Pourquoi la demande sociale a émergé dans cette commune et non dans les communes limitrophes à peine moins exposées ?
La mobilisation sociale
Réponse proposée :
Vivre à Champlan est un choix de vie pour les résidents (familles résidant depuis longtemps, ou familles à revenus modeste travaillant à proximité).
Ceux qui supportent le bruit des avions et qui restent sont ceux qui ont les ressources de le faire (une vie sociale riche) et trouvent une satisfaction résidentielle
Mobilisation contre le projet de STEP dans le seul endroit préservé au Sud
Les Champlanais puisent dans leurs ressources notamment sociales pour défendre leur cadre de vie.
Les facteurs influençant le niveau d’inquiétudes
Pourquoi la demande sociale a émergé dans cette commune et non dans les communes limitrophes à peine moins exposées ?
La demande sociale a émergé dans cette commune et non dans les communes limitrophes à peine moins exposées pour des raisons suivantes :
- la remise en cause des règles politiques
- le présentation de l’encerclement du village à la population
- les ressources du comité de défense
- les appréhensions et les inquiétudes de la population à la complexité de la multi-exposition
- l’installation de la station d’épuration avec "ses odeurs" qu’elle peut dégager.
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Champlan a gardé son caractère champêtre et demeure un village contrairement aux communes environnantes. Champlan attire une population qui veut échapper à la Capitale Paris mais souhaite garder les avantages de l’agglomération parisienne. Il s’agit alors d’un refuge pour ces parisiens...
La demande sociale a émergé dans cette commune pour plusieurs raisons :
La vie communautaire et associative des Champlanais qui discutent de leurs problèmes (santé, pollutions…) dans un cadre organisé.
Les champlanais se voyaient encerclés de nuisances et d’autres qui vont s’ajouter (station d’épuration) ceci leur donne l’impression de ne plus contrôler et maitriser leur cadre de vie.
le lien qu’ils font entre les sources de pollution et leur santé (sources d’inquiétude).
1. Présentation de l’encerclement du village à la population par des sources de pollution.
2. Installation d’un nouvel équipement ( station d’épuration) par crainte des émissions attribuées à ce type d’installation en plus des souces polluantes existantes
Historiquement le comité de défense avait déjà l’habitude d’évaluer les nouveaux projet sur la commune et de donner son avis au nom des habitants : donc une représentativité et une mobilisation des habitants déjà en place ; de plus là il dresse la cartographie des nuisances ce qui accentue la prise de conscience des habitants.
Ensuite le projet de station d’épuration joue le rôle de déclencheur (la goutte d’eau en trop) , d’autant que les décisions sont maintenant prises à plus haut niveau (syndicat d’assainissemtn etc ) ce qui provoque un mécontentement.
Enfin le signal sanitaire est parfaitement relayé par la député qui provoque une première réunion publique avec l’ADEME et les habitants et le comité de défense et charge l’ADEME de diriger l’étude sanitaire. Donc la demande sociale émerge et est reconnnue.
la demande sociale a émergé car une étude d Airparif a montré des niveaux élèvés de pollution atmosphérique sur Champlan en plus de l’étude qui est en cours en vue de l’installation d’une station d’épuration au sud de Champlan.
C’est la conjonction de plusieurs particularités locales qui a conduit à l’émergence d’une demande sociale à Champlan :
l’attachement fort au cadre de vie rural, commun à une grande partie des villageois sans doute plus soucieux que la moyenne des questions d’environnement,
à l’échelle d’un village, avec des liens sociaux plus fort que dans des agglomérations de taille plus importante, la mobilisation est plus aisée et la circulation de l’information facilitée,
une certaine "tradition" d’action menées lors des installations successives d’équipements polluants sur la commune (le comité de défense contre les nuisances existe depuis 1973),
dans le même ordre d’idées, le dynamisme et l’efficacité particulière de ce comité et de son président, et la bonne collaboration avec les élus locaux.
Champlan montre un double visage : une partie préservée au sud qui, le bruit et la visibilité des avions mis à part, pourrait laisser penser que le village est situé en zone rurale bien loin de la capitale et une autre partie encerclée par des équipements dont la fréquence a crû particulièrement ces 2 dernières décennies. Il s’agit d’un village qui offre, du fait du plan d’exposition au bruit d’Orly interdisant la construction sur la moitié de la commune, non seulement une certaine qualité de vie mais également des liens interpersonnels étroits. La décote immobilière offre cette qualité de vie sociale de village à proximité de Paris. Pourtant l’inquiétude sanitaire s’exprime plus ici que dans les communes voisines parce que outre le fait que ces nuisances soient objectivement élevées dans certains quartiers, ses habitants ont pu affirmer un choix de vie en venant s’y installer. L’habitat est donc constitutif de leur identité. Champlan est pilote parce qu’il symbolise à beaucoup de points de vue un espace politique au cœur duquel se construisent l’idée et les représentations de la santé environnementale.
La commune de Champlan reste une des villages champêtres à proximité de Paris. Les riches demeures qui y situent et le fait que la population cherche le calme tout en restant à proximité de la capitale prouvent que la population est généralement aisée et recherche une certaine qualité de vie. D’où leur possibilité d’engager ces études scientifiques.
La demande sociale a émergé parce que :
1- Les habitants de Champlan conservent dans leur esprit le portrait d’une commune à caractéristique champêtre, cet esprit est présent même au niveau de la municipalité (La municipalité revendique le slogan Champlan, pré de Paris). Dans leur esprit, Champlan devrait être protégé des niveauX élevés de pollution des agglomérations urbaines. Les communes limitrophes n’ont pas gardé le caractéristique villageois et fort probablement les habitants n’ont pas la même perception de la pollution que les Champlanais.
2- La présence des équipements lourds, la volonté d’installer une station d’épurationl’étude de Airparif au-dessus de Champlan complété par celle du conseil régional qui ont constaté des nibeaux de pollution élevés au-dessus de Champlan. Tout cela ayant engendré la mobilisation des Champlanais reliée par les médias et entendue par la Députée de la circonscription.
3- Vient ensuite la prise en charge du signal par la Députée de la circonscription.
C’est le risque d’une nuisance supplémentaire avec le projet d’une nouvelle station d’épuration avec des prises de décisions non plus au niveau communal mais au niveau de regroupement de communes qui a déclenché la demande de la part des habitants. La demande à pu émerger à Champlan grâce à l’existence depuis de nombreuses années d’une association de défense des habitants et au coté « village » avec ces relations sociales
la demande sociale a émergé dans cette commune par ce qu’elle est placée à l’entrée de la ville de paris et avec ses problèmes de nuisances et son caractère champêtre,elle donne autre vision à celui vue paris.
On pourrait presque appelé ça un "effet seuil". Le niveau de tolérance des habitants a été dépassé lors de l’annonce du projet de construction de station d’épuration dans une zone plutôt préservée du village.
Cette annonce combinée avec le lancement de l’étude d’Airparif a déclenché la mobilisation.
