources de pollutions
la minimisation des impacts sanitaires
la non reconnaissance des impacts de certaines sources de pollution telle que les champs magnétiques
le fait de ne pas avoir repondu à la question de départ qui etait de savoir s’il y a ou pas un effet cocktail
Ce sont les notions de :
Faible risques sur l’environnement et la santé des populations ainsi que les notions de prévalence et d’incidence.
Il ya aussi les limites des outils d’investigation sur lesquelles, il est difficile d’avoir les mêmes opinions
1/ multi-exposition et effet cocktail
2/ taille de la population étudiée relativement petite, même si représentative
3/ durée de l’étude pas assez longue et surtout ne tenant pas compte de certains pics sonores ou d’émissions de polluants atmosphériques (départ en vacances sur les routes et dans les airs)
Les effets sanitaires de l’effet cocktail ne sont pas déterminés ; la conclusion finale dit que Champlan n’est pas plus pollué qu’ailleurs, ce qui entraine qu’aucune mesure spéciale ne sera prise finalement pour ce village.
les divergences d’opinion peuvent provenir des résultat finaux :
les habitants attendent des décisions et actions concrètes de la part des pouvoirs publiques, et ne sont par conséquent pas d’accord avec la conclusion qu’il y a eu plus de peur que de mal.
la non gène finalement des champlanais qui sont habitué aux expositions sévères (bruits très élevés par exemple) pourrait être source de divergence.
Sur l’ensemble des études, les résultats et notions pouvant être source de divergence sont :
Les résultats sur l’exposition au bruit parce que les champlanais sont exposés à des niveaux supérieurs à la normale mais ne s’en plaignent pas.
la taille des échantillons des études qui n’est pas représentatif de la population ;
La durée des études jugées très courte ;
La période choisie pour les mesures de bruit et de pollution atmosphérique a été remise en cause par certains au motif qu’elles n’avaient pas été faites aux périodes à fort trafic routier, aérien (ex : départs en vacances estivales) ou aux périodes de plus fortes chaleurs.
Des discussions ont eu lieu sur le temps d’intégration des mesures, les moyennes utilisées ne permettant pas de rendre compte des éventuelles phénomènes de « pics » (étude bruit notamment).
Les habitants ont exprime des seuils d’expositions relatives aux modes de vie différentes, L’origine, les effets, la causalité, d’agents potentiellement toxiques, reste redoutable, et la métrologie des effets n’est pas valide ce qui fait que les effets sanitaires peuvent être variable
Les protocoles des études ont fait l’objet de commentaires de la part des Champlanais, concernant les échantillons (leur représentativité, en particulier leur taille, et leur composition) et la méthode de mesure (le facteur temps et la durée). Par exemple la taille des échantillons a été jugée par certain trop faible pour être représentative de la population. La durée des études a pu être perçue comme trop courte pour aboutir à des résultats qui reflètent la réalité de la situation des Champlanais. La période choisie pour les mesures de bruit et de pollution atmosphérique a été remise en cause par certains au motif qu’elles n’avaient pas été faites aux périodes à fort trafic routier, aérien (ex : départs en vacances estivales) ou aux périodes de plus fortes chaleurs. Des discussions ont eu lieu sur le temps d’intégration des mesures, les moyennes utilisées ne permettant pas de rendre compte des éventuelles phénomènes de « pics » (étude bruit notamment).
Peuvent être source d’opinions divergentes :
les résultats qui établissent que les expositions à la pollution atmosphérique et aux champs électromagnétiques sont dans les normes, en particulier à cause de l’accumulation des expositions
quelles suites donner à l’enquête concluant que les habitants sont exposés à des niveaux de bruit supérieurs aux valeurs réglementaires
le bien fondé de construire la station d’épuration sur le territoire de la commune.
les resultats et les notions pouvant être source d’opinions divergentes peuvent être : l’ ’impact de l’incinérateur qui d’aprés les résultats de Airparif aurait un faible apport dans la pollution environnementale ; l’ exposition à travers la notion de ’budget espace temps" , le manque de corrélation des résultats des études avec l’impact sanitaire etc.
Les incertitudes de tous ordres (sur l’existence, l’origine, les effets, la causalité, d’agents potentiellement toxiques, la métrologie, les effets sanitaires, les comportements, les
décisions, etc.) conduit à des opinions divergentes, voire concurrentes Des notions telles que qualité de vie, intégration globale, et développement économique sont également source d’opinions divergentes.
