Qu’est ce qui a permis aux Champlanais d’être entendus, pris en considération ?
La mobilisation sociale
Projet d’une nouvelle station d’épuration.
Image d’un village encerclé, morcelé, réalisé pour la première fois par l’association locale.
Le rôle du Comité de défense dans la mobilisation
Prise en charge politique par une députée spécialiste des questions de l’environnement.
La prise en charge du signal par la députée de (...)
Qu’est ce qui a permis aux Champlanais d’être entendus, pris en considération ?
C’est grâce à l’action de la députée de la 4ème circonscription de l’Essonne. Cette Élue, particulièrement sensible aux préoccupations environnementales, a en juillet 2004 reçu le comité de défense et organisé en janvier 2005 une réunion à la mairie associant les acteurs locaux et l’Ademe.
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La démarche des champlanais a été graduelle et a duré plusieurs années. Il s’agit d’une démarche ’’bottom to up’’ : des riverains vers le pouvoir. On distingue essentiellement quatre (04) phases dans cette démarche et la dernière constitue la phase critique, l’élément déclencheur :
1- D’abord, leur association créée en 1974 s’est lancée dans une mobilisation contre les expositions auquelles les habitants du village sont exposés. Cette lutte a été soutenue par la mairie et les riverains
2- Le concours de circonstances fait intervenir deux événements qui précipitent l’action du collectif :
Une étude d’Airparif (association de surveillance de qualité de l’air en Ile de France) parue en 2004 autour d’Orly montre que les niveaux élevés de pollution atmosphérique sur Champlan dépassent ceux observés au centre de Paris. Une autre évaluation demandée par le conseil général de l’Essonne autour des axes routiers confirme qu’à Champlan, les populations vivant auprès des axes routiers (5%) sont exposées à des niveaux élevés de pollution
Un projet d’implantation de station d’épuration est à l’étude au sud du village, seule zone encore préservée.
3- La presse a joué un rôle fondamental en relayant l’ensemble de l’information : toute l’opinion publique est allertée. La réaction des politics est fortement attendue ; ils sont pris au piège...
4- L’élément déclencheur des investigations et démarches sérieuses est l’implication des élus de la région et plus particulièrement la députée de la 4ème circonscription de l’Essonne, qui prend le dossier en main. Dès lors, l’aboutissement des efforts depuis longtemps consentis se fait plus concret ; c’est l’aboutissement.
Ce qui a permis aux Champlanais d’être entendu et pris en considération est :
Présences d’une association dont le président, élu municipal, est très actif.
L’étude d’Airparif (association de surveillance de la qualité de l’air en Ile de France) en2004 qui a démontré que le niveau de pollution atmosphérique à Champlan est plus élevé.
Projet de la station d’épuration (une autre source de nuisance) dans une zone préservée (sud).Ceci a mobilisé les habitants et comité de défense qui interpellent les élus et l’état sur « l’effet cocktail ». Ce qui a attiré l’attention des medias et a provoqué la réponse des pouvoirs publics.
Création d’association et de comité de défense (mobilisation sociale)
Le relais de leur signal sanitaire par la députée de l’Essonne N. Kosciusko-Morizet.
les Champlanais ont été soutenu par la députée de la 4 ème circonscription de l Essonne sensible aux préoccupations environnementales qui a pris le dossier en main
Outre le dynamisme du président du comité de défense de Champlan, sa capacité à synthétiser les inquiétudes et surtout à frapper à la bonne porte pour se faire entendre, l’élément déclencheur a été l’intérêt particulier porté aux questions de santé environnementale par la députée de la circonscription et sa volonté de se saisir du problème en mettant en place une enquête novatrice de grande envergure.
Beaucoup de facteurs entrent en ligne de compte :
la présence d’un comité de défense contre les nuisances collectives
les résultats des études d’Airparif et du Conseil général de l’Essonne
la presse régionale se faisant l’écho des inquiétudes et des résultats d’Airparif
surtout le projet d’implantation d’une station d’épuration au sud du village, zone encore préservée
l’implication de tous les habitants et de celle de la députée de la 4ème circonscription de l’Essonne
La création de l’association locale ou comité de défense de l’environnement de Champlan en 1973, et la signature d’une petition par le tiers des Champlanais ont été l’origine du mouvement. La mobilisation locale et la médiatisation ont provoquer un mouvement du pouvoir public. En effet la députée de l’Essonne à l’époque, Nathalie Kosciusko-Morizet, activera les études scientifiques en prennant le dossier en charge en 2005. Quatre agences (ADEME, InVS,Afsset et Airparif) coopèrent, sous la direction de l’ADEME, pour répondre aux attentes des Champlanais.
Les résultats positifs des études de Air parif et du Conseil Général ayant conduit à une forte sensibilisation, surtout la prise en charge du signal par la Députée de la circonscription qui a servi d’intermédiaire entre la population et le instances de décision.
tous d abord la création d un comité de défense contre les nuisances,mobilisation et solidarité des citoyens aussi une anxiété les médias et pour pousser les choses plus loin l une des députée a pris le dossier en main
Grâce à l’association de protection et aux élus, qui ce sont mobilisés suite au projet de station d’épuration et aux résultats très négatifs d’une étude d’airParif. Mais surtout au projet politique de la députée de circonscription, Nathalie Kosciusko Morizet, qui débutait sa carrière politique en environnement et qui entrepris de faire de Champlan un site pilote pour l’étude d’exposition à un cocktail de nuisances par différentes agences.
Les etudes faites au sujet d’assainissement de cette ville et sa position par rapport à la ville de paris ont fait qu’aujourd’hui les champlanais sont étendus et pris en considération
l’étude d’Airparif autour de l’aéroport d’Orly en 2004 a beaucoup contribué dans la pris en considération du cas de champlan. même si des nombreuses actions ont été entrepris par le comité de défense jusqu’en 2000, l’étude sur la qualité de l’air à été un facteur générant l’inquiétude des pouvoirs publics, les obligeant à examiner l’anxiété des habitants de champlan.
la spatialisation sur carte des équipements lourds effectué par le Comité corrobore le risque sanitaire qu’encoure les champlanais à cause pollution de l’air.
l’existence de ces deux documents a été important dans l’action du Comité afin qu’il puisse justifier leur pétition et d’être entendu par les élus.