De plus, l’existence de longue date d’un comité de défense essayant de préserver l’intérêt du village montre une sensibilisation ancienne des habitants contre la multi-exposition aux nuisances.
l’ émergence social dans champlan est le resultat de leur pris de conscience et de leur mobilisation social qui intégre tout les acteurs de developpement ( LA MAIRIE,LES ELUS DU PEUPLE)
la demande sociale a émergé dans cette commune du fait :
de l’étude Airparif de 2004
du projet de station d’épuration
du changement de règles du jeu politique dans la commune (intercommunalité croissante versus association villageoise militante)
la demande sociale a émergé dans ce quartier parce que non seulement c’est un petit village (2500 ames) mais vu tous les effets de pollutions auxquels il est exposé n’est pas comparable aux autres localités
Il y a beaucoup de demande sociale dans cette localité car malgré les antécédents de la commune des avantages sont présent sur place : terre agricole, jardins, immense terrains non constructible qui donne un coût immobilier avantageux sans oublier l’intégration de la commune dans l’agglomération parisienne profitant ainsi des services fournis par cette derniere.
La demande sociale a émergé à Champlan et non dans les communes limitrophes à peine moins exposées comme Villeneuve-le-Roi par exemple à cause de la spécificité de ce village, marqué par (i) des liens interpersonnels relativement étroits, (ii) l’intégration sociale des habitants, (iii) une meilleure qualité de vie (présence de parcs et jardins attenants à des maisons individuelles), (iv) le sentiment identitaire qui caractérise les habitants, (v) les ressources détenues par les habitants par comparaison avec les communes voisines. Ces caractéristiques permettent à des groupes sociaux, aux représentations hétérogènes de se retrouver autour d’une histoire et d’une revendication commune.
extraits 1 2 3 ces personnes ont un comportement de résignation
extraits 4 5 6 ces personnes s’adaptent à la situation qui prévaut
extrait 7 cette personne pense réagir et se faire entendre
village historique:c’est un lieu de villégiature. son caractère champêtre. le village sert de refuge aux populations qui veulent échapper à la ville.
La demande sociale a émergé à Champlan pour les trois raisons majeures suivantes :
1/ La remise en cause des règles politiques : Du fait que les autorités (maire) de Champlan ainsi que l’association des habitants actifs aient vu leur pouvoir de prise de décision quant au bien être des Champlanais décliné du fait de la nécessité de tenir compte de l’avis des partenaires extérieurs puissants dont les décisions et intérêts peuvent contraster avec les intérêts de champlanais et donc à terme dégrader le cadre de vie des champlanais.
2/ La présentation de l’encerclement du Village à la population : la réalisation de la cartographie de Champlan par l’étude d’Ademe sous l’impulsion de l’association et de la mairie de Champlan qui a révélé l’encerclement du village par des sources de pollution diverses et le caractère anxiogène lié au potentiel effet cocktail de ces sources de pollution sur la santé des populations.
3/Les ressources du comité de défense : enfin, la mobilisation des champlanais pour protéger leur environnement à travers la capacité du comité de défense à diffuser l’information à tous les champlanais
La demande sociale a émergé dans cette commune, car elle subit plusieurs nuissances et pollution de natures diverses.
En effet, la communne est à 2 km des pistes de l’axe des couloirs arériens de l’aéroport de orly et sur l’autoroute A. 10, A. 6 et sur la nationale 20. Dans le village, on y observe une usine d’incinération d’ordure ménagères et des lignes de hautes tenssions passant à quelques métres de certaines habitations.
Il y adonc une prise de consience des populations face à l’ampleur des risques dans leur espace qu’il considére comme « la zone la plus polluée de l’agglomération parisienne, la poubelle de l’Île de France »
La demande social a emergé à Champlan à cause principalement de la publication des resultats de l’étude de AIRPARIF et du projet d’implantation de la station d’épuration.
La demande sociale a émergé à Champlan pour 3 raisons :
1. les décisions d’équipements sont décidées par des instances externes au village et
2. Deuxièmement parce que les Champlanais ont l’habitude de se mobiliser contre toute source nouvelle de nuisance dans le but de protéger leur environnement ;
3. troisièmement à cause du nouvel projet d’installation de la station d’épuration.
Tout se passe comme si avec la nouvelle station d’épuration, l’effort marginal à fournir par les habitants à supporter les nuisances supplémentaires est supérieur aux avantages marginaux.
Le fait que Champlan soit encerclés par sources de pollutions ou de nuisances a été un facteur déclencheur de cette demande sociale. Aussi les inquiétudes sanitaires ont connues leur confirmation dans le rapport d’étude d’Airparif qui a souligné des niveaux de pollutions éleves autour de la zone de Champlan.
La demande a émergé pour diverses raisons :
1) Ils se sont organisés en collectif pour la défense de leur intérêt, en faisant circonscrire toute la zone et les installation déjà en place.
2) l’étude menée par airparif a montré des résultats en leur faveur.
3) La député de l’essone a aussi joué un rôle non négligeable.
4) On peut ajouter à tout ceci le projet d’implantation de la station d’épuration dans l’espace (le seul qui leur était encore réservé)
La demande sociale a emmergé dans cette commune à cause de la multitude des nuisances et pollutions qui ont fini par faire peur aux habitants qui pensent que leur village peut constituer une bombe à retardement.
Parce qu’une partie des décisions concernant Champlan est désormais prise par des partenaires plus puissants avec qui le conseil municipal doit négocier.
la demande sociale a émergé dans cette commune par rapport aux autres à cause de l’image que donnent les médias de ce village, et des résultats d’études( l’étude d’Airparif en 2004 sur la qualité de l’air, qui a montré que le niveau de pollution atmosphérique de champlan dépasse largement les seuils). la deuxième raison de cette demande est le projet d’implantation d’une station d’épuration dans le village qui a interpeller les villageois sur la nécessité d’agir pour arrêter, et dénoncer l’effet cocktail que pourrait avoir toutes ces installations( aéroport, trafic routier, lignes hautes et moyennes tensions, incinérateurs etc.) sur la santé des populations.
la demande sociale a émergé avec l’étude Airparif qui a montré un niveau élevé de pollution atmosphérique sur Champlan dépassant ceux de Paris et un projet de d’installation de station d’épuration dans la zone encore préservée.
Il faut noter aussi la cartographie des installations entourant Champlan
Champlan conserve aujourd’hui un caractère champêtre du fait de la proportion importante de terrains non constructibles et des maisons villageoises qui constituent le cœur du village.Champlan attire notamment des familles à revenus modestes des villes voisines qui souhaitent quitter leur logement collectif
Champlan conserve aujourd’hui un caractère champêtre du fait de la proportion importante de terrains non constructibles et des maisons villageoises qui constituent le cœur du village.Champlan attire notamment des familles à revenus modestes des villes voisines qui souhaitent quitter leur logement collectif.Les populations voulaient echapper à la capitale et garder les avantages de l’agglomeration parienne.
La demande sociale a émergé à Champlan et non dans les communes limitrophes à peine moins exposées comme Villeneuve-le-Roi par exemple à cause de la spécificité de ce village, marqué par :
des liens interpersonnels relativement fort et étroits,
- l’intégration sociale des habitants entre les habitants,
- la qualité de vie dans le village(présence de parcs et jardins attenants à des maisons individuelles), - le sentiment identitaire qui caractérise les habitants,
les atouts dans le village en comparaison aux les communes voisines.