: Comme source d’opinions divergentes, on peut citer les résultats sur les valeurs d’exposition individuelle des champs magnétiques, des THT, la pollution atmosphérique et l’effet cocktails
On s’attend que ces etudes soient suivies d’actions concrètes, un prolongement des études pour mesurer les effets à long terme. La mesure de l’effet coctail
Les résultats qui peuvent porter à confusion sont de différent ordre :
les études n’apportent pas de réponse claire sur les effets sanitaires de l’effet cocktail. L’étude épidémiologique réclamée par les habitants et les élus est refusée du côté des experts, qui ont conscience des incertitudes.
les habitants n’ont pas toujours conscience de l’influence des comportements individuels sur l’exposition (conduite, etc.)
le seul problème sanitaire au sens de la loi (le bruit qui dépasse les normes) s’avère un problème secondaire pour les habitants
la mise en évidence que les normes de bruit sont régulièrement dépassées dans le village n’est pas suivi de mesure de gestion
les résultats épidémiologiques ainsi que sur les nuisances sonores.
Les résultats et les notions qui, selon nous, peuvent être sources d’opinions divergentes entre les populations, l’association locale, les élus, et les agences d’expertise sont les suivants :
Sur l’ensemble des études, les résultats susceptibles de créer des divergences sont :
Difficultés pour la fermeture de l’aéroport d’Orly (Patrimoine national)
Isolation des bâtiments contre les bruits des avions et des grandes voies nationales ( Mairie de Champlan)
La réalisation des déviations routières (patrimoine national)
Prolongement de la durée des études ( Coûts supplémentaires : Budget de la Mairie de Champlan)
Problème lié à la délivrance du certificat d’exploitation de la décharge par la construction d’un incinérateur (Mairie de Champlan).
le faible impact de l’incinérateur qui pourrait surprendre les populations
la négligence de « l’effet cocktail » par les études
le moment (temps non approprié parfois) choisi pour faire les études
Les sources d’opinions divergentes entre les populations, l’association locale, les élus, et les agences d’expertise : se rapportent aux résultats « désangoissant » alors que la corrélation multi exposition et santé des populations n’a pas été démontrée faute d’étude épidémiologique.
: les résultats épidémiologiques ainsi que sur les nuisances sonores.
Points critiques pouvant occasionner des divergences :
• Les modalités des protocoles d’études : caractéristiques des échantillons (représentativité, taille, composition) et des méthodes de mesure (facteur temps, durée, période des mesures, temps d’intégration des mesures)
• Les résultats des études et leurs conséquences :
Comment va être perçu les résultats de l’étude sociologique par les différentes parties prenantes ?
Mise en place ou non d’actions concrètes ?, quelles actions ?, prolongement des études ?, instruction d’une étude épidémiologique ?
La divergence d’opinion se base surtout sur le manque de détails précis dans les études :
la nuisance à 55Db affecte la population mais le niveau n’est pas spécifié ;
la question des champs magnétique a été considérer mais à très court terme ;
les pathologies à long terme causées par les nuisances n’ont pas été considéré à long terme.
Les sources d’opinions divergentes entre populations, autorités locales, les agences d’expertise sont :
la fixation des seuils réglementaires pour les différents types de nuisances
Le type d’action à mener pour pallier à ces nuisances et qui serait d’une efficacité réelle
Sur l’ensemble de l’étude, certains s’attendent à ce que des actions concrètes soient menées, à l’instar d’une instruction rapide dans l’isolation des batiments, d’autres pensent à une prolongation de l’étude.
Certains voudraient que l’effet coktail soit mesuré. les résultats ont pu être perçus comme « désangoissants », comme n’apportant pas de réponse immédiate en termes de gestion, comme insuffisants en terme sanitaire…ou les trois à la fois !
les expositions des Champlanais aux polluants atmospheriques est identiques
La meseure de l ’impact sonore
,
Quelques exemples :
population et association locale / « experts » : protocoles de mesures ayant minimisé les expositions ; insuffisance de concertation ; crainte d’une absence de réponse ou de délai de réaction très long ; demande d’une étude épidémiologique…
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population / élus : rejet des règles politiques nouvelles (intercommunalité) qui nuirait à la préservation des intérêts du « village ».