La prise en compte du cas de Champlan est facilitée par la député Nathalie Kosciusko-Morize secrétaire d’État à l’Écologie qui sollicitera l’ADEM pour faire une étude de cas sur Champlan. Ceci ne serait aussi possible sans la mobilisation des champlanais qui ont mis en place un Comité de défense de l’environnement de Champlan ainsi que la signature d’une pétition pour se faire entendre.
L’élément déclencheur est surtout la prise en compte de la demande sociale par la députée de circonscription.
Le relai rapide du problème au niveau politique et la présence locale, crédible et active du comité de soutient ont permis une prise en charge très réactive de cette demande.
L’ element declancheur c’ est la moblisation et la prise en compte de l’ aspect environemental
La députée de la circonscription, maire d’une commune voisine et future secrétaire d’état à l’écologie, a été particulièrement attentive aux inquiétudes des habitants et intellectuellement sensible à l’effet cocktail (multi-expositions) qui est peu étudié.
Il y a donc eu une impulsion politique forte pour saisir les grandes agences de ces questions.
la carte de concentration de tous ces investissements lourds accentué par le futur incinérateur a permis aux champlanais d’être écouter. En plus la fédération de la population autour d’une association a donné plus d’impact aux activités de revendication
Deux facteurs principaux ont permis aux Champlanais d’être entendus et pris en compte. Il s’agit de :
(1) la proposition d’une pétition par le collectif des habitants qu’un tiers des champlanais signe en 2005 pour montrer leur désaccord sur le cumul des équipements et interpeller les élus et l’Etat sur l’effet « cocktail » des émissions sur la santé,
(2) la députée de la 4ème circonscription de l’Essonne, particulièrement sensible aux préoccupations environnementales, reçoit en juillet 2004, le comité de défense contre les nuisances à Champlan. En janvier 2005, elle organise une réunion avec la participation des acteurs locaux et l’Ademe. Par la suite, la député souhaite que Champlan constitue un « laboratoire » d’une démarche exemplaire visant à étudier l’impact des pollutions qui affectent, à des degrés divers, les populations.
leur regroupement en association,leur mobilisation et surtout la prise en main de leurs problèmes par la député de la 4e circonscription de l’essone qui a reçu l’association et décide avec le conseil régional de commander des études
Le rôle capital joué par l’association pour la défense de Champlan, la détermination de son président mais aussi la solidarité historique d’une population qui s’active toujours pour préserver les acquis de leur commune sont des éléments primordiaux qui ont contribué à ce que la voix des champlanais soit entendue. Mais ces efforts se combinent avec ceux de la municipalité et surtout de la députée Morizet et des relais faits par les médias et la presse pour permettre la prise en compte des inquiétudes des champlanais.
Les élement qui ont permis aux champlanais d’être entendu et pris en considération sont entre autre l’organisation des Champlanais, par la création d’une Association locale de défense de l’environnement depuis 1973 et surtout la lettre écrite en 2005 par Christian Leclerc, Président du comité Conseil Municipale leur signifiant que « les niveaux de pollution enregistrés sur leur secteur pourraient bien finir par créer une catastrophe sanitaire sans précédent.
Les champlanais ont été entendu grace à la grande mobilisation de la population, les resultats de la petition de 2005 qui a pu reunir une très grande proportion de signature, l’adhesion des medias et la prise en compte du probleme par les élus du secteur.
Les Champlanais ont été entendus d’une part parce qu’il s’agit d’un contexte relativement nouveau à savoir la multiplicité des sources d’exposition et de nuisances qualifiée d’effets cocktails avec des risques environnementaux et sanitaires inconnus. D’autre part parce que la préoccupation a été relayée par la député engagé dans la défense et la protection de l’environnement.
Il faut noter à ce niveau le role primordial de l’association pour la défense de Champlan et la détermination de son président mais aussi le dynamisme historique d’une population qui s’active toujours pour préserver les acquis de leur commune. Ces efforts se conjuguent avec ceux de la municipalité et de la députée Morizet en plus des echos de la presse pour permettre la prise en compte des inquiétudes champlanais. Un fait important est l’originalité du cas de champlan qui fera de cette petite commune un laboratoire pour l’études des cas de multiexpositions dans les agglomérations.
Ils se sont réunis en un collectif (association) ensuite ils ont rencontré le député de la région qui a transmis leur inquiétudes à la plus haute instance
C’est cet élan de solidarité qui existe entre les champlanais et les élus locaux.
l’élément qui a suscité l’intérêt, est l’implication des différents acteurs locaux( maire, syndicats et populations) qui ont fait pression sur l’État.
l’élément qui a permis aux Champlanais d’être entendu est le cocktail d’exposition : l’exposition au bruit aux champs magnétiques de basse fréquence à la pollution atmosphérique fourni par la cartographie
Les champlanais ont formé des associations ,des comites de defenses.Il ont mené aussi de nombreuses actions et ont siegé dans les commissions .Les mobilisations des citoyens ont attiré l’attention des medias .