Ceux sont ces caractéristiques permettent à des groupes sociaux, aux représentations hétérogènes de se retrouver autour d’une histoire commune pour faire des revendications communes.
elles ont emergées car les régles politiques avaient été remise en cause par l’intercommunalité, par l’etablissement de la carte du village paqui le montrait,qu’il etait encerclé par des équipements lourds et enfin par la prise de conscience des populations qu’ils devaient agir pour protéger leur environnement
A cause de la prise de conscience des habitants, sous la conduite éclairée d’un élu
Les habitants ont pris conscience de l’encerclement de leur commune par les divers équipements sources de nuisances et pollutions.
Par ailleurs, il existe visiblement une tradition de mobilisation dans cette commune (association de riverains) et dans laquelle les habitants ont une habitude de concertation avec les élus locaux. Cette dernière s’est vue mise à mal par l’intercommunalité, avec donc une possible perte d’indépendance quant aux décisions relatives à la commune.
— > réaction de la population : association de riverains mais également élus locaux
Les personnes qui vivent à Champlan ont choisi d’y vivre. Ils sont habitués à la vie de cette ville et préfèreraient que les effets de la pollution soient atténués que de la quitter.
La présence d’une association dirigée par un président, élu municipal, très impliqué et qui mène de front, dès 2004, plusieurs actions auprès des élus du département, de la région, des services de l’État ainsi que des ministères. De plus, le rapport de 2003 d’Airparif cite Champlan un zone expose aux seuils élevés des polluants. Troisieme chose, l’habitat est constitutif de leur identité : leur choix de vivre est de s’installer a Champlan et de preserver leur mode de vie.
La demande sociale a émergé dans cette commune parceque la population s’est organisée en creant un comité de defense qui a joué un role important dans la mobilisations des parties prenantes. le comité a fait un travail de recessement des infrastructures et pose le probleme de l’impact sanitaire suite aux etudes et aux projets d’investissements planifiés. Il a engagé des actions (petition, mobilisation...) qui ont été suivies par la population et attiré les medias dont l’action a interpelé les pouvoirs publics. ainsi les élus se sont saisis du dossiers.
Depuis les années 60-70 on assiste à l’implantation d’équipements autorisés lourds sur un territoire relativement restreint(Champlan). Ceux-ci sont à l’origine d’émissions de polluants et de nuisances diverses
Il existait à Champlan une association de défense contre les nuisances ; dont la municipalité est partie prenante. Cette association a établi une cartographie qui a fait prendre conscience aux habitants de l’encerclement du village par les nuisances. La petite taille du village où les gens se connaissent, sont solidaires et dialoguent est plus propice que les communes voisines plus grosses et plus impersonnelles, à la circulation de l’information, aux discussions de voisinage sur le sujet et finalement à l’émergence d’une demande sociale de la sorte.
La demande sociale a émergé à Champlan mais pas dans les communes limitrophes tout d’abord parce que, Champlan montre un double visage : une partie préservée et une autre encerclée par les équipements dont la fréquentation a augmentée particulièrement les deux dernières décennies. Ensuite, les habitants de Champlan se retrouvent autours de l’acceptation d’Orly (vision, audition, odeurs des avions) car celles-ci fonde la base de leurs présences dans le village. En outre le fait que ces nuisances sont objectivement élevées dans certains quartiers, ses habitants ont pu affirmer un choix de vie en venant s’y installer. L’habitat est constitutif de leur identité : le fait de vivre là, même pour ceux qui y sont nés, témoigne, en le renvoyant aux habitants, du fait qu’ils disposent de certaines ressources. Celles-ci sont également mobilisables pour construire et soutenir leurs revendications ou leurs plaintes. Ainsi, la spécificité du village - liens interpersonnelles, intégration sociale, qualité de vie, phénomènes identitaires, ressources détenues par les habitants en comparaison avec les communes voisines – permet à des groupes sociaux, aux représentations hétérogènes, de se retrouver autours d’une histoire et d’une représentation commune pendant le temps de la mobilisation. Les Champlanais ont des ressources pour se mobiliser L’information circule dans les réseaux sociaux et les riverains ont l’habitude de se mobiliser pour protéger leur environnement. D’autres facteurs tels que en premier lieu, la présence d’une association dirigée par un président, élu municipal, très impliqué et qui mène de front, dès 2004, plusieurs actions auprès des élus du département, de la région, des services de l’État ainsi que des ministères - en deuxième lieu, des résultats de l’étude de la qualité de l’air autour des plates-formes aéroportuaires faite par l’Association agréée de surveillance de la qualité de l’air en Ile-de-France (Airparif) fait apparaître Champlan dans les cartes globales parmi les zones montrant un excès de pollution. Ces éléments ont suffit, et c’est le troisième point, à la députée de la circonscription, qui a choisi l’environnement puis la santé environnementale comme positionnement professionnel et politique, pour s’occuper politiquement de ce cas.
La demande sociale a émergé dans cette commune et non dans les communes limitrophes dans la mesure ou Champlan montre un double visage : une partie préservée du bruit et la visibilité des avions laisse penser que le village est situé en zone rurale bien loin de la capitale, et une autre, encerclée par des équipements dont la fréquentation a crû particulièrement les deux dernières décennies. Ainsi du fait de l’exposition au bruit (aéroport d’Orly) Il est interdit toute construction sur la moitié de la commune ce qui offre une certaine qualité de vie (parcs et jardins attenants à des maisons individuelles) mais également des liens interpersonnels relativement étroits. Tout ceci fait que le populations en connaissance de cause acceptent d’y vivre.
La demande sociale a émergé dans cette commune et non dans les communes limitrophes à peine moins exposées pour des raisons suivantes : - la remise en cause des politiques gouvernementales - l - l’éxistence du comité de défense - les appréhensions et les inquiétudes de la population à la complexité de la multi-exposition - l’installation de la station d’épuration avec "ses odeurs" qu’elle peut dégager. ’
Le role actif du comité de defense dans la mobilisation des champlanais a du influer sur la demande sociale .
Cela est du à une conjonction de facteurs :
la réforme de l’intercommunalité qui dépossède le village de ses prérogatives en matière de gestion des sites "à risque" et suscite des tensions au sein du conseil municipal
la mobilisation de l’association de défense qui a su créer une prise de conscience chez les habitants
la nature du nouvel équipement (station d’épuration) qui suscite des inquiétudes fortes
champlan veut toujours garder son caractère de village champêtre.c’est pourquoi il se mobilise pour cet objectif en luttant contre les nuisances,
La demande sociale a émergée dans cette commune et non dans les communes limitrophes car la suite des effets de la pollution, il y a eu une baisse du coût de l’immobilier. Ce qui a été très avantageux et le maintien de terrains boisés, parcs, jardins attenant aux maisons, terres agricoles.
Il y a aussi le fait que les recettes fiscales qui en découlent de l’installation des sociétés sont redistribuées sous forme d’équipements collectifs dont bénéficient tous les rivérains (écoles, logements sociaux et équipements sportifs et culturels et les relations sociales (marchés, entraide...).