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experts / population et élus : inutilité d’une étude épidémiologique…
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élus / experts : demande de réponse concrète au malaise des électeurs…
—La faible contribution des avions et d’ incinerateur
— Les expositions individuelles des Champlanais ne se distinguent pas de celles des autres franciliens
— L’exposition individuelle aux champs magnetiques est superieure mais faible
D’abord aucune réponse n’est apportée qu’en à la multiexposition, aussi l’absence d’analyse épidémiologique peut étre mal acceptée par les populations et l’association locale.
Les agences d’expertise ont remis leur résultats mais quels actes et gestes des pouvoirs publics sont pris en tenant compte du partenariat qu’ils entretiennent avec les entreprises causant les nuisances.
Les résultats pouvant suscités des divergences sont : 1) la contribution très faible de l’aviation et de l’incinateur sur la pollution. 2) l’exposition individuelle supérieure aux niveaux relevés en air extérieur (Benzène). 3) niveau d’exposition aux champs magnétiques provenant d’appareils électrodomestiques est plus fort que celui d’une exposition aux THT.
L’absence de réponses et d’actions immédiates peut être mal comprise par la population.
L’absence de mesure dans le temps est un élément mal interprété par la population.
les sources d’oponion divergentes de cette etude l’attente des habitants de faire plus des etudes sanitaires et epidemologiques sur l’effet cocktail , de faire des etudes sur le long terme effet. ( et cette decision concerne les agences expertises de continuer les etudes, ou de meme developper le protocole d’etude et precise en cette etude prochaienement)
deuxiement, l’action de gestion attendues que les associations locales et les politiciens du village commencent de realiser des instructions d’isolation des batiments et le mairirie mets des conditions et de demande minimale pour la construction des batiments isolant des bruits, enterrement des lignes ( 4 fils) d’avions, realisation des deviations routieres
les résultats sur le bruit ainsi que les résultats non obtenus sur la multiexposition
La durée trop restreinte et le moment des études (plutot hiver qu’en été) est un sujet de controverse.
L’absence d’étude de nuisances cumulées est un des point que regrette les habitants tout comme l’absence d’étude épidémiologique.
Les agences ont en effet du mal à convaincre que ces études ne sont pas justifiées et cohérentes à l’échelle d’une si petite localité.
La durée de l’étude et l’échantillonnage.
Sur les résultats, à mon avis il y’aurait eu frustration de la population sur la pollution atmosphérique car AirParif dit seulement que les résultats sont les mêmes que ceux de Paris et que ça reste dans la norme européenne de 99. Mais le pire de tout ça me semble serait le cas d’Orly qui d’ailleurs, entraine une nuisance sonore plus que la normale, soit 65 dB. Et pourtant, Orly est pour Champlan, ce que sont les vaisseaux pour notre corps. Essayer de taper la-dessus ferait plus de bruit et d’étirement entre l’association, les élus et les agences d’expertise.
Les potentielles sources d’opinions divergentes peuvent se concentrer :
1. sur les mesures au dessus des normes environnementales
2. sur les protocoles des études réalisées
3. sur les actions concrètes que la population attend pour minimiser le risque
4. sur l’étude épidémiologique qui n’a pas eu lieu
5. sur l’effet cocktail qui n’a pas été mesuré.
Pouvant être sources d’opinions divergentes entre populations, association locale, élus et agences d’expertise :
Principale source de pollution atmosphérique est le trafic routier et que l’exposition individuelle des champlanais n’est pas différente des autres franciliens.
Malgré nuisance omniprésente par le bruit des avions ainsi que les nuisances du trafic routier, aucunes valeurs limites acoustiques ne sont dépassées.
Aucun dépassement des valeurs limites des recommandations européennes pour l’exposition individuelle aux champs magnétiques de basse fréquence.
L’interprétation de la diversité de perceptions recueillis au cours de l’enquête sociologique,
les incertitudes des résultats,
l’inexistence de définition institutionnelle consensuelle de la gêne, elle dépend de la perception de tout un chacun ;
Notion de satisfaction résidentielle, dépendant de facteurs individuels.
La principale source de divergence potentielle est liée à la notion de gêne, toujours très relative.
Ils peuvent avoir de multi opininons sur l’effet cocktail sur les populations,sur les raisons qui laissent les champlanais en leur village sans reflechir de le quitter et sur les causes pour lesquels les champlanais sont plus entendus que d’autre agglomeration soumises à des nuisances.