Deux facteurs principaux ont permis aux habitants de Champlan d’être pris en compte. Il s’agit de :
la proposition de pétition initiée par le collectif des habitants qu’un tiers des champlanais ont signé en 2005 pour montrer leur désaccord sur le cumul des équipements afin d’interpeller les élus et l’Etat sur l’effet « cocktail » des émissions sur leur santé.
la députée de la 4ème circonscription de l’Essonne, particulièrement sensible aux préoccupations environnementales, reçoit en juillet 2004, le comité de défense contre les nuisances à Champlan, puis en janvier 2005, organise une réunion avec la participation des acteurs locaux et l’Ademe. Par la suite, la député souhaite que Champlan devienne le « laboratoire » d’une démarche exemplaire visant à étudier l’impact des pollutions qui affectent, à des degrés divers,la vie des populations.
l’emplacement du village, existence de plusieurs sources de nuisances
c’est la mobilisation des champlanais et la prise en compte de leurs plaintes par l’élu de la 4e circonscription de l’Essonne qui ont permis que les champlanais soient entendus et pris en considération
Le constat fait par les populations de l’existance de multiples sources d’expositions et de nuisance ; Leur niveau de prise de conscience et d’organisation ainsi que les résultats des études antérieures menées par Airparif
mobilisation générale associée à une implication des élus locaux (notamment une députée de l’Essonne) pouvant être des relais d’opinion plus importants qu’une association de riverains.
c’est une sorte de syndrome NIMBY suscité par le projet d’installation d’une nouvelle station d’épuration qui en faisait trop pour un si petit village avec tout ce qui y existait déjà.
Le dossier a été pris en charge par une députée.
La problématique a émergé localement, par la mobilisation d’une partie des habitants
En 2005 le collectif propose une pétition qu’un tiers des habitants signe pour montrer leur désaccord sur le cumul des équipements et interpeller les élus et l’Etat sur l’effet « cocktail » des émissions sur la santé. Elle est signee par environ 1 000 personnes dans un village qui en compte 2 500.
Les actions du comité defense ont alerté un elu qui a eu des entretiens avec les organisations sociales de Champlan et a decidé de mener des demarches visant à ameliorer le cadre de vie de la commune et une évaluation a été engagée sur le territoire de Champlan.
Quand une partie des habitants se plaignent de certains problèmes, il arrive qu’ils créent une association ou un comité de défense pour faire entendre leurs plaintes ou arguments. Crée en 1973 le Comité de défense contre les nuisances collectives mène de nombreuses actions auprès du Conseil Général et des équipementiers.
Aussi :
Une étude d’Airparif (association de surveillance de qualité de l’air en Ile de France) parue en 2004 autour d’Orly montre que les niveaux élevés de pollution atmosphérique sur Champlan dépassent ceux observés au centre de Paris
Un projet d’implantation de station d’épuration est à l’étude au sud du village, seule zone encore préservée
Ces deux événements ont précipité l’action du collectif . De plus le Comité soulève la question de l’impact sanitaire de l’ensemble de ces émissions. Les Champlanais échangent leurs informations, La mobilisation génère de la solidarité mais aussi de l’anxiété. En 2005 le collectif propose une pétition qu’un tiers des habitants signe pour montrer leur désaccord sur le cumul des équipements et interpeller les élus et l’Etat sur l’effet « cocktail » des émissions sur la santé. Cependant, les élus du secteur ont constitué les relais les plus efficaces et qui disposent de l’autorité pour déclencher une action d’envergure
La mairie s’est mobilisé avec les habitants, ce qui a permis à la plainte d’arriver jusqu’à un député sensible aux questions environnementales qui a demandé l’enquête.
Ce qui a permis aux Champlanais d’être entendus et pris en considération est l’implication de la députée de la 4ème circonscription de l’Essonne, Nathalie Kosciusko-Morizet, particulièrement sensible aux préoccupations environnementales et qui prend le dossier en main. Car les mobilisations des citoyens peuvent attirer l’attention des médias et donc provoquer une réponse de la part des pouvoirs publics. Cependant, ce sont les élus du secteur qui constituent les relais les plus efficaces et qui disposent de l’autorité pour déclencher une action d’envergure.
L’intervention de la presse après avoir eu écho de la mobilisation face aux, inquiétudes et des résultats d’Airparif à Champlan
: C’est grâce à l’action de la députée de la 4ème circonscription de l’Essonne. Cette Élue, particulièrement sensible aux préoccupations environnementales, a en juillet 2004 reçu le comité de défense et organisé en janvier 2005 une réunion à la mairie associant les acteurs locaux et l’Ademe.
A mons avis l’élément declencheur est la station d’épuration ; si non il ya un changement des régles politiques, une cartographie des nuisances et ils sont inquiets des impacts sanitaires. l’appui de la deputé de l’Essome n’est pas negligeable.
A l’origine, les habitants inquiets se sont regroupés en association. Les médias ont pu jouer un rôle, mais c’est surtout la députée de la 4ème circonscription de l’Essonne qui a pris le dossier en main et organisé une réunion en mairie associant les acteurs locaux et l’Ademe. Cela a été le coup d’envoi du "laboratoire" Champlan qui a permis de mobiliser des équipes de recherche pluridisciplinaires.
la création d’un comité de défense ainsi que l’implication des élus locaux(député,maire).habitants et élus mobilisés pour la défense de leur environnement(cadre de vie)
L’élément déclencheur a été la nature du nouvel équipement envisagé (station d’épuration d’eau usée) qui a contribuer à l’intensification de la mobilisation, par crainte des émissions malodorantes attribuées à ce type d’installation.
Les Champlanais ont été entendus à la suite de la publication des résultats de l’enquête diligentée par le collectif des résidents opposés à la pollution de leur village.Ce collectif était dirigé par la députée de la 4ème circonscription de l’Essonne particulièrement sensible aux préoccupations environnementales, les élus, le maire, les élus du secteur et quelques habitants de la commune. C’est ce collectif a déclencher une action d’envergure qui a été confiée a deux agences chargées des évaluations environnementales.
L’action des mass- médias y a contribuer à grande échelle à travers la publication des résultats des enquêtes (c’est le contexte de la multi-exposition de la population) confiées aux agences d’évaluation des risques.
C’est la prise en charge du signal par la députée de la 44è circonscription de l’Essonne particulièrement sensible aux préoccupations environnementales
C’est la mise en place du Comité de défense contre les nuisances collectives, qui mène de nombreuses actions auprès du Conseil Général et des équipementiers.