Cet aspect est justifié par la phrase : "Nous ne sommes plus voisins, c’est la famille. On prend des repas ensembles, on discute ensemble. Quand ils partent, je garde la maison, les enfants ont grandis ensemble
La demande sociale a émergé dans cette commune car l’encerclement du vilage par des équipements collectifs lourds et le projet d’implantation de station d’épuration, tous "potentielles sources de pollution" est devenu inquiétant pour le Comité de défense contre les nuisances collectives
La demande sociale a émergé à cause du coût relativement flateur des terres.
En effet, les nuisances de l’aéroport sont ici contrebalancées par des avantages et une certaine qualité de vie. Aujourd’hui encore, Champlan attire notamment des familles à revenus modestes des villes voisines qui souhaitent quitter leur logement collectif.
« Tout le monde reste pour la même raison, on ne peut trouver la même chose ailleurs au même prix »
La demande sociale a émergé dans cette commune parce qu’il ya eu création d’un comité de défense dans la mobilisation des Champlanais pour faire entendre leurs plaintes ou arguments et jusqu’en 2000 mairie, collectif et riverains se mobilisent de concert contre l’arrivée de nouvelles infrastructures.
champlan veut toujours garder son caractère de village champêtre.c’est pourquoi il se mobilise pour cet objectif en luttant contre les nuisances,
La demande sociale a émergé spécifiquement dans cette commune du fait de :
• Un fort sentiment collectif d’appartenance, construit autour d’un projet commun de vie à Champlan : vivre dans un cadre « rural » à proximité de Paris avec une qualité de vie sociale de village avec en contrepartie l’acceptation des nuisances de l’aéroport d’Orly
• La remise en cause de ce choix par l’extérieur (stigmatisation), ramenant ainsi à la conscience des habitants leur choix, augmentant le stress autour des questions de santé environnementales locales (présentation de l’encerclement du village à la population), mais aussi le sentiment collectif d’appartenance
• La structuration autour d’un comité de défense aux ressources importantes
Champlan a surtout gardé son statut de village à vocation agricole, contrairement aux communes environnantes. Ses habitant ont fait le choix de cette vie, par amour à la localité, et pour défendre les interets sociaux. Mais il faut noter que pour supporter les nuisances ils sont obligés de beaucoup ’investir dans les équipements.
Ici la demande sociale a émergé car les habitants de Champlan avaient fondé de multiples raisons de rester à champlan ; Les Champlanais pour leur majorité ont un projet de vie positif dans cette commune (ils y résident depuis très longtemps pour certains et pour d’autres le lieu de travail est à proximité). La solidarité qui est née entre les habitants de Champlan était forte (sentiment de fraternité à l’égard des autres riverains).
Le niveau de pollution est beaucoup plus elevé et en plus il y a une forte mobilisation de l ensemble des acteurs du village
la demande sociale a émergé dans cette commune et non dans les communes limitrophes à peine moins exposées parce que il y avait des représentants du peuple dont leur voix peut etre entendue par rapport à d’autres qui ont contribué dans la dénonciation des nuisances dans la Commune
La demande sociale a émergé à Champlan et non dans les autres communes limitrophes à peine moins exposé pour plusieurs raisons
La remise en cause des règles politiques par l’intercommunalité
Les Champlanais ont des ressources pour se mobiliser
L’habitude de la population à se mobiliser pour les causes de leur commune
La circulation de la l’information à travers la "lettre d’information" et le site internet de la commune
Les habitants de Champlan ont en commun :
d’avoir accepté la présence de l’aéroport en raison des compensations apportées ;
de considérer qu’un ennemi extérieur commun (décideurs institutionnels désormais aidés par l’intercommunalité) a peu à peu dégradé leur environnement en encerclant leur village de structures polluantes.
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Cela a peu à peu créé des liens très forts dans cette communauté où les relations sociales sont développées et les ressources importantes, notamment grâce au comité de défense, ce qui favorise des prises de position et des revendications communes, plus que dans les cités alentour.
La demande sociale a emergé sans cette commune pour 3 raisons :
la remise en cause des règles politiques par l’intercommunalité".
les associations montrent que Champlan est encerclé et morcelé par les équipements
les champlanais ont des ressources pour se mobiliser et l’information circule rapidement , les riverains ont l’habitude de se mobiliser pour protéger leur environnement.
Parce que ce village de 2500 habitants reste une commune rurale ou la vie est plaisante. Les autres communes limitrophes, ne sont plus de petits villages : Leur population a augmentÉ et elles sont devenues des villes.
L’ inquetude que cette vue pittoresque du village change et que la vie ne serait plus agreable, a fait les habitants de mobiliser.
La demande sociale a émérgé dans cette commune, car pour les habitants c’est un choix d’y vivre malgré les nuisances, contrairement aux populations des communes limitrophes, par contre dès que les décisions d’implantations n’étaent plus prises de manière concertée entre les populations et leurs représentants, mais imposées, la demane sociale a émérgé.
La mobilisation sociale peut être expliquées par trois points : 1) la mise en cause des règles politiques encore partagées par l’intercommunalité. 2) la prise de conscience des Champlanais de l’impact sanitaire des équipements et infrastructure entourant leur commune. 3) les Champlanais ont des ressources pour se mobiliser.
La demande sociale a émergé à la suite d’un changement d’organisation politique, il y a eu un ressenti de décision imposée et non plus choisi par les élus de la commune.
Le village Champlan a ete erige comme site pilote pour etudier l’exposition des populations a differents sources d’exposition des nuissances lourds et des effets cocktails.des etudes d’environnement et de sante environmental a eu lieu par des comites sanitaires , d’autres d’epildemologie et de sociologie pour analyser le context politique, institutionel et social et d’autre part pour analyser et determiner les inquietudes sanitaires.Champlan a ete emerge dans cette demande et non pas les communes moins exposees parceque Champlan est un village pres de Paris avec une certaine qualite de vie et des liens qui depends les gens de supporter les nuissances, constitue une règle partagée des habitants et constitutive de leur particularité. Il fournit une référence à l’effort auquel chaque famille est prête à consentir face à une éventuelle dégradation de l’environnement.et l’inquietude s’exprime a Champlan et non pas dans les communes voisines parce que les habitants disposent de ressources pour construire et soutenir leurs plainteset ont fourni des comites de defense pour faire entendre leurs plaintes ou arguments.en meme temps la mobilisation des habitants a attire l’attention des media
Pour 3 raisons essentiellement :
La présence effective de diverses sources de pollutions dans une zone réduite.
Le fait que ses habitants sont plus mobilisés sur les aspects environnementaux notamment avec une association de défense de l’environnement mené par des élus de leur village.
Enfin le projet de station d’épuration qui a pu s’apparenter à la "goutte d’eau qui fait déborder le vase".
la demande sociale a emergé dans cette commune pour trois raisons :
1- Les règles politiques jusque là partagées sont remises en cause par l’« intercommunalité ». Lorsque le syndicat pour l’assainissement des eaux usées décide d’implanter le nouveau projet de station d’épuration dans le sud de Champlan, la municipalité ne peut s’y opposer et des tensions apparaissent au sein du conseil municipal qui reproche que les nuisances soient encore subies par les Champlanais.