Les champlanais attendaient beaucoup des études effectuées dans leur village. Cependant quelques aspects peuvent être sources de divergences entre ces populations, l’association locale,les élus et les agences d’expertise.
Les points susceptibles de divergence que nous relevons sont les suivants :
les perceptions des nuisances appréciées différemment par les populations victimes et les investigateurs ;
les préoccupations réelles des champlanais ;
les techniques de communication au tout au long des études et la qualité des informations fournies aux populations.
Les sources d’opinion divergente seront :
les résultats sur le bruit qui révelé tres nocif pour les habitants par les experts mais supportables pour la population ;
les impacts des lignes électriques à très haute tension (400 000 V ) qui s’avere pas etre nocif pour les habitants selon les experts ;
la stigmatisation des informations par les médias.
les études ne prennent pas en compte des expositions multi factorielles
la taille de l’echantillon
Les sources d’opinions divergentes peuvent être la définition de la nuisance, l’importance de la dynamique sociale locale dans la définition des populations vulnérables, et la notion de multi-exposition environnementale
les normes et seuils admis pour les diverses concentration des substances dans l’air, les seuils pour les bruits et les radiations (les incertitudes scientifiques) ;
la notion de gène intuitive se heurte pour autant au constat fait à Champlan, où tous les riverains subissent au moins une nuisance sonore due aux avions et pourtant peu se déclarent gênés
le niveau des inquiétudes est fortement lié au projet de vie et à la satisfaction résidentielle à Champlan (en proportion inverse). D’une manière plus inattendue, l’intensité des craintes sanitaires est très peu liée aux nombres d’expositions ou de nuisances objectivement subies par les familles, et non liée aux critères qui avaient été utilisés pour réaliser l’échantillon.
les actions concrètes à réaliser ; les résultats du fameux « effet cocktail » ;
Les investigations ont montré que la plus parts des soucis marqué ne dépasse pas les normes mis en place par les autorités. A l’exception de la pollution sonore dans les régions voisines de l’aéroport d’Orly. Les résultats ont constatés des dépassements dans les normes. Mais le paradoxe est que les riverains ne sentissent pas du gène tellement que sont habitué. Alors les autorités doivent pris en charge la correction de cette anomalie en premier.
La notion de gêne peut être source d’opinions divergentes entre les différentes parties, car il s’agit d’une appréciation subjective. D’autre part, les méthodes utilisées pour réaliser les études sont différentes. L’étude d’Airparif se base essentiellement sur des mesures de paramètres ambiants, alors que l’étude d’Afsset est axée sur une exposition individuelle : l’appréciation de l’impact de la pollution atmosphérique sur la santé n’est pas la même et peut être aussi source de divergence sur certains point.
les attentes de chacun, les résultats ont pu être perçus comme « désangoissants », comme n’apportant pas de réponse immédiate en termes de gestion, comme insuffisants en terme sanitaire…ou les trois à la fois
Oui il y’a des divergences sur :
le fait que les experts pensent que la pollution d’incnérateur est faible.
Le champ magnétique est sous norme et ne représente pas de risque.
Absence d’une étude épidemiologique
Notions ou résultats sources d’opinions divergentes :
— Résultats perçus comme « désangoissants » ;
— Résultats n’apportant pas de réponse immédiate en termes de gestion ;
— Résultats insuffisants en terme sanitaire…
— Résultats désengoissant, insuffisants et n’apportant pas de réponses immédiates.
les incertitudes scientifiques (les seuils et les normes établis),
l’évaluation de la gêne individuelle (à Champlan,tous les riverains subissent au moins une nuisance sonore due aux avions et pourtant peu se déclarent gênés),
évaluation du fameux « effet cocktail » pour une véritable mesure du risque,
pour beaucoup ces études n’apportent pas de réponse immédiate en termes de gestion et sont insuffisantes en terme sanitaire.
De mon point de vue, les résultats et notions pouvant faire l’objet de divergence sont les suivants :
J’ai l’impression que les population de Champlan et les associations locales ne seront pas d’accord que pour le benzène, les expositions individuelles mesurées sont supérieures aux niveaux relevés en air extérieur et que l’influence des activités et/ou les microenvironnements fréquentés au cours de la journée, comme notamment le fait de se déplacer en véhicule routier jour y contribue en grande partie.
Je me demande ce que vont faire les élus locaux et les associations locales face à l’aéroport qui est la principale source de bruit où 100% des Champlanais sont soumis au bruit des avions au-delà de la valeur réglementaire des 55 dB.