Cette mobilisations des citoyens peut attirer l’attention des médias et donc provoquer une réponse de la part des pouvoirs publics. Cependant, c’est les élus du secteur qui constituent les relais les plus efficaces et qui disposent de l’autorité pour déclencher une action d’envergure, en l’instar du quatrième député qui apporte un appui très apprécié.
L’élément déclencheur est le fait que le Comité de défense de l’environnement de Champlan ait fait signer une pétition par le tiers des habitants du village et réussit à avoir l’oreille de la députée de l’Essonne de l’époque, Nathalie Kosciusko-Morizet.
la création d’un comité de défense ainsi que l’implication des élus locaux(député,maire).habitants et élus mobilisés pour la défense de leur environnement(cadre de vie)
• Il faut une initiative politique, en la personne d’une parlementaire suffisamment insérée dans les milieux nationaux, pour extraire Champlan de son contexte local, au sein duquel aucune prise en charge ne peut s’opérer, et l’ériger en symbole pouvant alors être l’objet d’études dédiées à lui seul.
• La « mise sur agenda », c’est-à-dire le traitement politique par la décision de transformer Champlan en site pilote devant donner lieu à plusieurs études menées par les agences nationales dédiées à l’environnement et la santé
Ce qui a permis aux Champlanais d’être entendus et pris en considération sont, entre autres, la Création d’association et de comité de défense et la Prise en charge politique de la question par la députée de la 4ème circonscription de l’Essonne.
Les champlanais ont été entendus car ils se sont tous associés pour faire front à une ènième installation qui augmenterait les facteurs d’exposition. Ainsi le comité de défense contre les nuisances s’appuyant sur une étude d’airparif et l’annonce de la construction de l’installation de la station d’épuration a pu convaincre les autorités locales dont la députée de l’Essonne qui a décidé de prendre en charge le dossier.
la députée de la 4ème circonscription de l’Essonne a permis cela
c’est le fait que la population s’est groupé et formant une sorte de syndicalisme (signer la pétition) pour protester contre les nuisances. la présenbce des élus du peuple a aidé etre entendu
C’est la mobilisation qui a permis aux Champlanais d’être entendus. Mais c’est surtout les élus et particulièrement celle de la 4ème circonscription de l’Esonne qui ont été les relais efficaces aux craintes des Champlanais.
L’élément déclencheur fut la publication d’une étude d’Airparif montrant la mauvaise qualité de l’air, en même temps qu’un projet d’implantation de station d’épuration. La pétition des habitants qui s’ensuivit et sa médiatisation attira l’attention d’une députée sensibilisée à cette problématique environnement-santé, qui put relayer le signal envoyé par les Champlanais.
En 1973, certains habitants de Champlan ont créé une association "Le Comité de défense contre les nuisances ollectives" afin de faire entendre leur plaintes. Mais les 2 principaux éléments délcencheurs ont été :
1) L’étude AIRPARIF parue en 2004 autour d’Orly qui montre que les niveaux élevés de pollution atmosphérique sur Cahmplan dépassent ceux observés au centre de Paris.
2) Un projet d’implantation de station d’épuration
Les habitants ont creÉ un comité pour s’informer, mobiliser, protester et attirer le gouvernement et les medias. Ce comité a gangÉ de pouvoir et avait un representatif au conseil municipal.
Après une étude d’airparif visant la pollution athmosphérique et l’information d’une future station d’épuration implantée sur Champlan, une cartographie des différents sites polluants est faite, les populations se rendent compte que le village est encerclé.
mais c’est la prise en charge du dossier par une élue de l’Essonne qui va le mettre au devant de la scene.
C’est un élu qui a prêté attention aux craintes des habitants de Champlan. C’est la députée de l’Essonne, sensible aux effets environnementaux qui a pris en charge le dossier et l’a soulevée auprès de l’agence de l’environnement et de la maitrise de l’énergie(Ademe).
Les Champlanais ont été pris en considération car ils ont été entendu par la député qui a souhaité faire de Champlan un laboratoire pour étudier l’impact de la pollution.
Quand les habitants se plaignent de certains problemes, il arrive qu’ils creent une association ou un comite de defense pour faire entendre leurs plaintes ou arguments La présence d’une personnalité politique de niveau national positionnée sur les thèmes de l’environnement permet de porter sur la scène publique la situation particulière vécue par le village.La présence des servitudes constitue une expérience partagée qui réunit les habitants au moins autour de questionnements communs. D’autre part la communication autour du programme d’etudes ( reunion avec les habitants- lettre d’information - site d’internet).
Grâce à la mobilisation de l’association de défense de l’environnement de Champlan et l’intervention auprès de l’Ademe de la députée de l’Essonne NKM (pour les intimes...), spécialisée dans les domaines de l’environnement, notamment au sein de son parti (UMP).
c’est qui a permis au champlanais d’etre entendu:En 2005 le collectif propose une pétition qu’un tiers des habitants signe pour montrer leur désaccord sur le cumul des équipements et interpeller les élus et l’Etat sur l’effet « cocktail » des émissions sur la santé.
Notes
[La prise en charge du signal par la députée de la circonscription
Les mobilisations des citoyens peuvent attirer l’attention des médias et donc provoquer une réponse de la part des pouvoirs publics. Cependant, c’est les élus du secteur qui constituent les relais les plus efficaces et qui disposent de l’autorité pour déclencher une action d’envergure.
Champlan intègre aujourd’hui des structures intercommunales (le syndicat en charge de la collecte de déchets, la communauté d’agglomération…). Une partie des décisions concernant Champlan est désormais prise par des partenaires plus puissants avec qui le conseil municipal doit négocier.
c’est lorsque la municipalité et surtout le député a pris le combat
Une source de pollution supplémentaire avec un nouveau projet d’infrastructure (station d’épuration)
Expression collective des craintes qui a retenu d’abord l’attention des élus locaux avant les structures étatiques comme ADEME et AIRPARIF
L’installation de la station d’épuration d’eaux au sud du village, seul endroit supposé propre, car non occupé par des sources polluantes encore, aura été décisif dans l’action que va menée les champlanais.