2- L’association montre que le village est encerclé et morcelé par les équipements
3- Les Champlanais ont des ressources pour se mobiliser L’information circule dans les réseaux sociaux et les riverains ont l’habitude de se mobiliser pour protéger leur environnement.
Enfin, la nature du nouvel équipement envisagé (station d’épuration) a pu contribuer à l’intensité de la mobilisation, par craintes des émissions malodorantes attribuées à ce type d’installation..
c’est à cause de la force du comité de défense et du projet d’installation de la station de traitement des eaux usées
Implantation d’un nouveau projet de station d’épuration a été le premier facteur déclencheur. Il ya aussi l’impact visuel des multiples facteurs de risque à plus suscité le soulèvement de la population que les facteurs réels d’exposition.
La demande sociale à émerger dans cette localité car les habitants se sont réunis autour d’un objectif commun, ce qui à impliqué les élus locaux qui ont, appuyé leur demande.
La demande sociale a émérgé suite à :
1. une étude d’ Airparif autour d’Orly qui montrait des niveaux élévés de pollution atmosphérique sur Champlan
2. une évaluation autour des axes routiers demandée par le Conseil Général de l’ Essone qui confirmait une exposition à niveau éléve pour les habitants de Champlan vivant auprès des axes routiers
3. un projet d’implantation de station d’épuration au sud du village,
informations qui ont alarmé le Comité de Défense du village sur l’impact sanitaire.
La demande sociale a émergé de Champlan car c’est là qu’il y a eu le projet d’implantation d’épuration et qui a permis de déclencher cette mobilisation avec les résultats de l’étude d’Airparif 2004.
Trois raisons majeure expliquent cela :
1- Les nouveaux équipements (station d’épuration) décidés par des instances extérieures au village (Aéroport de Paris, EDF…) à contribuer fortement à la mobilisation des populations de champlan. Ceci par crainte des émissions malodorantes associé à ce type d’installation.
2- Le fait que les champlanais ont pris de conscience de l’impact sanitaire du au trafic de transit, du village.
3- Suite à cette prise de conscience l’information à circuler dans les réseaux sociaux, contribuant donc à une grande mobilisation pour la protection de leur environnement.
Parcequ’il y a prise de conscience collective des effets nocifs de la pollution sonore et de toute façon l’exposition est plus forte ici qu’ailleurs.
La demande sociale a émergé à Champlan du fait du projet d’une station d’épuration que les habitants de Champlan ont perçu comme la goutte d’eau, comme la nuisance potentielle de trop. De plus le caractère champêtre de la commune laisse présager une certaine qualité de vie, il y a un profond décalage entre l’image de la commune et les conditions de vie des habitants.
La demande sociale a émergé à Champlan suite à la forte mobilisation des populations. La création d’un comité de défense a été un poids pour se faire entendre.
Elle a emergé suite à la pression des médias,au comité de defense contre les nuisances collectives,mais egalement car les champlanais echangent des informations et de leur etat d’anxiété et de leur solidarité.
La demande sociale a émergé de Champlan parcequ’il existe :
1-l’integration des structures intercommunales à la prise de decision politique ;
2-des inquiétudes des habitants sur les impacts sanitaires des equipements existant dans le village ;
3- un systeme de communication entre les habitants.
Plusieurs facteurs sont à la base de l’émergence de la demande sociale :
la remise en cause des règles politiques
l’association qui montre le village encerclé et morcelé par les équipements , qui se révèle anxiogène car elle remet en cause le visage positif du village
les habitants disposent de ressources nécessaires pour construire et soutenir leurs plaintes
la nature du nouvel équipement envisagé(station d’épuration) car émission malodorantes attribuées à ce type d’installation
Il y a 3 raisons pour lesquelles les habitants de Champlan ont réagis plus violement que leurs riverains.
1. Le nouveau projet de station d’épuration : Ce projet a été, en quelque sorte, le declancheur de la riposte sociale. Tout d’abords parce qu’il n’a pas été decidé par les villageois, mais aussi parcequ’elle se situe dans le dernier îlot preservés (le sud).Cette installation, couplé aux resultats de l’études sur la qualités de l’air à reveillé les inquiétudes sur le possible "effet coktail" de la multi exposition dû a l’encerclement de la ville en équipement classés.
2. Puis, la taille de la ville et son fort lien social : en effet, être un petit village ou tout le monde se connait facilite les échanges, le dialogue, et donc la circulation de l’information. Cette solidarité sociale a eu un effet anxiogène car chaque famille communique sur les gênes sanitaires ressenties augmentant sa crédibilité.
3. Enfin, les Champlanais ont des caractéristiques socio-économiques particulières, qui les rendent plus sensibles à leur environement.
La demande sociale a émergé dans cette commune et non dans les communes limitrophes à peine moins exposées parce que chlamplan était d’abord un village agricole où il faisait bon et qui secondairement à été exposé à différentes sources de nuisance.
La demande sociale a émergé dans cette commune pour plusieurs raisons :
• La vie communautaire et associative des Champlanais qui discutent de leurs problèmes dans un cadre organisé (le comité de défense contre les nuisances existe depuis 1973), pour garder leur cadre de vie.
• la mobilisation des champlanais contre le projet de la station d’épuration dans la seul endroit préservé.
• Le choix de vivre à Champlan pour les résidents.
Un coût immobilier avantageux et le maintien de terrains boisés, parcs, jardins attenant aux maisons, terres agricole. les maires successifs ont incité les entreprises à s’installer dans les ZAC qui, elles, pouvaient se développer. Les recettes fiscales qui en découlent sont redistribuées sous forme d’équipements collectifs dont bénéficient tous les riverains (écoles, logements sociaux, équipements sportifs et culturels). Les relations sociales sont importantes (marché, entraide, …)
La demande des riverains vers les autorités de vérifie la situation environnemental de village est commencé après l’apparition des sérieuses inquiétudes sur la qualité environnemental. Surtout après l’acquisition sur le projet de station d’épuration des eaux usé. Mais l’union des riverains via la problématique et la force d’appartenance au village à fusé l’exception des Champlanais par apport ou communes limitrophes. Ce qui est émergé par la mobilisation des riveraines faces la problématique.
L’existence d’un comité de défense dans cette commune qui interagit avec la population et lui informe des risques auxquels elle est exposé ; ainsi qu’un cumul des infractructures à risques concentrées sur un espace aussi restreint a généré plus fort qu’ailleurs ce sentiment de surexposition pour les habitants de Champlan alors que les communes limitrophes sont à peine moins exposées.
Trois facteurs expliquent la mobilisation sociale qui s’organise dès 2004
1-Les règles politiques jusque là partagées sont remises en cause par l’« intercommunalité ».
2- L’association montre que le village est encerclé et morcelé par les équipements
3- Les Champlanais ont des ressources pour se mobiliser L’information circule dans les réseaux sociaux et les riverains ont l’habitude de se mobiliser pour protéger leur environnement.
La demande sociale a émergé parce que :
Le coût immobilier est favorable dans cette commune on ne peut pas trouver la même chose ailleurs.
Les règles politiques jusque la partagées sont remises en causes par l’intercommunalité.
L’association montre que l’image de Champlan n’est pas positive,la commune est encerclée et ménacée sur sa seule partie préservée au sud de Champlan .En plus la station d’épuration va entrainer les émissions malodorantes.