Les populations risquent de ne pas être convaincus qu’elles ne sont pas soumises (ou qu’elles sont à l’abri) à la ménace des champs magnéitques lorsque l’on sait que l’exposition moyenne des personnes habitant au voisinage des lignes THT est supérieure à celle des autres habitants et au fait que les champs magnétiques émis par les lignes THT à Champlan étaient décelables (quantifiables) jusqu’à une centaine de mètre de part et d’autres des lignes.
l’effet cocktail : principale préoccupation habitants est resté sans réponse
l’étude des champs magnétique n’a pas été approfondie.
la gêne est perçue différemment suivant le projet de vie de la population.
les populations ne manifestent aucune gene face aux bruits causés par l’aéroport (jugé par l’étude audela des seuils réglementaires )
la notion d’Incertitudes scientifiques, notamment le début des seuils réglementaire, la notion de gêne, qui est très très relative (100% des Champlanais exposés au dessus de 55DBa cependant personne ne se sent gêné). La Notion de satisfaction d’être dans son chez soi, qui dépend de plusieurs facteurs très personnel individuels.
Sur l’ensemble des études les résultats ont été perçus de façon différentes de la part de tous. La notion de muti-exposition ou d’effet coktail a été celle dont tous attendaient une réponse en terme de mesure d’impact sanitaire. En effet si sur certains résultats rendus les Champlanais les ont trouvés désangoissants, problématiques, inertes voire insuffisants alors ces avis divergent encore plus quant à l’effet cumulés de ces derniers. Encore plus divergent les remarques que les villageois ont portés sur les protocoles d’études qui expliquent que pour certains les études n’ont pas étaient bien faites et n’ont pas duré assez longtemps.
Ainsi , les attentes restent nombreuses par rapport aux actions à venir (isolation des bâtiments, enfuissements des lignes,...) , voire un prolongement des études.
les temps d’études trop courts, peuvent amener à dire que les tests ne sont pas représentatifs de la réalité, ne prennent pas en compte certains pics de pollution atmosphérique par exemple
les attentes en terme d’étude épidémiologique n’ont pas trouvé de réponse, cela pourrait paraître suspect aux yeux des habitants, comme si on voulait leur cacher des choses
il n’y a pas eu de présentation de mesures de gestion, d’actions suite à ces études environnementales, comme si elles n’allaient pas être suivi d’effet, les habitants pourraient avoir l’impression de n’avoir été que des cobayes
la question de l’effet « cocktail » qui était à la base du projet n’a pas trouvé de réponse, les habitants peuvent se trouver spoliés
Le fait que la population de Champlan ne soit pas plus exposée que d’autres habitants de l’Ile de France (pollution atmosphérique et exposition individuelle), ne répond pas nécessairement à la question des habitants "existe-t-il un risque pour la santé ?"
Le problème de la multi-exposition reste entier : quels que soient les niveaux individuels de pollutions auxquelles sont soumis les habitants, la population, l’association locale et les élus s’interrogent sur l’effet cumulatif de ces pollutions.
Pour l’étude sur l’exposition individuelle aux champs magnétiques basse fréquence, le fait que l’étude ait porté su 17 Champlanais durant 24 et n’ait pas révélé de dépassement des valeurs limites peut paraitre insuffisant pour la population. L’étude met également en avant la notion de variabilité de l’exposition en fonction de la charge du réseau électrique. La population peut alors penser que l’étude telle qu’elle a été menée ne permet pas d’appréhender les expositions chroniques et effets à long termes pour ce type de pollution.
Concernant la pollution atmosphérique, le premier contributeur, comme dans tout contexte urbain, est le trafic routier. Cette hiérarchisation, par les agences d’expertise et qui sera peut être reprise par les élus en termes d’actions prioritaires, peut ne pas refléter forcément la perception par les habitants de ce qui représente les nuisances prioritaires (bruit, champs électromagnétiques ou nouvelle pollution potentielle due à l’installation de la station d’epuration par exemple)
Les notions de microenvironnement, projets de vie positifs les résultats des expositions individuelles des champlanais aux polluants atmosphériques ; les résultats sur le bruit des avions (pricipale source de bruit) ; les résultats des études sur l’exposition des Champlanais aux champs magnétiques basse fréquence (les niveaux les plus forts proviennent d’appareils électrodomestiques ou de portique de détection anti- vol et sont enregistrés sur de courtes durées), peuvent être sources d’opinions divergentes entre les populations, l’association locale, les élus et les agents d’expertise.