Le choix de vie à Champlan étant déjà fait, les champlanais ont véhiculé leur inquiétude aux niveaux des élus locaux qui se sont impliqués à leur tour notamment la député NKM (actuel ministre de .....).
La médiatisation, la pétition signée par l’ un tiers du village et la prise en charge du signal par la députée de la circonscription. Il ne faut pas nonplus négliger les résultats des études effectuées qui identifiaient un danger et reconnaissaient l’ effet cocktail auquel étaient confrontés les habitants ainsi que les ressources dont possède le village qui lui ont permis une mobilisation et la communication du problème.
Ce qui a permis aux champlanais d’être entendu est qu’une élue, la députée de l’Essonne ait prise en charge la situation.
La députée de la 4ème circonscription de l’Essonne, particulièrement sensible aux préoccupations environnementales, est l’élu du secteur qui constituent les relais les plus efficaces et qui disposent de l’autorité pour déclencher une action d’envergure. En Juillet 2004, elle prend le dossier en main et reçoit l’association et organise en janvier 2005 une réunion en mairie associant les acteurs locaux et l’Ademe.
Ce n’est donc du au fait que la personne qui servait de relais entre les champlanais et les autorités été capable de déclencher une action d’envergure qui à permis aux Champlanais d’être entendus, pris en considération.
L’unité, la determination et la médiatisation/
C’est la création d’un comité de défense contre les nuisances collectives qui synthétise l’ensemble des infrastructures de la commune sur une carte, qui va être à l’origine de la prise de conscience des élus locaux. Le collectif va en effet interpeller les élus et l’Etat sur l’effet « cocktail » des émissions sur la santé. La députée de la 4ème circonscription de l’Essonne, prend très rapidement le dossier en main.
Mis à part la forte mobilisation des champlanais face au contexte de multi-exposition, la prise en main des revendications par la députée du 4ème de l’Essone a été un facteur déterminant.
Leur mobilisation qui a provoqué une réponse de la part des pouvoirs publics.
C’est leur sens d’organisation.
Ce qui a permis aux Champlanais d’être pris en considération c’est l’implication du député de la 4eme circonscription de l’Essonne qui est un élu du secteur qui constitue le relais le plus efficace et dispose de l’autorité pour déclencher une action d’envergure.
L’élément déclancheur est , sans aucun doute, la mise en évidence de la possible multi exposition des villageois et la diffusion de cette information dans les média. En communicant la cartographie des les sources de nuissance, scientifiques et pouvoir public ne pouvais nier le caractère spécifique du village. Il devenait alors politiquement et scientifiquement interessant de l’étudier (politiquement car les politiques se font le relais des inquiétudes des élécteurs, et scientifiquement car il était alors possible d’étudier scientifiquement la multi exposition pour la première fois).
Les champlanais ont été entendus et pris en considération parce qu’ils se sont organisés en association et qu’un élu s’est personnellement intéressé aux problèmes que vit la commune.
Puisqu`ils se sont mobilisés pour leur defense
Puisque les élus du secteur ont constituer les relais les plus efficaces
1. Le rapport réalisé pas l’association locale qui donne une image d’un village encerclé, traversé par un trafic de transit, et menacé sur sa seule partie préservée au sud de Champlan.
2. le projet d’implantation de station d’épuration est à l’étude au sud du village, seule zone encore préservée.
3. l’action de la députée de la 4ème circonscription de l’Essonne. Cette Élue, particulièrement sensible aux préoccupations environnementales, a en juillet 2004 reçu le comité de défense et organisé en janvier 2005 une réunion à la mairie associant les acteurs locaux et l’Ademe.
Une étude d’Airparif (association de surveillance de qualité de l’air en Ile de France) parue en 2004 autour d’Orly montre que les niveaux élevés de pollution atmosphérique sur Champlan dépassent ceux observés au centre de Paris. Un projet d’implantation de station d’épuration . Mais aussi le Comité de défense contre les nuisances collectives et les élus du secteur qui constituent les relais les plus efficaces
Les habitants ont commencé de s’inquiété de la situation dans leurs village après le lancement de projet d’installation d’une station de traitement des eaux usé se qui luis alerté sur les conditions de vie inquiétant dans le village pour eux et pour l’avenir de leurs enfants. Cette affaire est la goutte qui a fait déborder le vase. Mais il y a une multitude de facteur qu’ont facilite la mobilisation rapide des autorités, parmi : La cohésion de la société et la facilité de mobilisation. L’action de député et leur prise en charge du suivi le dossier dans les autorités et les medias. La gravité des différents risques présente dans le village et le souci de multi-exposition.
Ce qui a permis aux Chaplanais d’etre entendu c’est que les vecteurs des demandes, et des inquiétudes publiques ont été efficaces. Il y a eu une synergie de mobilisation, effectué à des niveaux différents : associatif, collectif, médiatique... Je pense que les personnes impliquées ont pris au sérieux la situation des habitants de Champlan.
les Champlanais d’être entendus pour des plusieurs raisons en couplant d’un côté le projet de vie et de l’autre la nature et l’intensité des inquiétudes sanitaires
Les champlanais ont ét entendu car l’action a été menée à plusieurs niveaux :
La mobilisation de comité de défense contre les nuisances suite à une étude d’Airparif
La mairie s’est impliquée ainsi que les riverains, mais l’élément le plus important est la prise en compte de l’élu du 4ème circonscription de l’Essome qui aime se préoccuper des problèmes environnementaux.