La pollution est venue s’ajouter sur certains problèmes sociaux de certains riverains qui se sentent menacés par le cumul des nuisances et toute leur économie est investie dans la maison
Les mobilisations des citoyens peuvent attirer l’attention des médias et donc provoquer une réponse de la part des pouvoirs publics. Cependant, c’est les élus du secteur qui constituent les relais les plus efficaces et qui disposent de l’autorité pour déclencher une action d’envergure. Fort heureusement pour les Champlanais,l’ élu en particulier prête attention à leurs craintes : la députée de la 4ème circonscription de l’Essonne, qui était particulièrement sensible aux préoccupations environnementales, prend le dossier en main.En plus elle souhaitait que Champlan constitue ainsi un « laboratoire » d’une démarche exemplaire visant à étudier l’impact des pollutions qui affectent, à des degrés divers, les populations des grandes agglomérations (une grande ambition politique au délàs de toute chose ; sa commune doit être un modèle sur ce plan...)
Les Champlanais pour leur majorité ont un projet de vie positif dans cette commune, qui résulte d’un équilibre entre une gêne acceptée et des bénéfices trouvés en face.Trois catégories d’habitants : ceux qui ont projet de vie positif dans ce village et qui souhaitent le poursuivre ; les habitants déstabilisés par toutes ces informations inquiétantes et qui attendent des études et des réponses claires et enfin la troisième catégories d’habitants ceux qui n’ont pas le choix ceux qui ne "peuvent pas quitter le village malgré le mal être qu"elles y ressentent" .
Le nouveau projet d’installation de la station d’épuration est la goutte d’eau, la nuisance de trop.
La solidarité et l’anxiété des champlanais ont fait suite au partage d’informations sur la situation qui prévalait dans leur commune qui objectivement se trouvait encerclé par des infrastructures considérées comme dangereux à leur santé.
Il y a eu principalement deux événements qui ont précipité l’action du collectif :
Une étude d’Airparif (association de surveillance de qualité de l’air en Ile de France) parue en 2004 autour d’Orly a montré que les niveaux élevés de pollution atmosphérique sur Champlan dépassaient ceux observés au centre de Paris. Une autre évaluation demandée par le conseil général de l’Essonne autour des axes routiers a confirmé qu’à Champlan, les populations vivant auprès des axes routiers (5%) étaient exposées à des niveaux élevés de pollution.
Un projet d’implantation de station d’épuration était à l’étude au sud du village, seule zone encore préservée.
Dès lors le comité a synthétisé l’ensemble des infrastructures sur une carte, et la commune apparaissait objectivement encerclée. Le Comité a soulevé la question de l’impact sanitaire de l’ensemble de ces émissions. Les Champlanais ont échangé leurs informations, la mobilisation a généré de la solidarité mais aussi de l’anxiété.
vue que les habitants de Champlan leur offre une qualité de vie qui permet de concilier entre les avantages de la proximité de la capitale tout en échappant aux contraintes des grandes villes et l’opportunité de tisser des liens sociaux étroits .
cette demande émane du fait que ces nuisances menacent une qualité de vie voulue et choisie par les habitants.
Vivre à Champlan est un choix des habitants, ces habitants ont des recettes pour supporter les gènes génères par l’environnement ;
Il ya 3 facteurs qui expliquent la mobilisation de cette commune plutôt que les autres :
- Le projet de station d’épuration est imposé par l’intercommunalité, ce qui a dés le départ causé des tensions et des remises en cause au niveau des régles politiques, la municipalité ne pouvant s’y opposer alors que le village est déjà bien assez pollué.
La cartographie de l’association ayant été exposé et vu de tous, à fais prendre conscience de l’enjeu en cours (en terme de santé et de qualité de vie) aux villageois. "L’association montre que le village est encerclé et morcelé par les équipements."
Enfin : " Les Champlanais ont des ressources pour se mobiliser L’information circule dans les réseaux sociaux et les riverains ont l’habitude de se mobiliser pour protéger leur environnement."
Le lien entre le conseil municipal, le comité de défense, et les habitants qui allaient tous dans la même direction qui a permis de faire émerger cette demande sociale. Il n’y avait pas d’obstacle dans leurs discussions et leurs propositions d’actions auprès des autorités qu’elles soient nationales ou locales, ou lors de la lutte contre l’installation de nouveaux équipements,
Cette cohésion qui a su entendre les inquiétudes des riverains a permis l’émergence de la demande,
1. Evolution dans les règles politiques avec la nécessité de se mobiliser pour faire valoir les intérêts de Champlan dans des instances extérieures plus puissantes
2. L’identité de Champlan, une certaine solidarité et une mobilisation historique pour préserver l’environnement
3. Une prose de conscience devenue anxiogène devant une forme d’encerclement par des équipements pouvant causer des nuisances
4. Mobilisation accrue avec le projet d’un centre d’épuration, équipement mal accepté par les riverains
La demande sociale a émergé pour la simple raison que Champlan, à cause de sa proximité avec l’aéroport de Orly , et rentrant dans son plan d’exposition aux nuisances bénéficie de beaucoup d’avantages qui sont entre autres, le coût relativement abordable de l’immobilier, ce qui constitue un gros avantage pour les familles de revenus modestes.Ce sont d’ailleurs elles qui constituent la majorité de la population .Il y a aussi l’aspect champêtre avec l’avantage double des terres cultivables et de l’alimentation bio , de plus en plus prisée, contrairement aux communes limitrophes qui n’ont pas à proprement parlé un ou des espaces réservés.
Vivre à Champlan est un style de vie qui n’est pas permis à tout le monde. Ceux qui restent sont ceux qui y travaillent ou qui travaillent proche de de la commune et ont les moyens pour faire face aux différentes sortes de pollutions notamment l’effet cocktail des nuisances sur la santé.
à cause de nombreux bénéfices octroyés dans ce village.
A cause du développement des réseaux sociaux donc l’information circule plus vite et la mobilisation est plus forte.
parce que champlan a une certaine spécificité par rapport aux autres communes :
c’est un village qui a une identité très marquée et fondée justement sur la qualité de vie de ses habitants malgré la présence d’équipements potentiellement nuisibles et obtenue grace à l’un d’eux(Orly), d’où un fort attachement des populations( longévité de la présence des habitants),
ensuite, la forte médiatisation a eu pour effet de créer un sentiment de stigmatisation, une insécurité et une volonté de "restaurer" leur image, les rassurer sur la justesse de leur choix, d’où la réaction.
L’émergence de la demande sociale à Champlan a été le fruit du travail du Comité de défense qui a occupé à la fois la niche de prise de décision représentée par les commissions du conseil municipal et la niche de contestation et de mobilisation tous azimuts. Le contexte était aussi favorable car la programmation de la construction d’une STEP avait fait prendre conscience aux habitants du fait que leur village serait totalement ceinturé.par des sites sources de pollution et de nuisance.