Nous pouvons noter la différence de perception du risque ; les habitants ne pensent pas que le trafic routier soit la plus grande source de pollution , alors que les études le démontrent.Ils trouvent aussi que les échantillons ne sont pas assez représentatifs, et que certaines périodes importantes ont été lésées (période de départ en vacances par exemple).
Différentes perceptions de la gêne par ces acteurs, différentes susceptibilités de ces acteurs à vivre ou non à Champlan, l’établissement des normes réglementaires, les différentes mesures d’adaptation ou d’atténuation.
les resultats qui peuvent être source d’opinions divergentes sont :
les resultats sur la pollutin automobiles
les effets des lignes THT
Les habitants attendaient de savoir si leur environnement était nuisible ou pas pour leur santé mais les résultats montrent que leurs conditions n’étaient pas les pires qui soient, cependant, même pour les nuissances identifiées(bruits des avions), il n’a pas été proposées de solutions immédiates.
Pour l’association, opposée à la construction d’un équipement supplémentaire, l’attente portait sur la faisabilité ou non de la construction de l’usine d’épuration eu égard aux effets déjà constaté des équipements présents.
La population a remis en question la taille et la représentativité des échantillons. Elle a aussi juge la durée des études trop courte pour aboutir à des résultats fiables. La période choisie pour mener les études a aussi fait l’objet d’interrogation. Car ne correspondant pas aux périodes de pointes.
Le plus importants, c’est que les populations, élus et associations posent le problème du caractère parcellaires des résultats qui, même si ils sont désangoissant, ne répondent pas a la crainte de l’effet cocktail de l’ensemble des types de pollutions. La comparaison des niveaux d’exposition des Champlanais avec ceux des franciliens ou autres ne répond pas à leur craintes des effets des pollutions sur leur propre sante. Enfin les études n’abordent pas l’effet des nuisances sure les populations
Les champlanais ont considérés le résultat comme insatisfaisant et pas réelle,
il ya aussi une relativité vis-à-vis les gènes entre les habitant surtaout pour le bruit , la satisfaction résidentielle n’est pas la même pour les habitants
Incertitudes scientifiques, notamment sur les CEM (début sur les seuils réglementaire) Notion de gêne, très relative (100% des Champlanais exposés au dessus de 55DBa mais aucun ne s’en sent gêné) Notion de satisfaction résidentielle, dépendant de facteurs très individuels
Les notions qui peuvent être sources de divergences entre les différents acteurs :
les protocoles des études. Ils ont suscité des commentaires de la part des champlanais par rapport à l’échantillonnage et les méthodes de mesure,
la durée des études souvent jugée courte,
les périodes choisies pour mener les investigations qui ont souvent été qualifiées hors pic par exemple pour les pollutions atmosphériques.
On distingue comme sources d’opinions et de divergences pour les cas suivants :
l’impact sanitaire sans suite à donner, notion effet coktail
Incertitudes des résultats des études
Peu d’inquiétudes ou pas du tout de certains habitants vis-à-vis des nuisances
Inquiétudes des uns et satisfactions des autres
L’influence de niveau de pollution fonction des variations météorologiques non de la source de pollution n’est pas évident pour la population. (influence du vent et de la période de mesure).Les résultats qui semblent paradoxales sans efforts explicatifs peuvent engendrer des opinions divergentes ( niveau de bruit plus élevé au centre ).Les extrapolations peuvent être subjectives pour les populations qui ont l’habitude de mesures réelles.
Quand une étude laisse une place importante à la relativité voir la subjectivité, l’objectivité de celle-ci devient très difficile à mener. Ainsi sur l’ensemble des études, les résultats et les notions qui, selon nous, peuvent être sources d’opinions divergentes entre les populations, l’association locale, les élus, et les agences d’expertise sont :
l’étude ne prends pas en compte les groupes mais plutôt l’individu, ce qui ne permet pas toujours une conclusion objective de l’étude.Le faite que les residents soient satisfaits de vivre dans un tel environnement et qu’ils perçoivent à peine les nuisances( bruits 55DBa ) au point de ne pas en être gêné, peut biaiser l’étude et entraîner des divergenges de points de vu des acteurs sus-cités. Aussi les bases de l’étude n’étant suffisamment fiables peuvent laissé planer des doutes quant à la qualités scientifique du travail abattu.
effet cocktail , problème de pic de bruit non connu
La population, les associations et les élus pensent que les équipements relatifs aux industries, à la station d’épuration et aux antennes d’électricité, installés dans leur commune sont une source de pollution atmosphérique et de bruit et constituent ainsi un risque sur leur santé. Cependant, les agences d’expertise ont confirmé que ces équipements respectent les normes de qualité environnementale en vigueur et, contrairement à l’opinion des habitants, ce sont les avions et le trafic routier qui sont à l’origine du bruit de la pollution atmosphérique.