La prise en charge du signal par la députée de la circonscription
Les éléments qui ont permis aux Champlanais d’être entendus et pris en considération sont :
la création d’une association en 1973,
réalisation d’une étude d’Airparif, en 2004 autour d’Orly montre que les niveaux élevés de pollution atmosphérique sur Champlan dépassent ceux observés au centre de Paris.
projet d’installation d’une station d’épuration( la nuisance de trop),
implication du députée de l’Essonne
rôle important de la presse qui a mis en lumière le cas de la commune de Champlan.
Premièrement c’est cette solidarité des champlanais résultant de l’échange d’information sur l’intérêt commun les concernant qui a suscité la mobilisation de tout le monde y compris les députés élus dans cette circonscription.
Deuxièmement il y a eu intervention d’un élu en particulier, la députée de la 4ème circonscription de l’Essonne, particulièrement sensible aux préoccupations environnementales, qui a prêté attention aux craintes des Champlanais et a pris le dossier en main et a mobilisé et les instances chargées de l’environnement et l’administration publique y comprise la Mairie pour que cette situation environnementale soit étudiée. En Juillet 2004, elle reçoit l’association et organise en janvier 2005 une réunion en mairie associant les acteurs locaux et l’Ademe.
La députée souhaitait que Champlan constituerait ainsi un « laboratoire » d’une démarche exemplaire visant à étudier l’impact des pollutions qui affectent, à des degrés divers, les populations des grandes agglomérations. L’Ademe ( L’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) est alors chargée de conduire un programme d’évaluation sur ce territoire.
en premier la consolidation des efforts des habitants en 1973 en créant le Comité de défense contre les nuisances collectives
2004 L’étude AIRPARIF qui confirme le niveau élevé de la pollution atmosphérique de Champlan
2005 la signature d’une pétition par le 1/3 de lapopulation.
L’adhésion de la députée Morize qui intérpelle l’ADEME pour réaliser un programme d’ évaluation de l’impact sanitaire
l’élément déclencheur reste la pétition adressé aux autorités
Ce qui permis aux Champlanais d’être entendus et pris en considérattion c’est l’attention qu’à prêter la député de la 4éme circonscription de l’Essonne. Elle a été sensible à leur appel et a pris le dossier en main. Elle a voulu faire de Champlan un "« laboratoire » d’une démarche exemplaire visant à étudier l’impact des pollutions qui affectent, à des degrés divers, les populations des grandes agglomérations". L’effet médiatique a suivi.
La mobilisation a été forte grâce au travail collaboratif entre le comité de défense, le conseil municipal. Le président du collectif siégeant au Conseil Municipal.
Le projet d’installation d’une station d’épuration dans la partie sud de la Commune qui venait s’ajouter à la remise en cause des règles politiques, et à la présentation de l’encerclement du village à la population. A amener le comité en 2005 a lancer une pétition qui sera signé par 1/3 des habitants et à la transmettre à l’Etat et aux élus locaux.
La députée de la 4ème circonscription de l’Essonne, particulièrement à sensible aux questions environnementales (elle sera : secrétaire d’Etat chargée de l’Ecologie de juin 2007 à janvier 2009 et Ministre de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement de novembre 2010 à février 2012) a entendu l’appel des habitants via cette pétition.
En tant que député, élu local, elle avait l’autorité pour déclencher des actions d’envergure. Elle s’est saisit du dossier, à réunit les différents acteurs et permis la mise en place des études sur Champlan.
La prise en charge du signal par la Députée de la circonscription, Nathalie Kosciusko-Morizet a permis de déclencher une action forte en réponse aux inquiétudes des Champlanais, au travers de l’étude multi-impacts. Du fait de sa position d’élue, la députée a pu exercer une autorité et donner de la voix aux Champlanais.
Les Champlanais dans leur solidarité ce sont mobilisés comme un seul homme pour protester contre les nuisances de trop, en communauté de défense contre les nuisances collectives tout en brandissant comme argument qu’ils sont encerclés par la pollution et que leur sécurité sanitaire est pour cela remise en question.
Les principaux éléments qui ont permis aux Champlanais d’être entendus :
La cartographie des différents équipements générant de la pollution ;
les résultats de l’étude d’Airparif parue en 2004 autour d’Orly et les résultats d’une évaluation demandée par le conseil général de l’Essone autour des axes routiers ;
la traversée de la commune par différents axes routiers ;
le projet d’implantation de la STEP dans la seule zone encore préservée, le Sud du village ;
l’implication de la politique, c’est à dire l’implication de la députée de la circonscription dans le signal environnemental
les plaintes des champlanais ont été prises en considération après
l’étude de Airparif publiée en 2004,prouvant que la pollution atmosphérique sur champlan été plus élevée que celle observée au centre de Paris.
et à cause du projet d’implantation dans la seule zone protégée d’une station d’épuration.
la saisie du dossier par la député et en plus ce cas représentait pour les professionnelles de santé environnement un domaine d’expérimentation d’une science nouvelle.
c’est la montée au creneau de leur députée, leader d’opinion influent.
Les résultats d’une étude d’Airpaf et d’une évaluation commanditée par le Conseil Général d’Essonne montre que les Champlanais sont soumis à des niveaux de pollution aérienne et sonore élevés ou supérieures à ceux de Paris,. Le projet de construction d’une STEP au Sud de village a été la goutte d’eau qui a fait débordé le vase. Le comite de défense a vite compris que la construction d’une STEP ferait que le village serait objectivement ceinturé. Il n’a pas manqué de l’illustrer sur une carte, ce qui a permis de faire prendre conscience aux habitants, favorisant ainsi leur mobilisation. La Députée de la circonscription a servi de relais et de porte voix pour porter l’affaire au niveau national.
La consolidation des efforts (habitants, associations,…), le Comité de défense contre les nuisances collectives le comité de défonce contre les nuisances collectives a synthétisé l’ensemble des infrastructures sur une carte, et la commune apparaît objectivement encerclée. La prise en charge du signal par la députée de la circonscription (déclarant)
Projet d’une nouvelle station d’épuration. Image d’un village encerclé, morcelé, réalisé pour la première fois par l’association locale. Prise en charge politique par une députée spécialiste des questions de l’environnement.