Le niveau des inquiétudes est fortement lié au projet de vie et à la satisfaction résidentielle à Champlain (en proportion inverse).mobilisation contre le projet de STEP est un facteur déclencheur
Vivre à Champlan est un choix de vie pour les résidents (familles résidant depuis longtemps, ou familles à revenus modeste travaillant à proximité). Ceux qui supportent le bruit des avions et qui restent sont ceux qui ont les ressources de le faire (une vie sociale riche) et trouvent une satisfaction résidentielle Mobilisation contre le projet de STEP dans le seul endroit préservé au Sud Les Champlanais puisent dans leurs ressources notamment sociales pour défendre leur cadre de vie.
Vivre à Champlan est un choix de vie pour les résidents (familles résidant depuis longtemps, ou familles à revenus modeste travaillant à proximité). Ceux qui supportent le bruit des avions et qui restent sont ceux qui ont les ressources de le faire (une vie sociale riche) et trouvent une satisfaction résidentielle Mobilisation contre le projet de STEP dans le seul endroit préservé au Sud Les Champlanais puisent dans leurs ressources notamment sociales pour défendre leur cadre de vie
Les raisons qui expliqueraient pourquoi la commune de Champlan a gagné en popularité par rapport à d’autres villages sont :
la limitation des aires constructibles en raison du Plan d’Exposition au Bruit ;
une économie sociale et solidaire très développée.
La demande sociale a émergé dans cette commune en raison de la démarche originale entreprise. Il y a d’abord eu une prise de conscience du problème de pollution par les populations qui ont ensuite eu l’idée de fédérer leurs efforts en créant une association. En s’appuyant sur des études scientifiques et en échangeant les informations entre toutes les parties prenantes, le Comité de défense contre les nuisances collectives créé en 1973 a su piloter les actions pour une mobilisation solidaire.
Champlan a gardé son caractère champêtre et demeure un village contrairement aux communes environnantes. Champlan attire une population qui veut échapper à la Capitale Paris mais souhaite garder les avantages de l’agglomération parisienne. Il s’agit alors d’un refuge pour ces parisiens...
Les Champlanais se sentent satisfait de résider dans leur village et la demande sociale émerge car les habitants de la capitale y trouve refuge, habiter Champlan qui est une agglomération mieux que vivrent à Paris avec tous inconvénient de la grande ville.
Malgré les nuisances et la vulnérabilité les Champlanais préfèrent et défendent leur mode de vie.
Champlan a gardé son caractère champêtre et demeure un village contrairement aux communes environnantes. Champlan attire une population qui veut échapper à la Capitale Paris mais souhaite garder les avantages de l’agglomération parisienne. Il s’agit alors d’un refuge pour ces parisiens...
Les Champlanais se sentent satisfait de résider dans leur village et la demande sociale émerge car les habitants de la capitale y trouve refuge, habiter Champlan qui est une agglomération mieux que vivrent à Paris avec tous inconvénient de la grande ville.
Malgré les nuisances et la vulnérabilité les Champlanais préfèrent et défendent leur mode de vie.
La demande sociale a émergé dans cette commune en raison d’un de nombreux projets qui vont s’y installer ( Projet d’incinérateur, élargissement de tunnel,…) et de deux, le résultat d’une étude fait par l’Airparif qui a démontré un niveau de pollution de air bien supérieur à celui qui s’y trouve en plein centre de paris et enfin par la puissance du comité de surveillance .
La demande sociale a émergé dans cette commune et non dans les communes limitrophes du fait de l’impact de l’annonce de la construction de la station d’épuration, qui à suscité une forte mobilisation contre le projet, car les Champlanais dans leur majorité ont une image positive de leur village donc sont prêts à défendre leur cadre de vie. Ceux qui réside à Champlan ont fait leur choix par rapport aux avantages qu’ils y tirent au regard de quelques nuisances.
car avec la création du comité de défence contre les nuisances et suite à la parution d’une étude montrant que les niveau élevé de pollution atmosphérique sur Champlan dépasse Paris. En plus du projet controersé d’implantation de STEP au Champlan, le comité consate que le village paraît enercler par des sources polluantes.
Si la demande sociale a émergé dans la commune de Champlan c’est en particulier en raison de :
• La mise en cause des règles politiques ;
• La présence de l’encerclement du village à la population ;
• Les ressources du comité de défense ;
• La perte de l’équilibre entre les efforts d’accepter des nuisances et les projets de vie positive de la population par l’annonce de la construction de la station d’épuration.
Deux évènements majeurs ont pu donner naissance à la demande sociale à Champlan en 2004 :
• Airparif publie un rapport sur la qualité de l’air autour des plateformes aéroportuaires. Ce document montre que l’air à Champlan est pollué au même niveau qu’à Paris intra muros ;
• Le projet d’installation d’une nouvelle station d’épuration dans le Sud du village
D’abord les règles politiques étaient remises en cause par l’intercommunalité.Puisse l’association a montré que le village est encerclé et morcelé par les équipements puis a dressé une cartographie de ces équipements pou mettre en exergue la question de l’impact sanitaire dû au trafic de transit routier, aérien, ferroviaire et le bruit industriel. Cela a suscité une prise de conscience anxiogène pour les habitants car elle remet en cause le visage positif du village.
le lien social fort entre les Champlanais qui ont mis sur pied un comité de défense qui semble desormais être la seule force capable de défendre leur interêt depuis la nouvelle reforme administrative qui a vu naître les intercommunautés.le village se sent agressé et delaissé.mais c’est aussi le projet de construction de la nouvelle station d’épuration des eaux qui fait débordé le vase.
Ils vivent à Champlan par choix de vie. D’après l’étude sociologique les personnes qui restent sont celles qui supportent et on la capacité pour faire face aux bruits. Les habitants de ce village sont une grande famille. Ils se mobilisent contre le projet de la STEP, afin de préserver le sud du village seul endroit préservé pour le moment.
La « demande sociale » est en définitive une manifestation d’une partie des habitants relayés par une plus grand nombre concernés aussi de fait. Nombre des habitants de Champlan ont choisi d’y habiter et de conserver une auto dénomination de « ville champêtre », en comparaison positive envers les autres communes non aussi accueillantes. La dimension citoyenne est importante et met en évidence la prépondérance des communications publiques en politiques locales. La carte des pollutions, atmosphériques, magnétiques, sonores et probablement visuelles, est une mise en évidence des conséquences de décisions politiques et privées pour lesquelles les habitants pensent et revendiquent avoir le droit d’être impliqués.
Champlan est un village qui offre une certaine qualité de vie avec des liens sociaux relativement étroits. Ses caractéristiques attirent des gens qui sont prêtes à accepter le bruit des avions d’Orly parce que la décote immobilière leur offre une vie de village à proximité de Paris.
Trois facteurs sont impliqués dans la demande sociale des Champlanais :
1) L’intercommunalité : la municipalité, que jusqu’en 2000 soutenait les intérêts des citoyens et se battait avec eux, maintenant doit négocier avec des partenaires puissants en terme de décisions.
2) L’encerclage du village par les nuisances, suite à la proposition d’y installer la station d’épuration.
3) Le moyens dont les Champlanais disposent : les information circulent rapidement et provoquent une mobilisation importante.