Les résultats suivants sont susceptibles de contestation :
« Champlan est un village préservé, avec une identité propre, du fait de la proximité de l’aéroport d’Orly ».
Non seulement c’est l’avis d’un seul habitant sur 34 représentant l’échantillon de l’étude, mais ledit échantillon n’est pas représentatif des 2700 habitants de Champlan.
Du fait que les études ont montré une inégalité des habitants face aux nuisances et que pour y faire face chaque individu va développer une stratégie, souvent inconsciemment, pour minimiser la perception de cette gêne par l’organisme constitue une sources d’opinions divergentes entre les parties prenantes.
La notion de gène est relative a chacun et aux propres limite individuelle. La limite européenne au delà de laquelle on doit mettre en place des mesures de protection contre les bruits est de 55db, mais personne n’est visiblement très incommodé par ces bruits, sachant que cette limite est très souvent dépassée.
Si la démarche de l’étude favorise la communication et la mise en perspective de perceptions, d’attentes, d’inquiétudes et de priorités différentes, il est envisageable que le manque de solutions immédiates alimente les divergences quant à l’impact sanitaire, les mesures immédiates et futures. Les notions de gênes, inconfort ou exposition s’avèrent subjectives et jouent en la défaveur des signaux d’alerte comme des conclusions des études.
L’exemple de l’exposition faible aux champs magnétiques de faible puissance, ne répond pas aux risques potentiels des plus exposés. La notion de fréquence et puissance élevées ne sont pas relevées et restent potentiellement polémique.
De même l’exposition à certains polluants atmosphériques à long terme et lors de pics (non mesurés) demeure un sujet évident de divergences entre la population craignant l’effet cocktail et les élus et agents d’expertise.
Bien que les conséquences sanitaires des expositions bruits, pollution atmosphérique générées par Orly soient moins exposés ou plus assumées, elle demeurent un point non totalement couvert et pourrait s’avérer un sujet sensible sans solution cependant..
La notion de l’effet cocktail des expositions peut être source d’opinion divergentes pour les parties prenantes. Il y a aussi les mesures à prendre suite à l’investigation et pour la gestion des nuisance.
L’exposition aux trois polluants de l’air ne révèle aucune différence entre les Champlanais et les Franciliens : ça pourrait être aperçu par la population comme une erreur, donc la nécessité d’augmenter la durée de l’étude et les dimensions de l’échantillon pour évaluer l’effet cocktail
la nécessité d’une étude épidémiologique
la non contestation de la part de la municipalité d’installer la station d’épuration
parfois, la sous-estimation de la perception individuelle des nuisances
le manque d’actions concrètes pour réduire les nuisances
Les habitants attendaient des propositions concrètes d’actions (gestion) et une réponse à l’effet cocktail (problème sanitaire), ce qui n’a pas été le cas. Cependant, cette étude a apporté à certains habitants des réponses qu’ils ont trouvées désangoissantes.
La perception des nuisances, l’échantillonnage et la période de l’étude peuvent être des des sources d’opinions divergentes
Comme sources d’opinions divergentes, on peut citer les incertitudes liées à l’étude, notamment sur les valeurs d’exposition individuelle des champs électromagnétique (CEM) des THT ; en plus la notion de gêne et le plaisir de vivre à champlan varie d’un individu à un autre.
Les sources d’opinions divergentes, concernent la représentativité des échantillons (leur taille, et leur composition) et la méthode de mesure (le facteur temps et la durée). La période choisie pour les mesures de bruit et de pollution atmosphérique a été remise en cause par certains au motif qu’elles n’avaient pas été faites aux périodes à fort trafic routier, aérien (ex : départs en vacances estivales) ou aux périodes de plus fortes chaleurs. Des discussions ont eu lieu sur le temps d’intégration des mesures, les moyennes utilisées ne permettant pas de rendre compte des éventuelles phénomènes de « pics » (étude bruit notamment).