L’élément déclencheur a été le nouveau projet de la station d’épuration. C’est la goutte d’eau qui a fait déborder la vase. Les habitants ont profité de cet évènement pour exprimer leur frustration à l’égard des pollutions et nuisances qu’ils subissent.
C’est surtout la récupération du dossier champlanais par la députée de la 4ème circonscription de l’Essonne qui a permis aux champlanais d’être entendus et pris en considération. Elle a en effet pris en main le dossier et entrepris des démarches auprès des institutions et organismes compétentes. Une chaine de réaction a ensuite permis la prise en considération des inquiétudes de la population champlanaise en rapport avec les problèmes de pollution et nuisance.
Projet d’une nouvelle station d’épuration. Image d’un village encerclé, morcelé, réalisé pour la première fois par l’association locale. Prise en charge politique par une députée spécialiste des questions de l’environnement.
Ce qui a permis aux Champlanais d’être entendu et pris en considération c’est grace à l’association dont la député élue est très compétente dans le domaine.
Le projet d’une nouvelle station d’épuration a mobilisé les habitants et a permis une réponse urgente des pouvoirs publics.
Leur demande a été prise en considération parce que il y eu convergence d’opinion entre la société qui exige plus de transparence marquée par une pétition d’assez grande envergure, de la nouvelle approche de certains politiciens qui considèrent l’écologie non seulement dans le cadre de problème-solution mais objet de réflexion-action et des scientifiques qui sont en quête de nouvelles approches méthodologiques inhérentes à l’exposition multicritères et effet cocktail d’impact sanitaire, mais aussi de la pression provenant des médias qui trouvent une occasion d’en faire une tapage.
L’élément déclencheur qui à permis aux champlanais d’être entendus et pris en considération, est un projet d’implantation de station d’épuration à l’étude au sud du village, seule zone encore préservée.
Dès lors le comité synthétise l’ensemble des infrastructures sur une carte, et la commune apparaît objectivement encercléees. l’association des résidents Champlanais va réagir par le biais de son comité de défense à travers des réunions sur les impacts sanitaires des réalisations et adresser une pétition aux autorités compétentes. Aussi un élu en particulier prête-elle une attention aux craintes des Champlanais : la députée de la 4ème circonscription de l’Essonne, particulièrement sensible aux préoccupations environnementales, prend le dossier en main.
la mobilisation des citoyens qui attir l’attention des médias et provoque une réponse de la part du pouvoir public
Les champlanais ont été pris en considération principalement grâce aux élus locaux qui ont emprunté la cause des habitants. En effet, il s’agit essentiellement du député de la 4 eme circonscription de l’Essonne, sensible aux préoccupations environnementales, il a pris le dossier en charge et il a organisé une réunion en mairie associant les acteurs locaux et l’Adem.
C’est une pétition massivement signée en 2005 par la population qui a permis aux Champlanais d’interpeller les élus et l’État. En effet, les habitants expriment leur désaccord sur le cumul des équipements et leurs inquiétudes sur "l’effet cocktail" des émissions polluantes sur la santé, c’est-à-dire l’effet sur la santé de combinaisons d’expositions à des substances chimiques en mélange dans l’environnement.
la prise du dossier de Champlan par une député de la localité les a permis d’être entendus
une étude de Airparif qui attire l’attention sur la qualité de pollution atmosphérique de Champlan qui est audessus de celle de paris.
la mobilisation des Champlanais contre le projet de construction de la STEP et la mediatisation qui en découle
mais l’element majeur est la prise en main du dossier par un élu
L’élément déclencheur est le projet de la nouvelle station d’épuration, qui a mis le feu aux poudres. Constitution d’un comité de défense et mobilisation politique d’un député. L’image du village encerclée par les nuisances est retenue.
Si l’élément déclencheur de la mobilisation est l’étude commanditée en 2004 autour d’Orly (ne visant pas forcément Champlan seulement), la décision autour du projet d‘installation d’une Station de traitements et d’épuration des eaux dans la seule zone non source de pollution a réellement servi de déclencheur pour le comité pourtant créé 20 ans auparavant de produire une dynamique d’implication positive des habitants visant à contrôler les dommages déjà en cours sur la commune « encerclée ». le relais d’une élue a permis de donner plus d’envergure à la problématique.
L’intervention d’une personnalité politique de niveau national positionnée sur les thèmes de l’environnement a permis de porter sur la scène publique la situation particulière du village de Champlan.
La députée de la 4ème circonscription de l’Essonne, particulièrement sensible aux préoccupations environnementales, s’occupe du dossier, pour arriver à effectuer une étude de l’effet cocktail des différentes nuisances qui affectent Champlan. Avec un délai de six moins, elle organise une réunion en mairie, avec la participation des acteurs locaux et l’Ademe, qui se retrouve, pour la première fois, confrontée à ce type de démarche.
Dans ce contexte, il est toujours indispensable de pouvoir bénéficier de l’appui des représentants des pouvoir publiques : la volonté et la mobilisation des citoyens ne sont pas suffisants, tous seuls, à déclencher des actions à haut niveau.
Deux évènements à savoir une étude d’Airparif qui montrent que les niveaux élevé de pollution atmosphérique sur Champlan dépassant ceux observés au centre de Paris, ainsi qu’un projet d’implantation de station d’épuration dans une seule zone préservée du village ont fait avancé l’implication du comité de défense pour la mobilisation des Champlanais. Bien que ces deux évènements aient leur importance, c’est surtout c’est la prise en main de cette action par une députée qui a été l’élément déclencheur permettant la prise en considération des craintes des Champlanais. En effet, étant une élue, elle a une capacité de relais plus efficace et dispose d’autorité nécessaire qui a conduit à l’évaluation des impacts sanitaires de cette surexposition.