D’une part, a proximité de l’aéroport d’Orly, procure aux Champlanais malgré le bruit et la visibilité des avions, une certaine préservation d’une grande espace de vie à proximité de Paris. (maison, jardin, liens sociaux, commodités diverses parcs et jardins attenants à des maisons individuelles) qui fait du village une zone rurale à proximité de Paris avec des liens interpersonnels relativement étroits. Ces caractéristiques attirent des populations qui sont prêtes à accepter le bruit des avions d’Orly, parce que la décote immobilière qui en découle leur offre cette qualité de vie sociale de village.
D’autre part, le village est encerclée par des équipements dont la fréquentation a crû particulièrement les deux dernières décennies.
En résumé, c’est la combinaison de l’importance de l’attachement au lieu et projet de vie à l’importance des phénomènes qui amènent les habitants à se réitérer sur leur choix de vie ou impact de l’environnement sur la santé et l’importance des ruptures dans les parcours individuels qui a fait émergé cette demande sociale par rapport aux communes limitrophes avec une même exposition.
Contrairement aux communes limitrophes (entre 18000 et 31000 habitants), Champlan est un village de 2500 habitants dont le lien social est très important, lien social qui a généré une forte mobilisation (1/3 des habitants ont signé la pétition sur le cumul des équipements) :l’élément déclencheur étant un projet d’incinérateur.
C’est la prise en charge du signal de la députée de la circonscription (2005), sensible aux questions concernant l’environnement, qui a déclenché ces études pilotes scientifiques sur le cumul des expositions (effet cocktail) et l’évaluation de l’impact sanitaire. Le projet était également soutenu par l’ADEME.
La grogne sociale a émergé dans cette commune du fait du dynamisme du comité de défense contre les nuisances collectifs, appuyé par les élus locaux du département
Champlan offre – du fait du plan d’exposition au bruit d’Orly interdisant la construction sur la moitié de la commune – non seulement une certaine qualité de vie (parcs et jardins attenants à des maisons individuelles) mais également des liens interpersonnels relativement étroits. Ces caractéristiques attirent des populations qui sont prêtes à accepter le bruit des avions d’Orly, parce que la décote immobilière qui en découle leur offre cette qualité de vie sociale de village (maison, jardin, liens sociaux, commodités diverses) à proximité de Paris.
La demande sociale a émergé dans cette commune parce que Champlan a été adopté par les habitants qui y trouvent du plaisir à vivre ; face aux multiples expositions, ils parviennent à s"adapter (le sentiment identitaire caractérise les habitants,).
Vivre à Champlan est un choix de vie par rapport aux résidents des communes voisines considérées comme polluées et stressantes. Bien qu’il existe un aéroport "Orly" à proximité du village engendrant des nuisances, pour certaines familles, celles-ci sont contrebalancées par une certaine qualité de vie (village champêtre) et avantages(coût immobilier avantageux). Ceux qui ne supportent pas cette proximité partent très vite, les autres sont plus soudés et sont comme une "grande famille". C’est pour cette raison que certaines personnes vivant à Champlan ont constitué un comité de défense pour justement empêcher que Champlan deviennent comme Paris par ex... Et donc ils se mobilisent pour empêcher d’autres projets comme La step au sud..D’où la demande sociale.
L’étude sociologique aide à mieux comprendre la mobilisation à Champlan et non dans les communes limitrophes à peine moins exposées.
Par exemple, les avions constituent une source majeure de discrimination : ceux qui ne les supportent pas partent très vite. Par contre, les habitants qui restent ont en commun d’accepter les conséquences de la proximité d’Orly. Vivre à Champlan est donc un choix de vie par opposition aux résidents des communes limitrophes considérées comme polluées et stressantes.
En conclusion, les habitants qui ont la possibilité (socialement) de rester à Champlan se mobilisent pour conserver les caractéristiques "champêtre" de leur commune.
La demande sociétale a emergée dans cette commune parceque le village offre ,du fait de l’interdiction de constructiion autour d’orly,une certaine qualité de vie siciale,attractif et aussi des liens interpersonnels très étroits.
Champlan montre un double visage :
une partie préservée qui, le bruit et la visibilité des avions mis à
part, pourrait laisser penser que le village est situé en zone rurale
bien loin de la capitale, et une autre, encerclée par des équipements
dont la fréquentation a crû particulièrement les deux dernières
décennies. Il s’agit d’un village qui offre – du fait du plan
d’exposition au bruit d’Orly interdisant la construction sur la moitié
de la commune – non seulement une certaine qualité de vie
(parcs et jardins attenants à des maisons individuelles) mais également
des liens interpersonnels relativement étroits
l’étude sociologique mentionne que les personnes qui ont des ressources supportent les nuisances restent et trouvent une satisfaction.
Champlan a été progressivement ceinturé par de nombreux équipements collectifs lourds. Ceux-ci sont à l’origine d’émissions de polluants et de nuisances diverses. D’où la mobilisation de ses habitants, inquiets des conséquences de ces pollutions sur leur santé.
Trois facteurs expliquent la demande sociale dans cette commune. En premier lieu, le fait que Champlan intègre aujourd’hui des structures intercommunales et les décisions sont prises par des structures ayant une autorité plus grande que le conseil municipal. En second lieu, les Champlanais sont mis au courant de l’encerclement du village par les équipements. Et enfin, le comité de défense contre les nuisances collectives représente des ressources importantes dans la mobilisation des habitants pour la protection de l’environnement.
la demande sociale a émergé dans la commune de Champlan car c’elle qui cumule le plus d’exposition. elle cumule tous types de nuisance présent dans la région.
Les champlanais ont créés un comité de défense contre les nuisances collectives pour faire entendre leurs plaintes ou arguments. En outre, ils échangent leurs informations et la mobilisation génère de la solidarité mais aussi de l’anxiété et en quelque sorte la révolte.
a demande sociale a émergé car une étude d Airparif a montré des niveaux élèvés de pollution atmosphérique sur Champlan en plus de l’étude qui est en cours en vue de l’installation d’une station d’épuration au sud de Champlan.
La demande sociale a émergé dans cette commune où le comité de défense contre les nuisances collectives auprès du conseil général et le développement des équipements lourds ont donné une perception que le village sera pollué. C’est ainsi qu’une députée de la 4è circonscription a pris les choses en main et des études ont été initiées avec l’ADEME. L’étude conduite par Airparif en 2004 indique le niveau de pollution atmosphérique sur Champlan dépassant ceux de Paris et un projet d’implantation de la station d’épuration au Sud du village qui est une zone encore préservée a suscité l’inquiétude chez les habitants. L’équilibre de prise de décisions politiques a été rompu. Le comité de défense synthétise l’ensemble des infrastructures envisagées sur une carte et la commune apparaît objectivement encerclée. Le comité soulève l’impact sanitaire de l’ensemble des émissions et fait signer une pétition à un tiers des habitants.
Parce que l’étude Airparif et l’évaluation demandée par le conseil général ont attiré l’attention sur le niveau de pollution atmosphérique de la commune de Champlan et que le projet d’implantation d’une station d’épuration en zone protégée a intensifié le sentiment d’ "injustice". Le tout, dans un contexte local où la population est sensibilisée par un comité de défense contre les nuisances bien implanté.
La demande sociale a émergée dans cette commune car une partie de la population veut échapper à la capitale mais souhaite garder les avantages de l’agglomération parisienne. Commune agricole, c’est aussi un lieu de villégiature.