La durée des études, la méthode de calculs des résultats obtenus, les périodes choisies pour les mesures.
A première vue et selon moi, au moins trois éléments peuvent être sources d’opinions divergentes entre les populations, l’association locale, les élus et les agences d’expertise :
1) la perception de la nuisance qui est liée à chaque individu (la gène ressentie ou non),
2) le fait de connaître individuellement la valeur chiffrée de chaque type de nuisance mais sans en connaître l’effet dit "cocktail",
3) le type d’équipement utilisé pour les mesures ainsi que les erreurs d’étalonnage liés à ces équipements.
Résultats : Sur l’ensemble des études, les résultats certaines mesures sont supérieures aux normes et d’autres restent dans l’acceptabilités.Au niveau de l’ étude sociologique, certains aspects jusque là peu appréhender ont été mis en excergues : Diversité de perception et la multi-exposition quelque soit le niveau des expositions déterminées individuellement
Pour certain, les etudes doivent etre suivies d’actions concretes.Pour d’autres un prolongement des études pour mesurer les effets à long terme ainsi que la demande d’une approche épidémiologique a de nouveau été formulée.
Levée du flou par rapport à l’effet cocktail.
la notion des gènes:la majorité des Champlanais sont tous exposés aux nuisances (au dessus de 55 DBa)mais aucune personne ne se sent pas gêné.ceux qui supportent restent et ceux qui ne supportent, ils partent.la notion de satisfaction résidentielle.
L’opportunité ou non de conduire une étude épidémiologique ; les divergences au sujet des résultats « désangoissants » pour les uns et biaisés pour d’autres ; l’installation de nouvelles infrastructures (station d’épuration) et aménagements ; le respect des normes de santé définies par l’OMS ; les prises en charges des victimes ; défiance ou de perte de sécurité.
Sur l’ensemble, nous pouvons citer les mesures subjectives de certaines études, en ce qui concerne les polluants atmosphériques, le bruit mais aussi les champs magnétiques. En effet, la représentativité des échantillons peut être considérer comme faible. C’est le cas également des méthodes de mesure : la durée de mesures trop courte ne reflétant pas la réalité de la situation. Les périodes choisies ne sont pas adéquates pour évaluer les impacts réels.
Parmi les résultats et notions qui peuvent être source d’opinions divergentes, il y a la dispersion des exposition et la justification de la sélection de certains polluants (uniquement).
Incertitudes scientifiques, notamment sur les CEM (début sur les seuils réglementaire).
Notion de gêne, très relative (100% des Champlanais exposés au-dessus de 55DBa mais aucun ne s’en sent gêné)
Notion de satisfaction résidentielle, dépendant de facteurs très individuels - - La perception des Champlanais sur ce programme
Une proportion importante attend légitimement que ces études soient suivies d’actions concrètes comme une plus grande rapidité dans l’instruction des demandes d’isolation des bâtiments contre le bruit des avions, l’enterrement des lignes (4 fils), la réalisation de déviations routières. Certains ont souhaité qu’il y ait un prolongement des études pour mesurer les effets à long terme, et la demande d’une approche épidémiologique a de nouveau été formulée.
les niveaux de pollution, la représentativité, la taille et la composition des échantillons, les méthodes de mesure qui diffèrent d’une partie prenante à l’autre, la période d’étude, la prise en compte d’autres sources de nuisances dans la problématique
Les résultats qui peuvent être sources d’opinion divergentes sont les estimations des niveaux d’expositions pour des protections collectives à prendre et les études sociologiques pour les mesures d’inquiétude face aux nuisances. Il y a aussi l’estimation des expositions dans le temps.
Les protocoles d’études et les valeurs de références scientifiques telles que pour les CEM.
Les susceptibilités individuelles quant à la perception du résultat de la balance risque/bénéfice même lorsque la pollution/nuisance est avérée.
L’absence de réponse aux questions fondamentales des Champlanais que sont l’évaluation de l’effet cocktail de toutes les pollutions auxquelles ils sont soumis et l’impact de ces multi-expositions sur leur santé.
sur l’ensemble des études les divergences peuvent provenir de la non confirmation des risques, présentation des chiffres inférieurs à la normes après les études épidémiologiques ce qui confirmerait la non exposition des populations.les attentes de la population si elles ne sont pas satisfaites peuvent être source de divergence