C’est la prise en charge du signal de la députée de la circonscription (2005), sensible aux questions concernant l’environnement, qui a déclenché ces études pilotes scientifiques sur le cumul des expositions (effet cocktail) et l’évaluation de l’impact sanitaire. Le projet était également soutenu par l’ADEME.
L’implication des élus du secteur a permis aux champlanais d’être entendus et pris en considération
Les mobilisations des citoyens peuvent attirer l’attention des médias et donc provoquer une réponse de la part des pouvoirs publics. Cependant, c’est les élus du secteur qui constituent les relais les plus efficaces et qui disposent de l’autorité pour déclencher une action d’envergure. Un élu en particulier prête attention aux craintes des Champlanais : la députée de la 4ème circonscription de l’Essonne, particulièrement sensible aux préoccupations environnementales, prend le dossier en main.
Projet d’une nouvelle la station d’épuration (une autre source de nuisance) dans une zone préservée (sud).
Champlan a l’image d’un village encerclé et morcelé ;
Présences d’une association dont le président, élu municipal, est très actif (député spécialisé dans les questions environnementales) ;
1/La prise en charge du signal par la députée de la circonscription suite à la mobilisation des citoyens pouvant attirer l’attention des médias.
2/ L’encerclement de la commune par des équipements tels que des lignes HT, le RER, l’incinérateur...
3/ Le projet au sud d’une step alors que celui-ci est relativement non-exposé.
Les éléments qui ont permis aux Champlanis d’être entendus sont :
1) le fait de l’existence d’un comité de défense créé en 1973 contre les nuisances collectives, lequel mène de nombreuses actions auprès du Conseil Général et des équipements,
2) la mobilisation des citoyens qui attire l’attention des médias et donc provoque une réponse politique => la députée de la circonscription prend le dossier en main.
Les elus locaux sont des relais efficaces au près des autorités. C’est la député de l’Essone qui a finalement fait parvenir les plaintes du collectif
Les champlanais habitués à se mobiliser pour chaque nouvel équipement introduit pour mener diverses actions à travers la municipalité et l’Association de défense de Champlan .Ces mobilisations ont attirées l’attention de la presse et à permis la prise en considération du cas de Champlan.
c’est l’élus du secteur (député) qui a pris en charge les questions de l’environnement.
L’élément déclencheur c’est avant tout l’esprit d’équipe pour « la lutte contre l’ennemi extérieur commun qui impose aux riverains une dégradation de leur environnement ». En effet, Champlan est soumis aux nuisances d’origine et de nature diverses que les scientifiques ont qualifié de « multi-exposition ». D’où la création en 1973 du Comité de défense contre les nuisances collectives, qui mènera les actions auprès du Conseil Général et des équipementiers (mobilisant mairie, collectif et riverains contre l’arrivée de nouvelles infrastructures). Leur président est intégré au conseil municipal. La commune apparaît objectivement encerclée, d’où aussi la signature d’une pétition pour montrer le désaccord sur le cumul des équipements, interpeller les élus et l’Etat sur l’effet « cocktail » des émissions sur la santé.
Toutefois, c’est des élus du secteur que serait venu le relai efficace qui poussera l’autorité à déclencher une action d’envergure. Le collectif avait réussi à convaincre la députée de l’Essonne de l’époque, Nathalie Kosciusko-Morizet qui, devenue Secrétaire d’Etat à l’Ecologie, va sollicites l’ADEME, qui acceptera en 2005 de prendre le dossier en charge.
La mobilisation des citoyens pour attirer les médias a permis de provoquer une réponse de la part des pouvoirs publics. Par ailleurs, le projet d’installation de la station d’épuration et la crainte des émissions malodorantes a contribué à son intensité.
ce qui permis aux champlanais d’être entendu, c’est d’abord les médias. ensuit l’affaire était pris en mains par les élus.
L’élément déclencheur fut le projet d’une nouvelle station d’épuration. ce qui leur a permis d’être entendu est :
le fait de s’organiser en une association locale soudée.
le rôle joué par le comité de défense dans la mobilisation.
la prise en charge politique par une députée spécialiste des questions de l’environnement.
Les mobilisations des champlanais ont attiré l’attention des médias et donc provoqué une réponse de la part des pouvoirs. Cependant ce sont les élus du secteur qui constituent les relais les plus efficaces et qui disposent de l’autorité pour déclencher une action d’envergure. Un élu prête attention aux craintes des Champlanais, la députée de la 4ème circonscription de l’Esonne, particulièrement sensible aux préoccupations environnementales, prend le dossier en main. Elle reçoit l’organisation et organise une réunion en mairie associant les acteurs locaux et l’Ademe. La députe souhaitait que Champlain constitue ainsi un laboratoire d’une démarche exemplaire visant à étudier l’impact des pollutions qui affectent a des degrés divers les populations des grandes agglomérations. L’Ademe (L’Agence de l’environnement et de la maitrise de l’énergie) est alors chargée de conduire un programme d’évaluation sur ce territoire.
la création d un comité de défense contre les nuisances,mobilisation et solidarité des citoyens aussi une anxiété les médias et pour pousser les choses plus loin l une des députée a pris le dossier en main
L’élément déclencheur est la décision d’implanter un nouvel équipement notamment la station d’épuration qui a contribué à l’intensité de la mobilisation par craintes d’émissions malodorantes qu’on lui attribue. Trois facteurs expliquent la mobilisation générale :
les règles politiques jusque là partagées sont remises en cause par l’intercommunalité ;
le village est morcelé et encerclé par les équipements ;
les champlanais ont des ressources pour se mobiliser.
La rencontre entre un comité de défense contre les nuisances particulièrement mobilisé face à la multiplication des projets polluants et une député sensible à ces questions et prête à soutenir leurs revendications dans un contexte de médiatisation.
ce qui a permis aux champlanais d’etre entendus et pris en considération sont :
les marches
les pétitions
les écrits des journaux.